JACQUES SAUSSEY
TOUCAN NOIR
Tél. : 01 60 26 20 19 - Fax : 01 60 26 51 08
JACQUES SAUSSEY
TOUCAN NOIR
Durant le week-end du 9 avril 2016, la salle des Merisiers abritera une collection exceptionnelle de girouettes anciennes.
Elles proviennent du Berry et ont été rassemblées par Marcel et Huguette Suhard, un couple d’enseignants à la retraite demeurant à Issoudun (Indre).
« Nous sommes passionnés par les traditions populaires du Berry. Très vite, nous est apparue l’urgence de témoigner de la richesse des images déployées au-dessus des toits. Les girouettes sont très mobiles et s’usent. Elles disparaissent bien souvent sans laisser de trace. Après avoir pris de nombreuses photos, nous avons entrepris de les collecter. Aujourd’hui, nous en avons plus de 450 dont une soixantaine est proposée depuis 1991 dans le cadre d’expositions temporaires » explique Marcel Suhard.
Intitulée « Messagères des toits », l’exposition révèle ainsi une sélection très représentative du travail et de la vie quotidienne des hommes.
Car si son sens premier était bien d’indiquer la direction du vent, la girouette se voulait être plus que cela pour son propriétaire. Souvenir de croisade, symbole des légendes mythiques ou des métiers de la terre, l’instrument envoyait aussi un message aux passants.
En plus de la variété des silhouettes, les visiteurs pourront observer les différentes techniques ayant prévalu à leur fabrication et montage. L’initiative de cette exposition revient à Catherine Godart, 1ère adjointe à la culture, aux associations et affaires sociales.
« Après avoir découvert leur collection inédite, j’ai tout simplement eu envie de la faire partager aux Villevaudéens ».
S. Moroy
Samedi 9 avril, de 14 h à 18 h, et dimanche 10 avril, de 10 h à 12 h 30 et 14 h à 18 h. Salle des Merisiers, rue Adèle Claret à Montjay-la-Tour, grand parking attenant. Entrée libre.
Publié dans 00 A Villevaudé , 18 Chroniques de Serge | Lien permanent | Commentaires (0)
Les plus jeunes trouveront leur bonheur dans cette collection mise en rayon cette semaine
Le lagon noir, Anarldur Indridason
La fille de Brooklyn, Guillaume Musso
En attendant Bojangles, Olivier Bourdeault
Prix du roman des étudiants France Culture -Télérama 2016: En attendant Bojangles d'Olivier Bourdeault (Éditions Finitude)
A lire ou à relire, Jean Pierre Coffe (24 mars 1938 - 29 mars 2016)
Dès l’ouverture du parc de la Roseraie, dimanche 27 mars à 10 h, le maire Pascal Pian et quelques élus n’étaient pas de trop pour contenir la fébrile impatience des jeunes Villevaudéens, invités à participer à la traditionnelle chasse aux œufs de Pâques.
Mais tout d’abord, les intrépides chasseurs devaient passer par la case accueil, afin de recevoir un petit panier. Il fallait le décorer à l’aide de gommettes multicolores et de feutres mis à leur disposition sur de grandes tables. « Environ 160 œufs en plastique ont été disséminés dans ce très beau parc de 6200 m². Les enfants doivent en ramener quatre de couleurs différentes pour recevoir un sac de vrais œufs en chocolat » précise Olivier Tétard, 27 ans, responsable depuis septembre de l’espace jeunesse, et organisateur de l’événement avec la municipalité.
Une mission très facile pour la plupart des enfants. Un lapin géant en peluche intervenait toutefois pour aider les plus petits à trouver les œufs cachés, tout en se prêtant aux incontournables photos souvenirs dans les allées du parc. Et en attendant le retour de leur chère progéniture, les parents pouvaient déguster une collation et discuter tout à loisirs sous le grand barnum installé pour la circonstance devant le parvis de la bibliothèque.
L’espace jeunesse, qui fonctionne depuis fin 2013 et dont le local se trouve dans l’enceinte même du parc (ancien magasin Vival), est ouvert en période scolaire, les mercredis et samedis, de 14 h à 18 h. En période de vacances, les activités du club ont lieu du lundi au vendredi, de 9 h à 12 h et de 14 h à 18 h. Parmi les projets, une visite de deux jours au Puy du fou est programmée pour cet été. « Il y aura une vingtaine de participants, mais il reste encore des places » a tenu à préciser Olivier.
