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Dans les griffes de la Hammer, Nicolas Stanzick
Le cherche bonheur, Michel Zadoorian
Tijuana Straits, Kem Nunn
Havre des morts, Patricia Cornwell
Oksa Pollock, le coeur des deux mondes, Anne Plichota, Cendrine Wolf
Les savants fous: d'Archimède à nos jours.... Laurent Lemire
L'appel de l'ange, Guillaume Musso
Charly 9 , Jean Teulé
Faute de preuves, Harlan Coben
Jeanne, Jacqueline de Romilly
L'effet Larsen, Delphine Bertholon
Cabine commune, Delphine Bertholon
La dernière bagnarde, Bernadette Pecassou-Camebrac
La belle chocolatière, Bernadette Pecassou
Revues, abonnements mensuels
Science et vie Junior avril et mai 2011
Maison bricolage
Que choisir
A lire, à relire, à conseiller:
La passion Lippi, Sophie Chauveau
Twist, Delphine Bertholon
Zoli, Colum McCann
Vivre et mourir sur les galères du roi Soleil, Didier Chiat
Parigot tête de veau, Claude Villers
Prêt de la médiathèque:
Le fils du vent, Henning Mankell
Comédia infantil, Henning Mankell
et de nombreux albums jeunesse.
Si vous souhaitez lire un ouvrage qui ne se trouve pas en bibliothèque, écrivez dans le cahier prévu à cet effet le titre, l'auteur et si possible l'éditeur:
Vous pouvez aussi faire une recherche sur le site de la médiathèque de Seine et Marne MD77: cliquez sur "recherche" (vous n'avez pas à vous identifier, cet accès étant réservé à la bibliothèque)
Dans le cas où la Médiathèque de Melun ne pourrait satisfaire votre demande, nous ferons dans la mesure du possible l'acquisition de l'ouvrage demandé.
Dans le cadre de l’exposition sur l’Amazonie brésilienne et Guyanaise organisée à la bibliothèque de la Roseraie par l’ALJ (Association Loisirs Jeunes) qui se tient jusqu’au 13 avril, une conférence a eu lieu vendredi 1er avril en soirée.
En tant qu’enseignant, Bernard Borghésio-Ruff a vécu 25 ans dans cette région d’Amérique du Sud, notamment en Guyane qui est le plus grand département français, territoire recouvert à 96 % par la forêt.
Le climat équatorial, chaud et humide toute l’année, favorise la biodiversité, tant animale que végétale. Le conférencier a démystifié certaines idées reçues chères à la panoplie d’Indiana Jones, telles les façons de s’habiller, s’équiper et de se comporter.
« Il n’y a plus de forêts vierges en Amazonie, c’est-à-dire non parcourue par l’homme. C’est dans la zone supérieure de la forêt, difficilement accessible, que grouille la vie à cause de l’abondance de lumière au sommet. En forêt, il faut oublier le GPS (Global positioning system), trop fragile à cause de l’humidité et des chocs. Mieux vaut une bonne boussole, seul moyen fiable pour se déplacer sans se perdre dans la jungle. Les fauves tels les jaguars, pumas, ocelots, chats-marguay), s’ils sont apparemment redoutables, ne constituent pas un danger pour l’homme, sauf cas exceptionnel. Les serpents sont innombrables, quasi invisibles, impressionnants (crotale, serpent-corail, anaconda), mais sur le plan statistique, ils ne sont pas un risque sanitaire notable. En revanche, les guêpes sauvages, abeilles, sont un danger réel et fréquent en Amazonie car l’essaim attaque sans préavis. La fuite reste la seule solution. Les mouches et moustiques sont les plus redoutables, véritables vecteurs de fièvre jaune, paludisme, dengue, leishamiose » a précisé l’intervenant.
Faites attention aux couleuvres !
C’est ainsi qu’en Guyane on appelle les anacondas.
Comme conseiller pédagogique itinérant des secteurs Haut-Maroni et Oyapock (où vivent la plupart des ethnies amérindiennes), il a également accompli un itinéraire mythique, de Manaus à Belém, la route des chercheurs d’or.
(S.Moroy)
Quelques photos de l'exposition
Bernard a vécu 25 ans dans la région parcourue en tout sens et étudiée dans divers cadres (symposiums et conférences organisés par le Musée Goeldi de Belém, l'IRS – ex ORSTOM -, la SEPANGUY, le groupe "risques majeurs" de la Préfecture, etc.). Il a passé six ans dans une maison isolée en forêt à laquelle on n'accédait que par un long trajet en canot (ce qui donné lieu à de nombreuses observations du milieu naturel) période dont j'ai conservé une correspondance haute en couleur et en émotions...
Conseiller pédagogique itinérant responsable des secteurs haut-Maroni et Oyapock, là où vivent la plupart des ethnies amérindiennes présentes en Guyane, il a ensuite créé et animé pendant trois ans une section d'études à distance au bénéfice des adolescents de Camopi, village amérindien en zone "protégée". Passionné par cette région et ses habitants, il y retourne trois mois par an – essentiellement le long de l'Amazone.
Il a été enseignant à l'école de Villevaudé et à Villeparisis. (YG)
L’entretien annuel de la Roseraie par les bénévoles de La Dhuys à l’Ourcq et Villevaudé…demain s’est fait sous un soleil printanier.Ces bénévoles qui ont tant donné de leur temps pour embellir la Roseraie (même s'il reste encore à faire) souhaiteraient que ce bien public revienne au public et soit ouvert à tous les Villevaudéens tous les jours.....
Simultanément une exposition, organisée par l'association Villevaudé...demain était installée à la Bibliothèque de la Roseraie. Exposition qui avait pour but d'illustrer la semaine sans pesticides initiée par l'ACAP (Action Citoyenne pour les Alternatives aux Pesticides).
Quelques personnes sont venues se renseigner, principalement dimanche 20 mars, comment éviter les pesticides ? Nous avons eu la visite de M.Dorsmann apiculteur à Montjay, qui nous a commenté le panneau sur les abeilles. Très intéressant. Il nous a parlé du bon état de ses ruches et des problèmes rencontrés par les autres apiculteurs.
L’exposition est restée toute la semaine 12 à la bibliothèque, ce qui permettait aux enfants de l’école Ivan Peychès de venir la visiter. C’est la classe des CM1/CM2 qui est venue jeudi 24 mars. Les enfants ont répondu à un questionnaire: Combien de traitements chimiques peut subir une pomme ? (27) Combien une abeille a-t-elle d’yeux (5) Quel est le premier producteur et consommateur européen de pesticides ? (La France) Cite 2 solutions pour désherber écologique ? (le binage ; le désherbage thermique ; l’eau de cuisson des pommes de terre..) etc, etc…
Malheureusement les visiteurs sont généralement des convaincus qui appliquent les bons gestes dans leurs jardins.
Restent à convaincre les agriculteurs de culture intensive et les collectivités qui désherbent avec des herbicides !
Des études scientifiques attestent le caractère " mortel" pour le vivant des pesticides. La France est aujourd'hui la première consommatrice de pesticides en Europe avec 76 000 tonnes par an. Conséquences : appauvrissement des sols, pollution des eaux et de l'air, destruction des abeilles, substances parfois reconnues comme étant cancérigènes, pertubateur endocrinien chez l'homme...
En France, le plan Ecophyto lancé dans le cadre du Grenelle de l'environnement prévoit une réduction de 50% des produits phytosanitaires sur la période 2008-2018. A suivre...
Source: Site "Villevaudé...demain"
Image article journal La Marne: édition du 6 avril 2011
Georges Verger est un citoyen aimé et respecté de notre commune.
Nous le rencontrons lors de nos diverses manifestations, répondant chaque fois à nos invitations.
Liliane B manifeste beaucoup d'intérêt pour notre village et, chaque fois qu'elle le peut, en témoigne dans notre blog.
Pour les 60 ans de vie professionnelle de Georges Verger, elle a écrit cette page qu'elle m'a demandé de publier. Merci Liliane. (YG)
La bibliothèque accueille une fois par mois les classes de l'école Ivan Peychès.Cliquez sur ce lien pour voir quelques photos
Ce jeudi, Julia a présenté BLOP aux élèves de grande section et CP, à travers de nombreux ouvrages prêtés par la médiathèque de Seine et Marne
"Chaque livre entre nos mains est un carton d’invitation, un billet pour voyager en première classe dans un univers qui lui est propre, mais dans lequel on se sent immédiatement chez soi, un univers dans lequel les sujets les plus abstraits, agrémentés de couleurs et de traits dynamiques, deviennent accessibles aux plus jeunes."
Hervé Tullet : « Blop, par exemple, est directement influencé d'artistes qui ont travaillé sur la répétition, c'est une forme répétitive et, à partir de cette forme unique, on crée un monde. C'est la naissance de l'imagination…
… On construit petit à petit à partir d’une succession d’images. Pas de schéma préalable. Blop est une variation sur une forme. Blop cherche quelle forme il va prendre. Dans le livre on passe d’une forme abstraite à des Blops à la montagne, par exemple. Une forme devient personnage. Il va où il veut. C’est contenu dans le « oui » que m’a donné l’éditeur et ensuite dans le travail ».
« Je vais dans les écoles pour trouver une évidence. Je crois aux petites magies de l’instant, à ce qui surgit. Le problème : contrôler le groupe. Je dis bien le groupe car les histoires individuelles ne m’intéressent pas. Alors, d’abord, je déconcerte les enfants. Je dis que je ne suis pas Hervé Tullet. Ou que je ne sais pas dessiner. Mais la grande affaire pour déconcerter, c’est le gribouillage. Après, il faut sauver ce gribouillage. Qu’il puisse devenir quelque chose par le regard. C’est le regard qui donne un sens. Je pratique le « dégourdement « (mot d’une petite fille qui me parle bien ). Avec pas grand chose, on a fait quelque chose, par l’énergie innocente et pure. Il y a cela dans le dessin d’enfant et l’art brut. Ainsi Bill Traylor avait-il trouvé quelque chose à faire et qui le remplissait. Il n’y a qu’une histoire. La graine, c’est « Petit bleu, petit jaune ». Je fais des ateliers de gribouillage, maintenant, des courses de crayons, c’est jubilatoire, c’est le bazar. La base, c’est le groupe. Il faut qu’ils bougent, que ça circule. Ce n’est pas à moi. C’est un produit du hasard. Je suis disponible à ce qui se passe. En alerte. Je dois être performant, me surprendre. çà doit m’apporter quelque chose pour moi, pour eux ».