Mail : [email protected]
Publié dans 00 A Villevaudé , 18 Chroniques de Serge | Lien permanent | Commentaires (0)
Charny, un fest-noz pour une bonne cause
Ambiance joyeuse, samedi 19 mars 2016, à la salle des fêtes de Charny où 140 personnes ont célébré le traditionnel fest-noz de la Saint-Patrick.
Après une initiation collective aux danses bretonnes, les groupes Andorin, Hon-Daou et kejadenn ont chauffé la salle, entraînant débutants et danseurs confirmés sur la piste. Et ceux qui ne pratiquaient pas le plinn, la gavotte, l’andro ou la polka piquée ont pu admirer le spectacle en savourant une crêpe ou une galette, accompagnée d’un verre de cidre.
« C’est l’association Tous en scène, créée en septembre 1998 et qui regroupe treize communes de Seine-et-Marne, qui est à l’initiative de cet évènement. Le but est de recueillir des fonds pour les chiens guides d’aveugles dont l’école de formation est à Coubert » explique Xavier Ferreira, maire de Charny.
Grâce aux actions de l’association, quatre chiens en douze ans ont pu être offerts à l’école de Coubert, sachant que la formation d’un chien guide coûte environ 15 000 euros. Sylvie, 63 ans et demi, est déficiente visuelle. Résidant à Lognes, c’est la quatrième fois qu’elle assiste à la fête charnicoise.
Ice-T avec sa maîtresse Sylvie, entre Xavier Toussaint et Xavier Ferreira (à droite)
Avec elle, Ice-T, son nouveau labrador. « Il a trois ans et je l’ai depuis novembre. Il très affectueux et connaît une cinquantaine de consignes. C’est mon deuxième chien. J’ai gardé le premier, Balzac, qui coule maintenant une retraite paisible ». Assis à ses côtés, Xavier Toussaint, directeur général de l’école d’Ile-de-France de Coubert.
« L’éducation d’un chien guide d’aveugle dure environ deux ans. Elle comprend deux étapes essentielles. Le chien est d’abord placé en famille d’accueil durant un an pour sa socialisation. Elle se poursuivra avec un éducateur spécialisé qui lui apprend les techniques et les consignes dans notre école afin qu’il soit opérationnel » S. Moroy
Plus d’infos sur les chiens guides d’aveugles : www.chiens-guides-idf.fr
Publié dans 18 Chroniques de Serge, 19 Près de chez nous | Lien permanent | Commentaires (0)
Mercredi 23 mars: Troisième volet de l'étude que l'association Villevaudé... demain et Seine et Marne Environnement nous invitent à mener sur une période à long terme, l'objectif étant de nous sensibiliser aux bienfaits et à la valeur des zones humides, aujourd'hui menacées. La préservation de ce patrimoine naturel représente des enjeux environnementaux, économiques et sociaux importants.
La journée du 30 janvier nous avait fait découvrir l'origine, l'intérêt, le rôle important que les zones humides jouent dans la préservation de nos écosystèmes, les menaces qu'elles subissent.
Le 12 mars, Chloé Chabert nous emmenait sur les berges de trois mares de Montjay-la-Tour, (la mare du parc de la Roseraie, la mare neuve et la mare Baunay) pour une étude sur la caractérisation de nos mares.
Mercredi 23 mars, une troisième journée particulièrement riche en apprentissages et en découverte avec Chloé Chabert et Charlie Darenne... un constat très encourageant à la clé.... grand nombre de tritons crêtés, tritons ponctués, grenouilles agiles, crapauds colonisent nos mares.
Quelques photos
Tritons crêtés mâles et femelles
Publié dans 00 A Villevaudé , 25 Environnement | Lien permanent | Commentaires (0)
Un très grand moment passé avec les artistes du Quatuor Baïkal pour un concert à la salle des Merisiers
Dès les premières minutes, le public est tombé sous le charme des pièces classiques du répertoire russe, Tchaikovsky, Moussorsky, Rachmaninoff, Khatchatourian, Lev Knipper, Troyanovsky, ainsi que des grands airs traditionnels russes, la Fantaisie sur Kalinka, Katioucha, les Yeux noirs, Souviens-toi, la Chanson de Lara... et bien d'autres...
La voix de Maria Kondrashkova, mêlée au son des instruments a été un enchantement.
Le Quatuor Baïkal
Maria Kondrashkova, mezzo-soprano, travaille au choeur de l'Opéra de Paris depuis 2011. Après des études au conservatoire Tchaikovsky de Moscou, elle entre à l'école normale de musique Alfred Cortot à Paris pour accomplir son éducation d'art lyrique.
Bodgan Nesterensko joue sur un bayan russe qui se distingue des autres accordéons par une gamme de registres plus étendue.. Il peut choisir le basson, la flûte, le piccolo, le plein jeu, l'orgue. Diplômé du Conservatoire Supérieur de Musique de Kharkov en Ukraine, Bodgan est installé à Lille depuis 2007.
Leila Soldevilla est contrebassiste classique et jazz de formation, compositrice et arrangeuse. Après un diplôme d'Etudes musicales de contrebasse classique en 2008, elle continus ses études au Conservatoire Royal de la Haye, puis en master au CNSMD de Paris. C'est en 2013 qu'elle rencontre Micha Tcherkassky, découvre la musique russe classique et traditionnelle et la balalaïka contrebasse...
Micha Tcherkassky, directeur artistique du groupe, a étudié la balalaïka au Conservatoire Rachmaninoff à Paris pour ensuite se perfectionner à Moscou. La balalaïka a la particularité d'être jouée exclusivement avec les doigts.
Ajoutons un petit plus que nous devons à la municipalité: le plaisir de faire connaissance avec les artistes avec qui nous avons partagé petits fours et petit verre servis à l'issue du concert...
Publié dans 00 A Villevaudé | Lien permanent | Commentaires (0)
MARIE NEUSER
FLEUVE NOIR
SALLE DES MERISIERS
MONTJAY LA TOUR
Né en septembre 2013, le quatuor Baïkal présente les pièces classiques et traditionnelles du répertoire russe, de quoi faire plus ample connaissance avec l’univers musical de la grande et belle Russie. L’âme slave dans ce qu’elle recèle de fougue, d’exaltation et de passion !
Le quatuor Baïkal est la réunion de quatre talents : la voix voluptueuse de la mezzo-soprano Maria Kondrashkova, de la balalaïka de Micha Tcherkassky, du bayan l’accordéon russe de concert de Bogdan Nesterenko et de la balalaïka-contrebasse de Leila Soldevila.
Ces quatre artistes de formation classique ont décidé de former ce quatuor consacré à la musique russe.
Sous la direction artistique de Micha Tcherkassky, le répertoire du quatuor comprend des œuvres majeures des grands compositeurs russes : Tchaikovsky, Mousorgsky, Rachmaninoff, Khatchatourian et aussi des grands airs russes traditionnels connus : les Yeux noirs, Katioucha, la fameuse « fantaisie sur le thème de Kalinka » et beaucoup d’autres…
Publié dans 00 A Villevaudé | Lien permanent | Commentaires (0)
Nous sensibiliser aux bienfaits et à la valeur des zones humides...C'est le deuxième volet de l' étude que l'association Villevaudé... demain nous invite à mener sur une période à long terme. Faisant suite à la journée du 30 janvier, cette formation sur la caractérisation de nos mares a été effectuée sur le terrain, sous la conduite de Chloé Chabert de Seine et marne environnement
L’observation de trois mares de Montjay-la-Tour a permis au groupe de participants de définir ce qui les caractérise, le type de mare, l’alimentation, l’état de conservation, les dangers qui les menacent, la configuration de leurs berges, le recouvrement herbacé de leur surface, la présence de déchets anthropiques, leur usage…. Par ailleurs il a été nécessaire de se familiariser avec un vocabulaire spécifique, « l’atterrissement, l’écrémage, le faucardage, les hélophytes, les hydrophytes, les déchets anthropiques »….
La mare neuve à Montjay-la-Tour apparait en mauvais état de conservation... le phénomène de comblement naturel est un facteur important qui la menace.