L'Exposition coloniale reçut le prix Goncourt en 1988.
LAURA KASISCHKE
EDITIONS CHRISTIAN BOURGOIS
Laura Kasischke a étudié à l'Université du Michigan, elle a gagné de nombreux prix littéraires pour ses ouvrages de poésie ainsi que le Hopwood Awards; elle a également reçu la Bourse MacDowell.
Ses poèmes ont été publiés dans de nombreuses revues. Ses romans La vie devant ses yeux et A suspicious river ont été adaptés au cinéma. Elle vit dans le Michigan, et enseigne l'art du roman au collège de Ann Arbor.
Hommage de Frédéric Mitterrand, ministre de la culture, à l'actrice anglo-américaine, l'une des dernières grandes légendes d' Hollywood, morte à l'âge de 79 ans le 23 mars 2011.
"On dira d'Elizabeth Taylor d'une manière assez conventionnelle que c'était la dernière star, comme on dit le dernier empereur ou la dernière reine. Et c'est vrai, elle fut inconstestablement une star jusqu'au bout des ongles . La vie romanesque, les mariages, les retards, les caprices, les dépenses, tout ce qui fascine le public. Mais en même temps cette fascination n'existerait pas si on n'avait pas la sensation qu'il y avait derrière un formidable talent - la filmographie d'Elizabeth Taylor est absolument impressionnante - et qu'il y avait derrière un tempérament particulièrement généreux, riche, plein de force et de contradictions.
Les drames vécus par Elizabeth Taylor, ses ennuis de santé à répétition, ses périodes de dépression, des périodes où elle a beaucoup grossi, les come back, les retours où elle réapparaissait en pleine beauté alors qu'on la croyait quasi morte et disparue, tout cela témoignait d'une nature et d'une personnalité exceptionnelles.
Et c'était certes la dernière star du grand cinéma romanesque, mais elle était aussi une femme exquise, généreuse, qui aimait profondément la vie et le cinéma et qui avait le génie de savoir mélanger les deux choses, à chaque instant de son existence."
Publié dans 02 Une vie, une oeuvre, une date, 23 Cinéma, théâtre | Lien permanent | Commentaires (1)
« Avec du temps et de la patience, les feuilles de mûriers se transforment en robe de soie » : telle pourrait être la ligne de conduite de nos petites mains « ouvrières » lors de nos rencontres hebdomadaires du samedi après-midi au Mille Club. Elles nous ont permis, cette année encore, de découvrir de nouvelles techniques telles que le scrapbooking et la fabrication de bijoux en perles et nœuds…
Et c’est ainsi également que les adhérentes de l’Atelier Créatif de Villevaudé, après une longue préparation, ont organisé la seconde édition du Marché de Noël de Villevaudé, les 27 et 28 novembre dernier, tout en y tenant un stand destiné à vendre leurs productions. Organisateurs et exposants furent satisfaits de la fréquentation tandis que les visiteurs furent ravis de découvrir, au fil des allées installées pour la circonstance, bijoux et écharpes, fleurs séchées et décorations de table, romans du terroir et tableaux, et tout cela venu du monde entier ! La Bibliothèque de la Roseraie y participait en y tenant sa traditionnelle vente de livres neufs.
Grâce à l’équipe technique, tout fût fin prêt dès 8 h, ce samedi matin, dans la Salle des Merisiers, pour accueillir les premiers exposants. Ces deux journées ont été rythmées par les accords de musique classique et de jazz de deux orchestres du Conservatoire de Claye Souilly. Qu’on se le dise à présent ! Ce fût une belle réussite et Villevaudé a maintenant son marché de Noël !
Mais cette manifestation n’a pas été la seule de l’année , même si elle en constitue le point d’orgue ! En partenariat avec d’autres associations locales, nos adhérentes ont fait preuve d’une grande créativité, notamment lors de la Journée de l’Environnement, en décorant les tonneaux destinés à devenir des poubelles, disposées deci delà dans les bois villevaudéens.
Puis, au retour des vacances d’été, l’association a participé au forum des associations où elle a pu faire connaître ses différentes activités au public, mais sans toutefois susciter de véritables vocations. Qu’à cela ne tienne, les activités ont repris, toujours plus motivantes, les unes que les autres.
L’année s’est terminée par un magnifique week-end en Alsace les 11 et 12 décembre dernier pour y visiter les plus beaux marchés de Noël : ceux de Kaysersberg, de Riquewihr et de Colmar. Amis et membres de nos familles ont pu y prendre part. Ainsi, une quarantaine de personnes a pu découvrir (ou redécouvrir) cette très belle région et goûter à ses délices culinaires !
Merci à tous pour tout cet investissement et à l’année prochaine pour de nouvelles aventures !!
Publié dans 15 Atelier créatif. | Lien permanent | Commentaires (0)
Découvrir la richesse du cinéma italien grâce à une présentation chronologique de ses grands réalisateurs et des films qui l’ont le mieux célébré. Tel était, samedi 5 mars, l’objectif de la médiathèque de l’Orangerie de Claye-Souilly, organisatrice de l’évènement annoncé dans la note du 26 février
La conférence a réuni une quarantaine de personnes à la salle Planète-Oxygène. Elle était animée par Christophe Champclaux qui, depuis 2008, intervient sur l'histoire du cinéma auprès des médiathèques municipales et bibliothèques départementales dans le cadre des activités pédagogiques de l’ADAV (Atelier de diffusion audiovisuelle).
« La première partie est consacrée à la période 1945 à 1978, car le cinéma italien est si riche qu’il nécessitera une deuxième séance » a prévenu Stéphanie Dubois, membre de la médiathèque. « Les premiers longs-métrages transalpins, « Quo Vadis ? » (1912), « Cabiria » (1914), étaient des péplums, genre inventé par les Italiens. Ils ont fasciné les plus grands cinéastes américains car ces films utilisaient pour la première fois dans l’histoire du 7e art, l’architecture, le décor en relief… au lieu des toiles de fond plates et fixes » a rappelé le conférencier avant d’évoquer le film de Roberto Rossellini « Rome ville ouverte ».
Réalisé en 1945, avec peu de moyens, ce film est considéré comme le premier chef-d’oeuvre néoréaliste de l’histoire du cinéma italien qui voit grâce à lui sa résurrection sur la scène internationale.
Quand Hollywood lorgnait sur Cinecittà
« Ossessione » (1943), premier film de Visconti, est apparenté au néoréalisme, mais le cinéaste s’en éloignera ensuite. Fellini quant à lui s’oriente vers un genre qui lui est propre.
« La Strada » et « La Dolce Vita » comptent parmi ses chefs-d’œuvre. Comédie de mœurs en même temps que satire sociale, la comédie italienne apparaît dans le sillage de ce néoréalisme sombre, comme une réaction salvatrice à la morosité ambiante.
Plusieurs acteurs deviennent indissociables du genre : Toto, Nino Manfredi, Vittorio Gassman, Alberto Sordi...
« Mais la comédie n’est pas le seul domaine dans lequel les Italiens ont accédé puisque, de 1945 jusqu’au milieu des années 70, le cinéma italien a vraiment été le meilleur du monde. Si le cinéma américain a été sublime dans les années 40-50, il a connu une très grosse baisse artistique dans les années 60 alors que le cinéma italien était en pleine forme, connaissant quatre décennies absolument magiques » a déclaré Christophe Champclaux.
Les années 50 voient le grand retour du péplum (« Les travaux d’Hercule ») qui fera les beaux jours du box-office américain, avant de céder la place au « giallo » (mélange de policier et d’horreur fantastico-érotique) avec Mario Bava comme chef de file (« Le masque du démon »).
« Le western-spaghetti » devient également emblématique de la création italienne, genre dans lequel Sergio Leone passera maître en revisitant les codes du western américain.
Prochain rendez-vous samedi 26 mars 18 h 30 à Planète-Oxygène pour la seconde partie consacrée à la période 1979 à nos jours. S.Moroy
Publié dans 00 A Villevaudé , 18 Chroniques de Serge, 23 Cinéma, théâtre | Lien permanent | Commentaires (1)
Alex, Pierre Lemaitre
La maison du maitre, Martha Grimes
Ce que savait le chat, Martha Grimes
Djoliba, fleuve de sang, Alain Wagneur
Purge, Sofi Oksanen
Indignez-vous! Stéphane Hessel
N'oublie pas que je t'aime, Jérôme Wagner
Life, ma vie avec les Stones, Keith Richards
L'oeil de la lune, anonyme
Un jour, David Nicholls
En un monde parfait, Laura Kasischke
Le rire du cyclope, Bernard Werber
L'enfant allemand, Camilla Läckberg
Absolument dé-bor-dée, Zoé Shepard
No et moi, Delphine de Vigan
Le goût des pépins de pomme, Katharina Hagena
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Science et vie Junior mars 2011
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Jeunesse :
de Mary Pope Osborne
Bayard Poche
Sur le fleuve Amazone,
Le sorcier de la préhistoire,
Le voyage sur la lune.
La vallée des dinosaures,
Le mystérieux chevalier,
Le secret de la pyramide,
Le trésor des pirates.
Et n'oubliez pas de consulter en ligne le catalogue de la médiathèque de Seine et Marne
La Poste s’associe à la plasticienne Miss.Tic et célèbre la journée des droits de la femme avec un carnet de timbres inédit.
Après Titouan Lamazou et les photographes de l'association V Day, La Poste fête la journée des droits de la femme en s’associant à la plasticienne et poétesse Miss.Tic. Célèbre pour ses œuvres éphémères réalisées au pochoir, elle expose sa vision de la vie et de la condition féminine sur les murs de Paris depuis 1985, entre « street art » et vandalisme urbain.
Publié dans 02 Une vie, une oeuvre, une date | Lien permanent | Commentaires (3)
LES POINTS SUR LES I...
La journée des femmes célébrée le 8 mars trouve son origine en 1910, lors d' une réunion de la Conférence des femmes qui avait lieu en marge de l' Internationale Socialiste. Le mouvement féministe est évidemment beaucoup plus ancien. Des femmes qui ont voulu faire reconnaître leurs droits, leurs dons, leur indépendance, il y en eut tout au long de l' histoire de l' humanité.