Qui donc vient troubler ma tranquillité en cette belle journée ensoleillée.... pense cette cane colvert.... son compagnon n'est pas loin..
La mare neuve est une mare d'habitation, autrefois utilisée pour les animaux et alimentée par une buse venant du bois (actuellement hors d'usage)
La mare du parc de la Roseraie a été réhabilitée en 2015 par la municipalité. Les berges en pente douce permettront à la végétation de s'implanter. c'est une mare ornementale, alimentée naturellement.
En un premier temps, la mare avait été sécurisée en raison du danger que représentait la pente des berges. Ces dernières années les adhérents de deux associations, la Dhuys à l'Ourcq et villevaudé...demain ont consacré une journée chaque année pour nettoyer la mare et ses abords.
La mare Baunay, aux abords des tennis, présente les caractéristiques d'une mare de forêt, aux pentes raides. On note la présence de végétaux, bois branches, arbres morts...
La mare Baunay il y a un siècle... L'absence d'habitations permet d'apercevoir la mairie de Montjay
A bientôt pour la prochaine journée de découverte d'une de nos mares..
Simultanément, la DDO était présente sur l'opération DEFI77 pour l'environnement 1000km d'accotements nettoyés...
Publié dans 00 A Villevaudé , 25 Environnement | Lien permanent | Commentaires (0)
MARTIN MICHAUX
KENNES EDITIONS
Une nouvelle enquête de Victor Lessard!
Dans ce qui a tout l'air d'être un drame familial, une femme et ses trois enfants sont sauvagement tués à coups de hache. L'auteur présumé du carnage, le mari, s'est suicidé après s'être tranché la langue. Mais est-ce bien ce qui s'est passé ? Deux jours après, une alerte enlèvement est déclenchée à l échelle de la province de Québec: une jeune fille dévoilant ses charmes sur Internet a été kidnappée. Par qui? Pourquoi? Deux énigmes que vont s'attacher à résoudre en parallèle deux policiers au style rentre-dedans: Victor Lessard qui, sans compter les cadavres laissés derrière lui, en voit d'autres surgir de son passé, enlaidis par le temps; et Jacinthe Taillon, son ancienne coéquipière à la Section des crimes majeurs, qui lui voue une haine infernale. Naviguant à travers le fanatisme religieux et la perversité de démons ordinaires, ils vont s'engager dans une valse à quatre temps diabolique entre Montréal, Sherbrooke, Val-d Or et... le Vatican. Jusqu'à découvrir le secret terrifiant de la chorale du diable.
Cette carte affichée à la bibliothèque, situe d'après un plan de 1843 la plupart des mares, rus et puits de Villevaudé. Cette année, la commune de Villevaudé, Seine et Marne Environnement et et l'association Villevaudé...demain se sont associés à la commémoration de la « Convention de Ramsar » ceci dans le but de faire connaître les zones humides, leur origine, en apprécier leur intérêt, le rôle important qu’elles jouent dans la préservation de nos écosystèmes, les menaces qu'elles subissent.
Les mares sont considérées comme des zones humides au titre de la loi sur l'eau du 3 janvier 1992.
Faisant suite à la conférence débat du Samedi 30 janvier animée par Chloé Chabert, nous assisterons le samedi 12 mars à une seconde journée de sensibilisation, nous partirons à la découverte d’une mare de notre patrimoine naturel.
Irons-nous étudier les bienfaits de la mare aux sangsues? du ru morte mère? du trou au loup? de la mare à Denis? de la mare banane? de la mare neuve? Il faut dire que les noms bien insolites devraient nous inciter à en savoir plus.. d'autant que la météo nous sera favorable....
Alors rendez-vous en mairie de Villevaudé samedi 12 mars à 14h
Publié dans 00 A Villevaudé , 25 Environnement | Lien permanent | Commentaires (1)
En 1910, on célèbre déjà un jour un peu spécial, la "Journée Internationale consacrée à la lutte des femmes".
À Copenhague en 1910, c’est lors de la deuxième conférence des Femmes Socialistes regroupant 100 déléguées venant de 17 pays, que Clara Zetkin fait adopter une résolution instituant tous les ans une "Journée Internationale" consacrée à la lutte des femmes.