Claire-Maire, héroïne romanesque, est le fil rouge de cette chronique féministe qui s' étend sur plus de deux siècles. Fille d' ouvriers, elle naît en 1910 et nous présente ici ses ancêtres en féminisme, du moins certaines qu' elle estime particulièrement : Olympe de Gouges, Pauline Roland, Hubertine Auclert, Louise Michel...
Divers courants du féminisme au XIXème siècle sont évoqués : associations « féminines » ou « féministes », ces dernières militant avant tout pour une réforme en profondeur de la société avec les partis socialistes.
Dans la deuxième partie, une remontée du siècle écoulé depuis ce fameux mois de mars 1910 permet de rencontrer des militantes étonnantes : Madeleine Pelletier, Louise Weiss, et bien évidemment Clara Zetkin. Claire-Marie, notre héroïne, observe de son regard plein de sagacité, de bon sens mais aussi de naïveté, les remous du siècle et les prises de position des militantes contemporaines. Elle est le témoin des luttes pour l' amélioration de l' indépendance des femmes, des acquis progressifs et aussi des reculs temporaires.
Cet ouvrage n' oublie pas la dimension internationale de la journée des femmes : après avoir évoqué les avant-gardistes en Amérique et en Allemagne, l' héroïne de cette chronique décrit certaines luttes et manifestations qui se déroulent aux quatre coins de la planète au XXIe siècle. A travers un florilège de moments vécus pour célébrer cette journée, nous ferons un point sur la situation des femmes aujourd' hui et sur les combats encore à l' ordre du jour.
Consultez le blog de la Société d'Histoire Locale de Villeparisis
Un monde fragile à protéger
ECO LIVRE
NATHAN
Ce livre lance un véritable bulletin d'alerte.
Il célèbre la beauté, la richesse et la fragilité de tous les écosystèmes de la Terre.
Il dénonce les effets dévastateurs de la pollution, du réchauffement climatique et du comportement des hommes sur la nature, les animaux et les plantes qui y vivent.
Il donne des conseils et des astuces au quotidien pour nous permettre de mieux respecter et de sauvegarder notre environnement.
Nous pouvons tous agir pour la Terre !
Un livre plus vert, plus propre
" Ce livre a été pensé écologiquement: Pour le fabriquer, nous avons recyclé, coupé l'électricité, imprimé des deux côtés, fait du vélo, parlé, échangé sur de grandes questions - un peu plus que d'habitude.
Le papier est certifié FSC, ce qui veut dire qu'il provient de forêts administrées de manière responsable, notre papetier recycle 91% de l'eau utilisée pendant la fabrication.
Notre imprimeur a réduit son empreinte carbone de 52% et génère 100% de son électricité.
Nos encres sont d'origine végétale et ne sont pas issues de la pétrochimie.
Il n'y a pas de jaquette pour économiser du papier et de l'énergie."
(Les éditions Nathan,membres du comité 31, comité pour l'environnement et le développement durable.)
La mémoire de ma mère
GIULIA SALVATORI
MICHEL LAFON
Alors que « La Dolce Vita » fêtait ses 50 ans, le musée du Jeu de Paume (à Paris) proposait début 2010 de découvrir et de revisiter l’œuvre de Federico Fellini (né à Rimini en 1920, mort à Rome en 1993). L’exposition « Fellini, la grande parade » s’inscrivait en effet dans le cadre de l’événement Tutto Fellini organisé en hommage à Federico Fellini par la Cinémathèque française, l’Institut culturel italien de Paris et le musée du Jeu de Paume. Les visiteurs ont pu pénétrer dans l’univers du maestro par le biais de quatre grandes séquences : la culture populaire, Fellini à l’œuvre, la cité des femmes, l’invention biographique.
On retrouvait les thèmes chers au génial réalisateur italien : le music-hall, le cirque, la caricature, la femme, la psychanalyse et les rêves, ou encore ses relations houleuses avec les médias.
Cette expo entendait être aussi un laboratoire visuel interrogeant plus largement le 20e siècle qui connut les premiers balbutiements du cinéma, mais aussi celui de la presse, de la télévision et de la publicité. À travers la présentation d’une sélection de photographies, d’affiches originales de films, de magazines d’époque, d’extraits de films et de dessins de Federico Fellini (véritables archives de travail), l’expo mettait en lumière la construction d’une œuvre. Elle explorait également la présence autobiographique du cinéaste dans ses films, ainsi que son obsession pour la femme, à la fois figure de l’altérité et incarnation de tous les possibles. Enfin, deux films étaient au cœur même de l’expo : La Strada et La Dolce Vita.
Avec La Strada (1954) et La Dolce Vita (1960), Fellini signe deux des chefs-d’œuvre les plus révélateurs de son cinéma. Ces deux films sont en effet les plus connus de son œuvre de cinéaste et peut-être aussi du cinéma italien tout court : "Fellini, c’est l’Italie" n’hésitait pas à déclarer le personnage du metteur en scène dans La Ricotta (1963) de Pier Paolo Pasolini.
C’est grâce à La Strada, film primé au festival de Venise en 1954 et couronné d’un oscar à Hollywood en 1956, que Fellini se fit connaître en France et rencontra un succès unanime à la fois auprès du public et de la critique. Un doublé plutôt rare… quand il est dans le bon sens. Jean de Baroncelli, l’ancien critique de cinéma du quotidien Le Monde, affirmait ‘’La Strada est comme une transfiguration du néo-réalisme. Tout y est quotidien, familier, parfaitement plausible. Cette histoire de saltimbanque a l'apparence d'un fait divers, pourtant nous sommes aux confins de l'étrange, sinon du fantastique". Jusqu’alors les personnages essentiels de l’œuvre fellinienne étaient bien souvent des êtres purs ou innocents aux prises avec la déchéance du monde, et quelquefois dominés par elle. Ses premiers films s’achevaient d’ailleurs sur une espérance (vertu théologale par excellence) à laquelle on a souvent prêté un sens religieux que les influences catholiques initiales du réalisateur ne démentaient pas a priori. La Strada doit énormément au génie de son interprète féminine, Giuletta Masina, l’épouse du cinéaste, et bien sûr à la musique tellement envoûtante de Nino Rota.
A contrario c’est un parfum de soufre qui accompagne la sortie de La Dolce Vita dont la première à lieu le 3 février 1960 en Italie. Le film sera accusé de blasphème par le Vatican (Fellini frôla l’excommunication) et interdit en Italie aux moins de 18 ans, ce qui ne l’empêchera pas de recevoir un prix au festival de Cannes en mai 1960. Ce film donnant la vision d’une société romaine, désespérément désœuvrée, a-t-elle choqué à ce point la bourgeoisie bien pensante comme la sainte église ? C’est aussi le prétexte pour Fellini de libérer son imaginaire et de faire exploser la structure narrative du récit. Ainsi les personnages du film ouvrent-ils les portes du rêve et de l’inconscient. Comme dans la majorité de ses films, le réalisateur utilise de nombreux éléments autobiographiques : jeunesse désœuvrée, rêveries adolescentes, farces de collégien, charme discret des scènes de la vie de province... On retrouve cette atmosphère puérile et nonchalante dans son autre film sorti en 1953, Les Vitelloni. La fameuse baignade d’Anita Ekberg dans la fontaine de Trévi reste gravée dans les mémoires et représente un morceau de choix dans l’anthologie fantasmatique. A noter que l’on doit à l’un des personnages de ce film (Paparazzo, l’un des photographes), l’invention du terme « Paparazzi ». S. Moroy
A LA DECOUVERTE DU CINEMA ITALIEN
SAMEDI 5 MARS 2011 A 18H 30 : de 1945 à 1978
SAMEDI 26 MARS 2011 A 18H 30: de 1979 à 2010
Découvrir le cinéma italien à travers une présentation chronologique des réalisateurs et des oeuvres les plus importants, agrémentée d'extraits de films.
Salle Planète Oxygène, public ados et adultes
Réservation obligatoire à la médiathèque de l'Orangerie
4, allée Benoist, Claye Souilly, au 01 60 26 92 10
Les séances seront animées par Christophe Champclaux
Christophe Champclaux a produit la série documentaire "Les Maîtres du regard" racontant l'âge d'or du cinéma hollywoodien. Historien de formation, réalisateur et conférencier, il a publié plusieurs ouvrages consacrés à l'histoire du cinéma.
Dimanche 6 mars 2011, 14 h 30 et 18 h, Auditorium du Louvre ( cliquez sur ce lien)
Dans le cadre de l’exposition et du cycle de conférences « Revenants. Images, figures et récits du retour des morts », la Cinémathèque française et le musée du Louvre présentent une reconstitution inédite du spectacle de Robertson.
« Apparitions de Spectres, Fantômes et Revenants, tels qu’ils ont dû et pu apparaître dans tous les temps, dans tous les lieux et chez tous les peuples. Expériences sur le nouveau fluide connu sous le nom de Galvanisme, dont l’application rend pour un temps le mouvement aux corps qui ont perdu la vie… »
C’est ainsi que le « physicien-aéronaute » venu de Liège, Etienne-Gaspard Robert, dit Robertson, fait réclame pour son premier spectacle de Fantasmagorie, présenté à Paris le 3 janvier 1798. Cette technique issue du perfectionnement progressif de la lanterne magique, capable d’électriser le public par des « images mouvementées » et macabres, a en fait été inventée une décennie plus tôt par un autre « fantasmagore », Paul Philidor. Robertson perfectionne cependant à un degré sans égal cet art de faire revenir les morts, mêlant dans le mouvement et le volume apparitions fantastiques ou grotesques, visions de memento mori et résurrections de personnages célèbres. Effets de surprises, dispositifs optiques, acoustiques et catoptriques, dramaturgie et pyrotechnie créent un théâtre inédit de sensations, jouant de l’engouement de l’époque pour les sujets terrifiants du Romantisme noir, avec un propos dont le caractère supposé « scientifique » suscita une certaine perplexité auprès du public d’alors.
Conception : Laurent Mannoni
Comédien : Nathan Willcocks
Bruiteur : Chaab Mahmoud
Harpiste : Aliénor Mancip
Lanternistes : Laurent Mannoni et Laure Parchomenko
Durée : 60 min. environ
Images issues des collections de la Cinémathèque française, du Centre national du cinéma et de l’image animée, du musée Gassendi de Digne-les-Bains, des collections privées de François Binétruy et Thomas Weynants
Lieu : Auditorium du Louvre
Accès : Métro : Palais-Royal / Musée du Louvre.
Entrée par la pyramide, le passage Richelieu ou les galeries du Carrousel.
Parking du Carrousel ouvert de 7 h à 23 h.
Tarifs : 8 euros, 6,50 euros (réduit), 5 euros ("solidarité"), 3 euros (tarif "jeunes")
Informations : 01 40 20 55 55 (de 9h à 19h du lundi au vendredi).
Réservations : au 01 40 20 55 00, du lundi au vendredi (sauf le mardi), de 11 h à 17 h, uniquement par carte bancaire.
Groupes scolaires et centres de loisirs : 01 40 20 50 01 ( conseillé à partir de 8 ans)
Groupes adultes (associations, comités d’entreprise…) : 01 40 20 54 55.
A la caisse de l’auditorium : du lundi au samedi (sauf le mardi) de 9 h à 17 h 30.
Sur le site de la Fnac : www.fnac.com
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JEAN DUTOURD
Olivier Barrot présente "L'assassin" dans l'émission 1 livre un jour
Pour écouter, cliquez sur le lien
Résistant, gaulliste, provocateur, érudit, académicien, défenseur et serviteur de la langue française, Jean Dutourd a pourfendu le conformisme, la bêtise de son époque.
Entré en littérature avec "Au bon beurre", il laisse une soixantaine d'ouvrages dans tous les registres.
On peut découvrir les "Lettres" du monde entier dans "La chose écrite" recueil de ses chroniques littéraires, spirituelles et percutantes..
Jean Dutourd est mort le 17 janvier 2011.
Hommage de France Soir:
L’académicien Jean Dutourd, romancier et essayiste, est mort lundi soir à l’âge de 91 ans à son domicile parisien.
Iconoclaste, le mot est revenu hier aussi bien dans la bouche du président Sarkozy que dans celle de Philippe Bouvard, à propos de Jean Dutourd, dont ils venaient d’apprendre la mort. « Défenseur ardent et inspiré des lettres françaises », comme le souligne le ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand, Jean Dutourd n’hésitait pas en effet à sauter du coq à l’âne, aussi à l’aise à l’Académie française qu’aux Grosses Têtes de RTL. Jean Dutourd fut aussi, pendant plus de vingt ans – des années 1970 aux années 1990 –, un collaborateur assidu de notre journal comme éditorialiste et critique littéraire. Pour lui rendre hommage, nous reproduisons ci-dessous une de ses chroniques, publiés dans France-Soir le mercredi 18 octobre 1978 :
On me dit que je parle trop de politique et que je devrais davantage traiter les « problèmes de société ». Coïncidence : il m’est arrivé hier un très joli problème de société par la poste.
Le 14 juillet dans la nuit, des inconnus déposaient une bombe devant ma porte. La bombe éclata et détruisit tout ce que je possédais, sauf une petite auto qui n’était pas dans mon appartement mais dans la cour de l’immeuble. Quelques jours après l’explosion, on commença à déblayer. Pour ce faire, on retira ma voiture de son box et on la mit dans la rue. Une pervenche passait par là. Ce PV me sembla un peu vif.
En ce temps-là, l’attentat était tout frais ; la police avait l’air de s’y intéresser. Je croisais de temps à autre un inspecteur de la Brigade criminelle qui me disait des paroles compatissantes. Je donnai le PV à un commissaire qui me promit de « faire le nécessaire ». Il le fit si bien que je reçus hier un avis du ministère des Finances d’avoir à payer immédiatement une amende de 150 F, sous peine de « significations et poursuites dont les frais seraient à ma charge ».
Il y a là une des ces situations dont raffolait Courteline et que l’on peut résumer de la façon suivante : non seulement la société me laisse chasser de ma maison par des malfaiteurs, mais encore me réclame de l’argent parce que j’occupe indûment le trottoir.
On me pardonnera d’avoir raconté tout au long cette anecdote insignifiante. C’est qu’elle me semble très représentative de notre époque. Je sais bien que la pervenche ignorait que j’étais sinistré ; je sais bien que mon PV, après avoir été dressé, est allé rejoindre des milliers d’autres PV. En instance ; je sais bien que le ministère des Finances n’a pas l’intention de me persécuter personnellement. Mais l’Administration est devenue une sorte de monstrueuse mécanique abstraite, plus forte que les hommes qui l’actionnent et qui, une fois mise en branle, est impossible à arrêter.
Par curiosité, je ne vais rien faire, je ne vais pas payer. Que va-t-il se passer ? Les 150 F que je dois, avec les années, deviendront- ils 150.000 F ou davantage ? Ou bien aurai-je le monstre à l’usure ? Une chose, en tout cas, dont je suis sûr, c’est qu’on ne pourra pas me saisir.
Par B. S Source France Soir
Jean Dutourd, mon maître, par Philippe BOUVARD,
Lire la suite "Jean Dutourd, 14 janvier 1920 - 17 janvier 2011" »
FRANCOIS NOURISSIER
GRASSET
Les récepteurs de radio, alors appelés postes de TSF, offraient au rêve, imprimés au dos d'une vitre et plongés dans la pénombre verte où un curseur allait les débusquer, les noms d'émetteurs exotiques, de stations improbables.
Mystérieusement, Bratislava attirait toujours mon regard. Si les quatre syllabes rocailleuses, baignées d'eaux danubiennes et de songes slaves, ne m'avaient pas ainsi fasciné, ce livre n'eût sans doute pas existé. Ma vie en eût été changée, comme est détourné le cours d'un ruisseau : serais-je allé là-bas, en 1947, fêter mes vingt ans ? Y serais-je retourné, la cinquantaine bien entamée, à la poursuite d'images presque effacées mais douées de la patiente insistance des songes ou de l'oubli ?
En somme, Bratislava est un exercice de mémoire.
J'ai passé des heures, en 1986, à la recherche de lieux que la ville semblait avoir escamotés. Où est la vaste cour, comme d'une caserne ou d'un monastère, décorée de ce pavillon rococo devant lequel était dressée, pour l'orchestre, une estrade ? Le béton communiste avait recouvert mes souvenirs en même temps qu'un quartier de la ville : l'ancien ghetto, les abords du pont sur le Danube.
Abandonné à l'incertitude par la défaillance d'une mémoire plus usée que je ne le croyais, je compris comment, à partir des mêmes faits, avérés ou réinventés, on peut glisser au roman, à la confidence, à la nostalgie, qui sont des degrés de l'oubli.
" Exercice de mémoire " : expression trop scolaire. Comme d'autres de mes livres, Bratislava est un aveu, un compromis entre mes peurs et mes chansons, un cabotage au long de mon littoral. Mais quelle mer le baigne-t-elle ?
A quelle heure sont attendues les grandes marées, prévus les grands départs ? Serai-je prêt ? F.N.
François Nourissier, pilier de l'Académie Goncourt, est mort le 15 février 2011. Sa passion de la littérature, ses grandes qualités humaines, sa sensibilité, sa générosité, son érudition qu'il a mise au service des lettres font de lui un immense écrivain.
Plusisurs ouvrages sont disponibles à la bibliothèque: L'eau grise, La fête des pères, le gardien des ruines, En avant, calme et droit, L'empire des nuages.
Photo Andersen SIPA
Hommage de Frédéric Mitterrand, ministre de la Culture et de la Communication, à François Nourissier
On l’appelait volontiers « le pape des lettres », certains voyaient d’abord en lui le Président de l’Académie Goncourt ; le critique estimé, l’homme d’influence qui reconnaît et valorise les talents. L’auteur d’Un petit bourgeois, d’une Histoire française, du Maître de maison, du Musée de l’homme était d’abord un écrivain remarquable et un observateur particulièrement lucide de l’âme humaine, à commencer par la sienne.
Le grand pouvoir qui, de fait, était le sien dans le monde littéraire n’avait pourtant pas fait de lui un conformiste ou un homme qui veut d’abord être imité. Il savait aller à contre-courant, oser le contre-pied, et, déjouant toutes les stratégies que les grands prix littéraires peuvent susciter, défendre tout simplement un talent inattendu et le défendre parce qu’il l’aimait.
François Nourissier souffrait depuis longtemps d’une grave maladie dont il avait su faire un personnage de roman. Belle manière, courageuse, d’affronter l’adversité. Il aura pour ainsi dire passé sa vie plume à la main, pour écrire ses livres ou annoter ceux des autres. Une vie d’homme de lettres qui s’arrête au milieu d’une phrase.
Source : http://www.culture.gouv.fr
A consulter Liberation.fr
ANDREE CHEDID
FLAMMARION
Le Sixième Jour connut un succès tant auprès des adultes (auxquels il est d'abord destiné) qu'auprès des enfants, ce qui surprit l'auteur elle-même. Pourtant, la lutte immémoriale qui oppose le courage, l'amour, la foi aux forces du mal constitue l'apanage des plus grands contes ou légendes universels.
On fait sa vie. II faut vouloir sa vie. La volonté d'aimer, de vivre est un arbre naturel... " Pour Hassan, enfant beau et vigoureux il y a peu, aujourd'hui ratatiné comme un pruneau sec et bleu, la vie est un combat depuis que le choléra a posé sur lui son masque cruel. Dans cette course contre la mort, Saddika est là, grand-mère attentive, qui fait un barrage. Contre ceux qui l'épient, qui se méfient, qui veulent lui prendre l'enfant par peur de la contagion. Mais la vieille le sait. S'ils l'emportent, elle ne le reverra jamais. Alors il faut tenir. Jusqu'au sixième jour ! Le sixième jour, ou bien on meurt, ou bien on ressuscite.
Photo AFP/Pierre Franck Colombier
Andrée Chedid, morte le 6 février 2011 à Paris, n'aura pas connu le 13e printemps des poètes...
Mère et grand mère des chanteurs Louis et Matthieu Chedid, elle est elle-même à l'honneur dans Maman, maman, titre du dernier album de Louis, On ne dit jamais assez aux gens qu'on aime qu'on les aime.