Dès 1911, les États-Unis, la Suisse, l'Autriche ou l'Allemagne ont commencé à la célébrer. L'année suivante, la France a suivi le mouvement. Et depuis chaque année, de nouveaux pays rejoignent la lutte.
Si les premières revendications étaient essentiellement économiques, (on a jusqu'à cette année essentiellement manifesté pour les salaires, la semaine anglaise, c'est-à-dire avoir le samedi après-midi chômé, ou le congé maternité), elles sont en 1914 nettement plus politiques, notamment outre-Rhin.
Les femmes allemandes vont manifester dans quelques jours pour réclamer le droit de vote et défiler pour la paix tandis que les tensions montent en Europe.
Elles veulent aussi exprimer leur solidarité à Rosa Luxemburg récemment condamnée pour avoir critiqué l'empereur et la guerre.
Rosa Luxemburg milite avec passion contre les risques de guerre en Europe.
En septembre 1913, elle prononce à Francfort-sur-le-Main un discours enflammé dans lequel elle appelle les ouvriers allemands à ne pas prendre les armes contre des ouvriers d'autres nationalités. Cela lui vaut de passer, le 20 février 1914, en jugement pour « incitation publique à la désobéissance ».
Durant les mois que durent les diverses procédures, Rosa Luxemburg continue de diffuser ses thèses et de militer ardemment contre la guerre.
Elle sera assassinée en 1919.
Publié dans 02 Une vie, une oeuvre, une date | Lien permanent | Commentaires (0)
JUDITH PERRIGNON
L'ICONOCLASTE
EMMANUEL PROST
EDITIONS DE BORÉE
La Grande Guerre terminée, Hélène, infirmière au Val-de-Grâce, se rend au chevet de sa mère, qui lui confie dans un dernier soupir qu'elle n'est pas sa vraie génitrice. Son père, Joseph, lui relate alors l'aventure de sa naissance, d'une mère internée dans un asile et morte dans un incendie. Embauchée à l'hôpital de Douai, Hélène fait la rencontre de Stéphane Lacasse, un copain d'enfance, mineur et tout juste de retour du front : le coup de foudre est réciproque. Lors d'une réunion pour la reconstruction des géants de Douai, les Gayant, Hélène, accompagnée de Stéphane, effraie un homme, Auguste Bellecourt, généreux donateur, qui croit voir en la jeune femme une revenante. Piquée au vif après ces deux aventures troublantes, Hélène décide de mener l'enquête…
Passionné de littérature et de cinéma, Emmanuel Prost a rapidement été attiré par la volonté d'écrire : d'abord un recueil de nouvelles, Concerto sur le Sornin, puis un roman Kamel Léon, les tribulations d'un métamorphe. Après La Descente des anges, il publie son deuxième roman aux éditions De Borée et continue de rendre hommage à l'ex-bassin minier artésien, sa région d'adoption.
LE VESTIBULE DES CAUSES PERDUES
MANON MOREAU
Manon Moreau a 31 ans. Elle vit à Paris. Son deuxième roman, Suzanne aux yeux noirs, a paru en mars 2013 chez Delphine Montalant.
Lagny-sur-Marne – Premiers secours
Suite aux attentats de novembre, le ministère de l’Intérieur a décidé de proposer en février des sessions gratuites de sensibilisation aux gestes de premiers secours. La Croix-Rouge française a pris une part active à cette opération nationale et, dans leur local situé rue général Leclerc, l’équipe de Lagny a donné, samedi 13 février après-midi, deux sessions de deux heures. Vingt participants, majoritairement Latignaciens, ont assisté, répartis en deux groupes de dix, aux cours dispensés par Magalie Imbault-Marie, directrice de l’unité secouriste de Lagny. Ils ont appris comment protéger la victime, les numéros d’alerte (15, 18 ou 112), faire une compression ou un garrot en cas d’hémorragie externe, la réanimation cardio-pulmonaire sur une personne inconsciente qui ne respire pas avec usage du défibrillateur, la PLS (position latérale de sécurité) pour une victime inconsciente, mais qui respire.