«C'est un peu mon initiatrice, quelqu'un de crucial dans ma vie, qui m'a transmis toutes ses valeurs artistiques, le côté créatif, la volonté d'indépendance, et le désir de liberté ! C'était mon message de remerciement, même si avec l'âge, surviennent des incompréhensions...», expliquait l'artiste à Evene.fr
Nicolas Sarkozy a rendu hommage lundi à un écrivain dont l'oeuvre «nous administre une magnifique leçon d'ouverture à l'Autre et de célébration de la diversité culturelle».
Le ministre de la Culture Frédéric Mitterrand a salué de son côté une «personnalité lumineuse, une femme de cœur, d'esprit et de parole qui habitait notre langue et était habitée par elle». Source www.le figaro.fr
DON GILLMOR, MARIE LOUISE GAY
MILAN
Valentin a tout pour être heureux : un vélo, un chien et un bon copain. Mais voilà que s'installe dans la maison voisine une nouvelle famille, avec une petite fille rousse qui ne s'intéresse guère aux dinosaures... Quelle intruse dans le petit monde de Valentin ! Et pourtant, invité à l'anniversaire de sa voisine, le petit garçon va se donner beaucoup de mal pour lui trouver un cadeau.
Cet album aborde le thème de l'amitié entre garçons et filles à un âge où jeux et centres d'intérêt peuvent commencer à diverger. Abondamment illustré, il est facile à lire à de jeunes enfants : le texte sur chaque double-page est assez court. Si l'onomatopée "Beurk !" qui apparaît dans le titre et dans le récit amuse les enfants, elle pourra déplaire aux parents par son inélégance, mais l'on passe outre aisément.
Commentaire: www.choisir un livre.com
VINCENT CESPEDES
LAROUSSE
L'amour est question de vie et non de théorie. C'est en l'ancrant dans l'expérience qu'il se laisse penser.
Délices et morsures, complicité et jalousie, paradoxes, énigme... dont la clé est à chercher en chacun de nous.
Ce cahier intime convie le lecteur à devenir son co-auteur, D souvenirs en tête et stylo en main.
Comment séduire ? Quand rompre ? Quels sont ma sensibilité aux baisers, mon potentiel libertin... ?
À travers réflexions allègres et "love tests" inédits, une démarche interactive ludique pour découvrir votre portrait amoureux et votre philosophie de l'amour.
Collaborateur de Jacques Tati, dessinateur, musicien, cinéaste, Pierre Étaix est aussi le digne héritier des grands maîtres du burlesque américain : Chaplin, Keaton, Laurel et Hardy. Après ses débuts au cirque et music-hall, il se lance au début des années 60 dans la réalisation de films avec son ami Jean-Claude Carrière. Dix ans de collaboration donneront ainsi naissance à 5 longs-métrages et 3 courts jusqu’au moment où, suite à un incroyable imbroglio juridique, ses films disparaîtront des écrans pendant près de 20 ans. Plus de 58.000 personnes se sont émues de cette situation en signant une pétition réclamant la ressortie de son œuvre. C’est maintenant chose faite !
Endommagés par le temps et par de mauvaises conditions de stockage, les éléments originaux et de tirages étaient dégradés. Les outils photochimiques et numériques ont permis de retrouver la texture originale des images ainsi que la richesse sonore des films. Et c’est grâce à la Fondation Technicolor pour le patrimoine du cinéma (ex fondation Thomson), Studio 37 et la Fondation Groupama pour le cinéma, les deux seules à œuvrer en France en faveur du cinéma, que les films de Pierre Etaix ont pu être restaurés et édités dans ce superbe coffret regroupant l’œuvre cinématographique de cet auteur inclassable, aujourd’hui âgé de 82 ans, et unique « French Keaton », comme certains critiques aiment à le surnommer.
Les longs-métrages
- Le soupirant (1962) – N & B – 83 mn – Prix Louis Delluc 1963 – Prix du film comique de Moscou 1963 – Grand prix du festival international d’Acapulco 1963.
Un jeune homme d’excellente famille part à la recherche d’une épouse. Pas si simple…
- Yoyo (1964) – N & B – 96 mn – Grand prix de la jeunesse du festival international de Cannes 1965 – Grand prix OCIC festival international de Venise 1965.
Un châtelain est amoureux d’une écuyère… Pierre Etaix rend ici un magnifique hommage à ce qu’il aime le plus : le cirque.
- Tant qu’on a la santé (1966) – N & B – 80 mn – Film en 4 actes (Insomnie / Le cinéma / Tant qu’on a la santé / Nous n’irons plus au bois) – Sirène d’argent au festival international de Sorrente – Concha d’argent au festival international de San Sebastian.
- Le grand amour (1969) – N & B – 87 mn – Avec Annie Fratellini et Nicole Calfan - Grand prix du cinéma français - Prix de l’Office catholique au festival de Cannes – Prix d’interprétation au festival international de Panama.
- Pays de Cocagne (1969)- N & B – 74 mn.
Quand Pierre Etaix filme la France en vacances au lendemain de mai 1968. Tour de France cycliste, caravane publicitaire, radio-crochet dans les villes, scènes de plage, interviews des jeunes… Entre humour et dérision, moments choisis sur un visage insolite de notre beau pays de France. On n’en sort pas indemne. Reste à savoir s’il faut-en rire ou bien en pleurer…
Les courts-métrages
- Rupture (1961) – N & B – 11 minutes – Prix FIPRESCI Mannheim 1961 – Grand prix festival Oberhausen 1961.
Un homme reçoit une lettre de rupture de sa fiancée. Quelle sera sa réaction ?
- Heureux anniversaire (1962) – N & B – 12 mn – Oscar à Hollywood en 1963 – Grand prix du festival Oberhausen 1962 – Prix Simone Dubreuilh à Mannheim 1962 – Meilleur film de court-métrage British Film Academy London 1963 – Mention spéciale à la semaine internationale des films à Viennes 1963.
Une jeune femme attend son mari afin de fêter leur anniversaire de mariage. C’est sans compter sur les imprévus de la circulation parisienne…
- En pleine forme (1965-1971) – N & B – 14 mn.
Les joies du camping en pleine nature s’avèrent finalement emplies de mauvaises surprises…
Les compléments du DVD
- Pierre Etaix, naturellement – Documentaire d’Odile Etaix (2010) – Couleur – 30 mn
- L’île aux fleurs – Documentaire de Jorge Furtago (1989) – Couleur – 12 mn
- Le cauchemar de Méliès – Réalisation vidéo de Pierre Etaix (1988)- Couleur – 4 mn - Avec Christophe Malavoy – Musique originale de Stéphane Grappelli.
- La grosse tête - Livret de 112 pages conçu par Pierre Etaix et contenant des documents d’archives : photos, dessins, sculptures, textes, dont une rédaction de Pierre Etaix datant de 1940 (classe de 5e) très émouvante. Le sujet était « Que voulez-vous faire plus tard ? » et Etaix de répondre : « Je veux être clown pour m’amuser en amusant les autres ».
S. Moroy
L’intégrale de Pierre Etaix – Coffret 5 DVD – DVID Zone 2 – Pal. 5 – Prix 48 euros (prix public moins cher constaté).
Cette année ce 22e concours est pris en charge par la bibliothèque de Courtry
Il est ouvert à tous les habitants du canton (classes, centres loisirs, maisons de retraite et individuels ), composé des communes d'Annet sur Marne, Claye Souilly, Courtry, le Pin, Villeparisis et Villevaudé.
Toutes les formes poétiques sont acceptées, vers libres, prose, alexandrins et autres formes, et les poèmes devront comporter 3 à 14 lignes.
Pour les poèmes individuels, sont établies trois catégories, chaque candidat ne pouvant concourir qu' avec un seul message poétique:
catégorie 7: enfants jusqu'à 11 ans
catégorie 8: adolescents jusqu'à 16 ans
catégorie 9: adolescents de plus de 16 ans et adultes.
Le format des productions est imposé suivant les indications:
Un exemplaire de format 21X29,7 (A4), avec identification au verso: Nom, prénom, âge, et adresse complète.
Un second exemplaire facultatif comportant le texte et son illustration de format 29,7X42 (A3) avec identification au verso (nom, âge et adresse)
L'envoi ou le dépôt des poèmes est impérativement fixée au samedi 12 mars avant midi soit à la Bibliothèque de Courtry, rue des Ormeaux, téléphone 01 64 21 45 78 Courriel: [email protected]
La 17e édition du loto organisée par l’association Loisirs Jeunes a eu lieu samedi 29 janvier à la salle des Merisiers.
« Cette année, il y a plus de monde que l’an dernier, 150 joueurs - tous Villevaudéens - contre 110 en 2010. Ce loto en 15 parties, entrecoupées de deux pauses, est donc encore un beau succès. Les lots ont tous été achetés par l’association qui est subventionnée par la municipalité, sachant que des superbes livres nous ont été offerts par le Conseil Général de Seine et Marne et la Société Sodis à Lagny » a précisé Yvette Godefroy, présidente de l’ALJ.
Le loto, jeu familial par excellence, présente la particularité d’intéresser toutes les générations confondues.
Petits et grands ont donc été très attentifs à l’énoncé des numéros tirés par des petites mains innocentes tout au long de la soirée. Ils l’ont été également quand il a fallu départager par tirage au sort les gagnants des trois parties pour cartons pleins. Un suspense à la hauteur de l’enjeu puisque ces parties comportaient les lots les plus intéressants : une cafetière Nespresso Krups de 19 bars, un jeu Playmobil (série complète sur l’Egypte) et un ordinateur portable Netbook. La cafetière a finalement été remportée par Françoise Rey, la série des Playmobil par Nicolas Gourdin et l’ordinateur par Mickaël Richard, 12 ans, qui n’était pas peu fier de sa victoire. « C’est la première fois que l’on gagne, alors vous pensez s’il est heureux !» a précisé la maman du jeune joueur.
S. Moroy
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Une de nos bénévoles vient de finir la formation initiale à la gestion d'une bibliothèque. Ce stage de 10 jours proposé par la médiathèque de Seine et Marne à Le Mée sur Seine a permis d'aborder des sujets essentiels tels que:
les missions et services d'une bibliothèque
la politique documentaire
les outils d'acquisitions des livres
les romans adultes
les albums jeunesse
l'outil informatique: l'intérêt de le mettre à destination des adhérents
La formation s'est achevée par la visite de la bibliothèque de Nandy , que vous pouvez découvrir en cliquant sur le lien.
Le prochain stage du 7 mars portera sur le thème de la BD.
L’assemblée générale de l’Association de la bibliothèque de la Roseraie a eu lieu le 22 janvier 2011 à 10 heures dans les locaux de la bibliothèque.
1) RAPPORT MORAL 2010
Fonctionnement :
Rappel des statuts : Association régie par la loi de 1901, la bibliothèque de la Roseraie a pour but « d’accroître les loisirs culturels de Villevaudé tant au niveau des adultes que de la population enfantine ».
En 2010, une convention a été signée entre la municipalité et la bibliothèque qui établit les rôles, les droits et les devoirs de chacune des parties.
Nombre d’adhérents en 2010 : 57 familles
Parmi ces adhérents nous comptons 10 bénévoles qui assurent les tâches dues aux activités
2282 livres prêtés; 77 périodiques; 211 documents sonores.
Total prêts : 3070 (2885 en 2009) 794 prêts adultes et 2276 jeunesse
Acquisition de livres en 2010 : 174 livres dont 94 livres pour adultes; 2 abonnements offerts par le Conseil Général.
Nous avons en rayon 4527 livres adultes et 3745 livres jeunesse.
L'achats des livres fait l'objet d'un comité de lecture.
Les permanences sont assurées par les bénévoles le mardi matin, mercredi après midi, jeudi matin et après midi, et le samedi matin.
Accueil des classes élémentaires et maternelles de l’école Ivan Peychès 2 jeudis par mois.
La marmothèque accueille les tout-petits accompagnés de leur parent 1 mardi par mois
Suite à la décision de supprimer le passage du bibliobus , la médiathèque propose, au choix :
1) L’accueil sur place dans les locaux de Le Mée sur Seine, une fois par an, pour un choix de documents et ouvrages.
2) La constitution d’un choix d’ouvrages pour une année par notre bibliothécaire-référent, la livraison étant alors effectuée par la médiathèque.
La navette continuera à passer une fois par mois, pour les livres réservés.
Communication :
Le blog « Villevaudé assocs.typepad.fr » tenu à jour régulièrement donne tous les renseignements concernant la bibliothèque : horaires, achats de livres, animations… 53 768 visites ce jour.
Animations 2010 :
Dimanche 4 avril : Chasse aux œufs organisée par la municipalité (atelier de coloriage jeux, questions réponses dans le local de la bibliothèque)
Vendredi 9 et samedi 10 avril : Exposition sur l’Aventure du mètre avec conférences pour l’école le vendredi matin et le vendredi soir pour tous, données par la Société Archéologique de Chelles .
Vendredi 7 mai : Remise des prix du concours Cantonal de poésie dans la salle des Merisiers.
Vendredi 5 novembre : Soirée contes animés par les conteurs du Racontoir de Villeparisis.
Vendredi 19 novembre : Soirée Beaujolais dans la salle des Merisiers.
Samedi 27 et dimanche 28 novembre : Vente de livres sur le marché de Noël organisé par l’association Loisirs Créatifs.
Le bilan 2010 est accepté à l’unanimité.
2) BILAN FINANCIER 2010
La trésorière rend compte du bilan financier : Accepté à l’unanimité
3) DEMANDE DE SUBVENTION 2011
Lecture du document relatif aux recettes et dépenses prévues pour 2011 ( Fonctionnement, aménagement de la bibliothèque, achats de livres, manifestations…) document joint.
La cotisation reste fixée à 10 euros, sachant qu’une étude en cours examinera l’éventualité de gratuité ou de baisse de la cotisation pour la rentrée.
Un changement d’échéance de date et de renouvellement d’inscription sera également étudié dans la mesure où l’informatisation simplifie la gestion des inscriptions.
3) PROJETS 2011
Samedi 19 mars : Exposition proposée par « Villevaudé…demain » sur le thème: « Jardins sans pesticide » (le nettoyage de la Roseraie sera effectué ce même jour)
Vendredi 1er avril : Conférence « l’Amazonie aujourd’hui » organisés par l’association Loisirs jeunes dans le cadre d’une exposition.
Dimanche 24 avril : Chasse aux œufs de Pâques en partenariat avec la municipalité (en projet)
Juin : Goûter des enfants de l’école
Septembre : Exposition sur les églises de la région, avec accueil de l’école en partenariat avec la Société Historique de Claye-Souilly et de ses environs.
Vendredi 18 novembre : Soirée Beaujolais.
Une ou plusieurs soirées contes (thèmes dates animateurs à définir)
Vente de livres
D'autres projets sont en cours d'élaboration.
4) RENOUVELLEMENT DU CONSEIL D’ADMINISTRATION
Appel à candidature pour 8 membres
Rappel des statuts: Pour être membre du conseil d’administration il faut avoir payé la cotisation.
Deux postes étant vacants, Mesdames Grandeau et Mazoyer sont élues à l’unanimité.
Ce vote sera suivi de l’élection des membres du bureau par les membres du CA
Sont élues à l’unanimité au bureau de la bibliothèque
Annie Ghysens, réélue présidente
Isabelle Kolifrath, réélue vice-présidente
Jocelyne Da Silva, élue trésorière
Valérie Parmentier, élue trésorière adjointe
Yvette Godefroy, réélue secrétaire
Sophie Martina, réélue secrétaire adjointe
Plus rien n’étant à l’ordre du jour, la séance est levée à 12h
DAVID TRUEBA
FLAMMARION
Écrivain, scénariste et réalisateur né en 1969, David Trueba a remporté un immense succès avec ce troisième roman publié dans onze pays et couronné par le Grand Prix National de la Critique en 2008.
Ses deux romans précédents sont Quatre garçons dans un van (Pauvert, 2002) et Ouvert toute la nuit (Hachette Littératures, 1998).
LE SIECLE 1
KEN FOLLETT
ROBERT LAFFONT
En 1911, les grandes puissances vivent leurs derniers instants d’insouciance. Bientôt la guerre va déferler sur le monde...
Cinq familles - américaine, russe, allemande, anglaise et galloise - vont se croiser, s’aimer, se déchirer, au rythme des bouleversements de l’Histoire : la Première Guerre mondiale et la Révolution russe. Les Williams, une famille galloise de mineurs est liée par amour et par inimitié aux Fitzherbert, aristocrates et propriétaires des mines. Ethel Williams connaîtra une passion secrète avec le comte Fitz, marié à la princesse russe Béa, fille du tsar… et s’engagera en politique, défendra le droit de vote des femmes. Billy Williams quittera la mine pour les tranchées de la Somme, puis le front russe… La farouche Lady Maud Fitzherbert tombera amoureuse de Walter von Ulrich, espion de l’ambassade allemande à Londres. Leurs routes croiseront celles de l'ambitieux Gus Dewar, collaborateur du président américain Wilson, et de deux frères russes orphelins, Grigori et Lev Peshkov, dont le projet d’émigrer se heurte à la guerre, la mobilisation et la Révolution…Passions contrariées, rivalités et intrigues, jeux de pouvoir, coups du sort…
Cette gigantesque fresque brasse toute la gamme des sentiments humains et dresse une galerie de portraits saisissants : des personnages exceptionnels, passionnés, ambitieux, attachants, tourmentés, qui bravent les obstacles et les peurs pour s’accomplir en dépit des tragédies qui les emportent.Entre saga historique et roman d’espionnage, histoire d’amour et lutte des classes,
Le Siècle, la nouvelle épopée de Ken Follett en trois volumes, traverse la période la plus agitée, la plus violente et la plus complexe des temps modernes : la grande aventure du XXe siècle…
Ken Follett est né au pays de Galles en 1949. Il est l’un des plus grands auteurs de best-sellers et de thrillers d’espionnage les plus renommés (L’Arme à l’oe il, Les Lions du Panshir, Le Réseau Corneille, Le Troisième Jumeau…) mais c’est avec ses romans historiques Les Piliers de la terre et Un monde sans fin qu’il a connu ses plus grands succès : vingt millions d’exemplaires vendus à travers le monde. Plusieurs de ses romans ont été adaptés au cinéma. Il vit à Stevnage, en Angleterre, avec son épouse, députée travailliste.
L’ association « De la Dhuys à l’Ourcq » a organisé samedi 8 janvier à 18 h 30 son désormais traditionnel brûle-sapin sur l’esplanade des Merisiers.
C’était le sixième brûle-sapin de l’association qui regroupe 40 adhérents et dont le but est d’entretenir des chemins afin de pouvoir pratiquer des randonnées pédestres, VTT et courses à pied.
Près de 60 personnes, dont le maire, ont participé joyeusement à ce prétexte enflammé qui consiste à se réunir pour échanger ses vœux autour d’un verre de vin chaud, de jus de pomme, ou de cidre chaud à la cannelle.
Cette année, pour la première fois, une soupe de pomme de terre, carotte et spaghetti végétal (courge d’hiver) était servie. Les légumes étaient bio et provenaient de l' AMAP de Pomponne (Association pour le maintien de l’agriculture paysanne) créée en juillet 2010 et à laquelle onze familles villevaudéennes ont adhéré.
S’il faisait moins froid que l’an dernier, le temps était pluvieux et Jean-Pierre Dieulot, président de l’association, a invité avec une pointe d’humour « les personnes à venir aider les bénévoles à souffler sur le feu ». L’embrasement des sapins desséchés rapportés par les habitants n’a cependant posé aucun problème aux organisateurs à la grande joie des spectateurs, petits et grands, dont les yeux ont pétillé à la lueur des flammes.
S. Moroy
Pour en savoir plus sur l' Association De la Dhuys à l'Ourcq, cliquez sur ce lien
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CLAUDIE GALLAY
ACTES SUD
Née en 1961, Claudie Gallay vit dans le Vaucluse. Elle a publié aux éditions du Rouergue L'Office des vivants (2000 , Babel n 944), Mon amour, ma vie (2002 ; Babel J, 2008 , Babel n 991, 2010), Les Années cerises (2004), Seule Venise (2004, prix Folies d'encre et prix du. Salon d'Ambronay; Babel n 725), Dans l'or du temps (2006; Bahel n 874) et Les Déferlantes (2008), qui a reçu le Prix des lectrices de Elle et fera prochainement l'objet d'une adaptation cinématographique.
Février vente Notre feu chante
Mars voici Qui pleure et rit.
Avril est là En chocolat.
Mai joli mai Tout nous promet.
Que vienne juin Rhume des foins.
Juillet brûlant Sur mon chaland.
Joli mois d'août Des fruits partout.
Septembre avance Plus de vacances.
Octobre mouille La feuille rouille.
Novembre vient Quel temps de chien.
Décembre sonne La nuit frissonne.
Il est minuit L'année s'enfuit.
La bibliothèque de la Roseraie, l'Association Loisirs jeunes et l'Atelier Créatif vous présentent leurs meilleurs voeux pour la nouvelle année
Fragments, Marilyn Monroe
Et pour quelques degrés de plus, Christian de Perthuis
Lutte et aime, Guy Gilbert
BD: Aimer à tout casser, Guy Gilbert
BD: Des loups à Faucon, Guy Gilbert
Un coeur pur en enfer, Georges Santin
Le passage du premier pont, Georges Santin
La carte et le territoire, Michel Houellebecq
La volonté du dragon, Lionel Davoust
Mex Hall, Rachel Hawkins
Grimoires, sortilèges et envoutements, Edouard Brasey
The agency le pendentif de jade, YS Lee
La vie est brève et le désir sans fin, Patrick Lapeyre
Le sabre de sang, Thomas Geha
Le coeur de la terre, Maxime Chattam
Level 26, Dark Prophecy, Antony E. Zuiker
C'était De Gaulle, Alain Peyrefitte
Les églises de l'ancien doyenné de Claye, Sté d'histoire de Claye et ses environs
Jeunesse:
Oscar Pill: , Eli Anderson, 3 volumes
La révélation des Médicus,
Les deux royaumes
Le secret des Eternels
De nombreuses nouveautés pour les plus jeunes
Abonnements mensuels
Que Choisir
Maison Bricolage
Science et vie junior
La disparition de Georges DUBOIS me touche au coeur autant qu'un parent proche: Lors de ma nomination à Courtry en 1970, c'est son amitié avec Maxi et Edmond Frassati qui nous a fait nous connaitre.
Ami de toujours, il nous a attirés par sa générosité, son affabilité, son humour, sa modestie, qualités qui n'ôtaient rien à sa forte personnalité, son renom qui ne s'arrêtait ni aux limites de Courtry, ni à celles de la circonscription de Chelles, de la Seine et Marne et certainement au-delà.
Je ne doute pas que la grande sympathie que je lui portais était réciproque.
Lors de la dernière réunion du 22e concours de poésie le 21 octobre 2010, j'ai pris place à côté de lui, nous avons plaisanté mais aussi parlé de nos familles, de l'amitié Dubois-Frassati qui a toujours été forte.
Le concours de poésie organisé cette année par Courtry aura pour moi un goût amer.
Nous ne tarderons pas à nous rendre compte du vide laissé pas sa disparition et son souvenir durera encore très très longtemps.
Georges, tu vas nous manquer,
Y.Frassati-Godefroy
Lisez l'hommage que le Journal La Marne lui consacre dans son édition du 8 décembre 2010,en cliquant sur l'image
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ANNE PLICHOTA ET CENDRINE WOLF
X0 EDITIONS
Attention, ce livre est magique. Quand on fait la connaissance d’Oksa, on ne peut plus se passer d’elle, de la formidable famille Pollock et de ses créatures extravagantes…
TOME 1: L'INSPEREE
Oksa Pollock, 13 ans, pensait être comme tout le monde, mais ce soir tout a changé... Un peu angoissée par la rentrée dans son nouveau collège, Oksa déclenche tout à coup des phénomènes étranges dans sa chambre. Un coin de son bureau prend feu, ses cartons de déménagement pas encore défaits explosent... Elle qui a toujours rêvé d'être une ninja, voilà qu'elle se découvre des dons surnaturels ! Perdue et terrifiée, elle se garde bien d'en parler. Mais ce n'est pas fini. Le même soir apparaît sur son ventre une mystérieuse empreinte. Mise dans la confidence, sa grand-mère, l'excentrique Dragomira, lui avoue le secret de ses origines : la famille Pollock vient d'Edéfia, un monde invisible caché quelque part sur Terre. Oksa est leur Inespérée, leur seul espoir d'y retourner. Oksa ne sera plus jamais la même. Et malgré l'aide de son meilleur ami Gus, il va lui être bien difficile de concilier sa vie de collégienne ordinaire avec l'accomplissement de son stupéfiant destin.
Gus a disparu ! Le meilleur ami d’Oksa s’est volatilisé ce matin, quelque part dans St Proximus, leur magnifique collège londonien. Oksa ne retrouve que son portable, gisant sur le sol d’une salle de classe.
Dans la mémoire de l’appareil, la photo, floue, d’une femme étrangement familière. Qui est-elle ? Qu’est devenu Gus ?
La jeune fille l’ignore encore, mais en cherchant la vérité elle va révéler des secrets de famille jusque-là soigneusement cachés. Et dangereux. Alors pour sauver son ami, elle n’hésite pas à plonger dans un monde parallèle, un monde où la magie côtoie la peur, où les épreuves mortelles n’épargneront pas les Sauve-Qui-Peut.
Aidée par les irrésistibles Foldingots, sans oublier la frileuse Devinaille, la jeune Gracieuse trouvera-t-elle à temps l’unique issue de la forêt des égarés ?
L'histoire de ce livre est aussi extraordinaire que son contenu. A l'origine autoéditées, les aventures d'Oksa Pollock imaginées par Anne Plichota et Cendrine Wolf ont suscité l'adhésion immédiate des jeunes lecteurs qui se sont transmis leur enthousiasme, faisant peu à peu de cette série exceptionnelle un succès jamais vu. La Pollockmania ne fait que commencer...
DE ROIS ET D' ELEPHANTS
MATHIAS ENARD
EDITIONS LEMEAC
13 mai 1506, un certain Michelangelo Buonarotti débarque à Constantinople.
A Rome, il a laissé en plan le tombeau qu'il dessine pour Jules II, le pape guerrier et mauvais payeur.
Il répond à l'invitation du Sultan qui veut lui confier la conception d'un pont sur la Corne d'Or, projet retiré à Leonardo da Vinci.
Urgence de la commande, tourbillon des rencontres, séductions et dangers de l'étrangeté byzantine, Michel Ange, l'homme de la Renaissance, esquisse avec l'Orient un sublime rendez-vous manqué.
Par l'auteur du très remarqué "Zone" (prix Décembre 2008 et prix du livre Inter 2009).
Le week-end du 27 et 28 novembre a vu la 2e édition du marché de Noël. Avec toujours le même succès…
Ce marché s’est déroulé cette année à la salle des Merisiers où a flotté une bonne odeur de vin chaud durant tout le week-end.
Isabelle Kolifrath avait tout lieu d’être satisfaite devant ce nouveau succès, tant auprès des exposants que des visiteurs.
« Les 32 exposants viennent des communes voisines car la publicité s’est faite du bouche à oreille, le marché de Noël ayant déjà acquis sa renommée depuis la première édition 2009 » a précisé la présidente de l’Atelier créatif, organisateur de l’événement.
Guirlandes, boules, santons, bougies, céramiques, calendriers de l’Avent ont apporté leurs joyeuses notes vives et colorées. Pour les gourmets, chocolats, confiseries, gâteaux et même des huîtres d’un producteur de l’Ile-d’Oléron et du champagne d’un récoltant de Ludes, près de Reims.
Les visiteuses se sont attardées devant les stands de bijoux fantaisie et création artisanale, dont deux d’entre eux affecteront une partie du produit de leur vente au profit d’organisations humanitaires (orphelinat Sury Children Welfare au Népal et village d’Attogbo au Bénin).
La bibliothèque de la Roseraie proposait des livres neufs et un écrivain dédicaçait ses ouvrages. Serge Santin, un auteur noiséen pour qui « le plaisir d’écrire consiste à lier les souvenirs avec l’imaginaire », a choisi de narrer en deux tomes une saga familiale et une histoire d’amour via les pérégrinations d’un immigré italien qui fondera une famille en France. Après « Le passage du pont », son deuxième livre « Un cœur pur en enfer » paru en début d’année couvre la période fin 1942 jusqu’à la Libération.
Ambiance musicale
Samedi après-midi, la formation « Claye Wind’ Band », groupe de jazz du Conservatoire de musique de Claye-Souilly a mis du swing dans la salle. Dimanche, alors que le maire de la commune André Chopelin passait saluer les organisateurs, c’était au tour de l’association buxangeorgienne « Captain Croche » de donner un concert de piano et violoncelle sur le thème de Noël. Créée tout récemment par Thiphaine Magids, professeur de solfège et piano au Conservatoire de Claye-Souilly, cette association entend promouvoir les activités artistiques et culturelles et faciliter l’accès aux cours de musique pour les familles.
Elle file la laine de ses moutons
Sur son vieux rouet en bois, Annie Den Hollander filait la laine. La Villevaudéenne élève ses six moutons qu’elle tond au mois de mai (une année entière étant nécessaire à la repousse). Cette laine sera ensuite cardée. « Le cardage est une technique qui prépare la laine crue pour le filage. Mais toutes les laines ne se prêtent pas au filage. Si celle-ci est trop sèche, elle casse. Le filage dure 3 heures et une fois l’écheveau constitué, la laine est lavée pour être dégraissée. Quand les écheveaux sont secs, on peut commencer à tisser. Il faut un kilo de laine pour faire un bon pull. Pour une veste taille 42 comprenant 100 % de laine de qualité, deux toisons de mouton et 10 heures de travail sont nécessaires. Viennent ensuite la coupe, le montage et les finitions qui demandent encore plusieurs heures de travail » a-t-elle répondu aux visiteurs étonnés de la voir filer sa laine avec autant d’entrain.
Quand tradition, culture et artisanat sont au rendez-vous, que peut-il encore manquer à un marché de Noël ?
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Dans le cadre de la campagne nationale « Réduisons vite nos déchets, ça déborde », mise en œuvre par FNE (France Nature Environnement) et soutenue par L’ADEME (Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie), la semaine de réduction des déchets (SRD) a eu lieu du 20 au 28 novembre 2010.
Depuis 2009, cette semaine est devenue européenne. En effet, le projet européen LIFE+ « European Week for Waste Reduction », soutenu par la commission européenne et coordonné entre autres par l’ADEME, a débuté en janvier 2009 et vise à organiser pendant 3 ans (2009 à 2011) une même semaine, partout en Europe, des actions de sensibilisation sur la réduction des déchets (SERD).
L’association de défense de l’environnement « Villevaudé...demain » a voulu cette année sensibiliser les enfants. En coordination avec FNE qui fournit l’exposition « Moins d’ordures pour les générations futures » mise en place dans le hall de l’école Ivan Peychès, Marie-Françoise Pian et Monique Mazoyer de « Villevaudé…demain » sont passées dans toutes les classes du CP au CM2 en expliquant aux enfants comment à leur niveau ils peuvent contribuer à la réduction des déchets. Leur démontrant qu’un simple goûter comportant petits gâteaux emballés et suremballés, briquette de jus de fruit, compote de pomme peut produire, en leur faisant un petit calcul simple, jusqu’à 14 kg de déchets par an et cherchant avec eux des solutions comme, utiliser une gourde et mettre des gâteaux (achetés en plus grosse quantité) dans une boîte réutilisable. Leur faisant remarquer que le meilleur déchet est celui que l’on ne produit pas, que la réduction des déchets se pratique au quotidien, très facilement. et que le déchet que l’on ne peut éviter, on le trie et on le recycle. Mais là, elles ont pu voir que les enfants étaient bien au courant du tri et surtout du compostage ravies de constater que l’animation qu’elles avaient faite il y a deux ans sur la fabrication du compost porte ses fruits.
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Salle comble au théâtre Luxembourg dimanche 21 novembre après-midi pour le concert donné au profit des malades du Nord Seine-et-Marne atteints du cancer …
Oeuvre contemporaine d’Etienne Perruchon, "Dogora" est un aussi un concentré de notre monde car dans cette œuvre il y a la vie, la mort, la tristesse de l’éloignement, la joie des retrouvailles, la mélancolie, la haine, la violence, la guerre. Vous ne comprendrez pas les paroles, mais vous ne pourrez pas rester insensibles à ce que vous allez entendre. Ouvrez vos yeux, vos oreilles, votre cœur et laissez-vous porter par la musique. Partageons ensemble ces instants uniques qui permettent aux hommes grâce à quelques notes de musique d’oublier momentanément leurs peines et leurs souffrances » a annoncé Marie-Hélène Caspar, présidente du Festival de musique de Claye-Souilly et chef du Chœur Odyssées, au début de ce concert exceptionnel réunissant 235 choristes des chorales de Seine-et-Marne et 80 musiciens de l’orchestre symphonique du Val-Maubuée.
Etienne Perruchon déclarait dans une interview le 16 juin dernier à Annecy : « Quand j’écris une œuvre comme Dogora ou Tchikidan, je n’ai pas d’idée préalable sur l’effet qu’elle doit avoir sur les gens. J’invente juste la musique que j’aime entendre et je constate ce qui se passe. Bien sûr, je me rends compte de ce que cela provoque et je ne tourne pas le dos à cela. J’essaie simplement de comprendre et d’accompagner les effets collatéraux de ma musique en toute humilité ».
Et le rêve devint réalité
« Un jour, j’ai découvert sur Radio-Classique l’œuvre d’Etienne Perruchon, Dogora, et à l’instar du cinéaste Patrice Leconte et de beaucoup d’autres, je fus subjuguée par cette musique fascinante, obsédante, tour à tour douce et violente, musique comparable à nulle autre. Produire un concert Dogora devint à ce moment-là pour moi un rêve. Mais Dogora nécessitait non seulement un orchestre symphonique, mais également la participation de centaines de choristes, enfants et adultes, ainsi que de solistes. Seules les villes d’une certaine importance avaient déjà pu mettre en place ce type de spectacle » reconnaissait Marie-Hélène Caspar. Sa rencontre avec Véronique Audoli, directrice du Conservatoire du Val-Maubuée, Jean-Michel Henry, chef de l’orchestre symphonique du Val-Maubuée, et Francine Desmarchelier, présidente de l’AVACS (Association « Vaincre le cancer solidairement »), a permis de monter ce projet grandiose de rassembler au bénéfice d’une grande cause huit chorales (*) avec l’orchestre symphonique du Val-Maubuée.
« L’AVACS avec ce concert clôt l’année anniversaire de ses 10 ans. Elle a été créée par des malades pour venir en aide aux autres malades » a ajouté Francine Desmarchelier. Son association, dont le siège est à la clinique Saint-Faron de Mareuil-les-Meaux, vise l’amélioration du confort des malades, leur accompagnement et le soutien du programme « Apprendre à vivre avec le cancer ». Dans le cadre de son action, l’AVACS a mis en place six ateliers de retour au bien-être qui sont gratuits pour les malades.
Des frissons à l’unisson...
Dès que les chants dogoriens ont résonné dans l’espace du théâtre sous la direction de Jean-Michel Henry, ils ont envoûté par leur beauté et leur puissance émotionnelle les quelques 600 spectateurs. Une musique de douceur et de tempête, une ode flamboyante à la vie. Les compliments ont fusé à la fin du spectacle. « C’était magnifique, j’ai eu des frissons dès le début, au tout premier chant » a avoué Yvette Gilardin venue de Chelles pour le concert. « Je ne connaissais pas Dogora. J’ai beaucoup apprécié cette langue imaginaire qu’est le dogorien avec ses consonances slaves et j’ai envie d’en savoir un peu plus sur cette oeuvre » déclarait pour sa part Bernard, un Meldois solidaire de la lutte contre le cancer.
Un prochain concert aura lieu dimanche 30 janvier 2011 à 16 heures au centre culturel Jacques-Prévert à Villeparisis. Il sera donné au profit de l’association « Le rire médecin : de vrais clowns à l’hôpital » dont la marraine est l’actrice Anny Duperey. S. Moroy
(*) l’ACVM de Noisiel, la chorale des enfants du Conservatoire du Val-Maubuée, la chorale des enfants de la Maîtrise Sainte-Marie (Meaux), la chorale des enfants du Conservatoire de Claye-Souilly, Chant’Annet (Annet-sur-Marne), Chœur Odyssées (Claye-Souilly), Petit Chœur du Grand-Morin (Villiers-sur-Morin) et Vocalizes (Lizy-sur-Ourcq),
Plus d’infos sur Dogora : festivalclaye.over-blog.com
Plus d’infos sur l’AVACS : www.avacs.fr
Publié dans 00 A Villevaudé , 18 Chroniques de Serge, 24 Musique | Lien permanent | Commentaires (5)
Christian de Perthuis est professeur d'économie à l'université Paris-Dauphine et directeurdu PREC (programme de recherche sur l'économie du climat) conduit, avec le soutien de la Caisse des Dépôts, dans la chaire Finance & Développement durable de l'université Paris-Dauphine et de l'école Polytechnique. Il a publié avec Denny Ellerman et Frank Convery Le Prix du carbone (Pearson et Cambridge University Press), ouvrage de référence sur le marché européen du carbone et, avec Anaïs Delbosc, Idées reçues sur le changement climatique (Cavalier Bleu).
COMMEMORATION DE L'ARMISTICE
Ce 11 novembre - jour du recueillement autour de nos monuments - nous donne l'occasion de vous faire découvrir le monument aux morts de l'Ile Rousse en Haute Corse, réalisé par Antoniucci Volti ( 1915-1989): Une femme tend son enfant en direction de la mer..
Sculpteur de renommée mondiale Volti a consacré sa vie d’artiste à célébrer la femme :
« Ce qui m’intéresse, c’est moins la femme que son architecture... C'est dans le corps de la femme que je puise mon inspiration ».
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Ne manquez pas de visiter l'exposition " les femmes dans la grande guerre " présentée par le musée de la grande guerre de Meaux, en collaboration avec la médiathèque de Meaux.
Cette exposition abordera la thématique de la place des femmes dans la Grande Guerre, leurs engagements, leur quotidien et les grandes figures féminines de l’époque, à travers notamment les collections d’arts graphiques.
Tout au long de ces 4 mois d’exposition, de nombreuses actions culturelles seront proposées au public.
Exposition visible du 11 novembre 2010 au 31 mars 2011
Adresse: Musée Bossuet Meaux.
Cité Episcopale
Entré libre
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Tels des magiciens, les conteurs du racontoir de Villeparisis nous ont fait entrer dans l'univers du conte...Ils ont leurs secrets, leurs formules: l'auditoire attentif et passionné s'est vu transporté dans le monde imaginaire du rêve, du fantastique, Chaque parole est une image qui défile, et nous fait oublier le monde de la réalité.
Tout le monde sait que les tiroirs de la cuisine il y a toujours quelque chose qui pique dans le fond... Un monstre y est-il caché?
En entrant dans le champ maléfique de la sorcière, la fiancée a été transformée en rossignol.. son fiancé parviendra-t-il à la délivrer grâce à la petite fleur rouge avec un perle dans le coeur?
Qu'arrivera-t-il à cet homme magicien qui enlève les jeunes filles?
Si vous allez chez votre grand père dans le Limousin, peut être pourrez vous rencontrer le vrai diable dans les bois?
Greta et Hansen, abandonnés dans la forêt, arrivent dans une délicieuse maison en pain d'épice... mais c'est une méchante sorcière qui habite cette jolie maison...
En Irlande, la pauvre Mary qui n'a plus d'argent pour manger trouve deux louis d'or !! Elle rêve de manger du foie.....Elle envoie John son mari, lui en acheter deux tranches au village...
Et qui sont les Conteurs du Racontoir de Villeparisis? Serge vous en dira plus dans une prochaine note....
GUY GILBERT
EDITIONS PHILIPPE REY
Prêtre-éducateur, Guy Gilbert est l'auteur d'une trentaine de livres dont les plus connus sont L'Evangile selon saint Loubard, Jusqu'au bout et Rallumez le feu !
Disparition d'Henry Dunant, fondateur de la Croix Rouge
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