Intervenir efficacement
« Je suis venue pour savoir réagir sans paniquer face à quelqu’un qui aurait un malaise, avoir quelques éléments pour tenir jusqu’à l’arrivée de secours » confie Nadine, 64 ans, retraitée à Pomponne. « Je tiens un commerce à Vaires, près de la gare, et vois beaucoup de monde. Il arrive qu’il y ait parfois des petits soucis et je préfère avoir des connaissances au cas où » justifie Olivier, 38 ans. Valérie, 39 ans, avoue avoir été confrontée à deux ou trois situations problématiques. Elle a improvisé, mais s’est promis d’apprendre les bons gestes en cas de récidive. Christophe, 34 ans, participe avec son épouse. « On peut parfois être confronté à ce genre de problème avec ses proches et je pense que l’on pourrait s’en vouloir de ne pas avoir suivi une formation pour intervenir efficacement ». Afflux des demandes depuis les attentats ? Magalie reste dubitative. « On a toujours été submergé, mais on ne considère pas qu’il y en a plus. En revanche, on en a toujours trop par rapport à ce qu’on peut assurer car nous sommes bénévoles et l’on a tous un travail ». Neuf secouristes de Lagny s’étaient rendus à Paris pour l’attentat au Bataclan. S.Moroy
Publié dans 18 Chroniques de Serge, 19 Près de chez nous | Lien permanent | Commentaires (0)
Le loup peint, Jacques Saussey
City on fire, Garth Risk Hallberg
Chocolat, l’histoire d’un homme sans nom, Gérard Noirie
L’horizon à l’envers, Marc Levy
Promesse, Jussi Adler-Olsen
La tombe des lucioles, Nosaka Akiyuki
Le livre de la mort, Collectif, Diniz Galhos (Traduction)
Le cimetière du diable, Diniz Galhos (Traduction)
Le Pape, le Kid et l’Iroquois, Anonyme
Les nouvelles histoires extraordinaires de l’Histoire, Pierre Bellemare
Toujours là, toujours prêt, Patrice Pelloux
Il a jamais tué personne mon papa, Jean Louis Fournier
(Cécile et le monsieur d’à côté de Philippe Setbon est en arrêt de distribution)
Umberto Eco, Lee Harper, Akiyuki Nosaka ...Lisez ou relisez les ouvrages de ces auteurs disparus depuis peu
Lundi 15 février.... les rues de Villevaudé, Montjay-la-Tour et Bordeaux sont bien animées en cette heure matinale!!!! Il est 7 h, le jour n'est pas encore tout à fait levé mais la journée s'annonce belle. Nous partons à Paris, visiter l'Assemblée Nationale.... sortie proposée par la CCAS de Villevaudé..
Nous arrivons à l'Hôtel de Lassay où nous sommes accueillis moyennant présentation de notre passeport ou carte d'identité et passage au portique de contrôle...
50 participants ont répondu présents à l'invitation
Nous traversons la salle à manger
La visite débute par Le grand salon appelé ainsi depuis l'Ancien régime et la Restauration. Les dessus de porte de Heim évoquent Le concert, Le concert champêtre, La lecture, La danse et une allégorie de la Paix. Comme dans les autres salons, les meubles de Grohé, la cheminée de Seguin, les candélabres et la pendule, non signés, sont du XIXe siècle.
Nous voilà dans le salon des éléments, qui doit son nom aux dessus de porte peints par Heim et représentant Le feu, L'eau, L'air et les sciences, La terre et les arts du feu.
Le thème des saisons des dessus de porte de Heim a donné son nom au Salon des Saisons dont le mobilier et les sculptures sont du XIXe siècle.
L'attaché parlementaire de notre Député Yves Albarello vient nous rejoindre dans le Salon des Jeux
Le Salon des Jeux (1845-1848) doit aujourd'hui son nom aux dessus de porte de Heim dans lesquels sont représentés Le jeu de boules, La main chaude, L'escarpolette, Le saut de mouton, Colin-maillard, Le volant. Dans ce salon, tous les mardis, se réunit la Conférence des présidents, composée du Président, des vice-présidents, des présidents de commission permanente, des présidents de groupe et du ministre chargé des relations avec le Parlement, afin d'établir l'ordre du jour de l'Assemblée pour la semaine en cours et les deux suivantes.
En médaillon au-dessus de la porte du Salon du Départ: La méditation
Sous l'Ancien régime, comme sous la Restauration, le Salon du départ a toujours été un cabinet de travail. Aujourd'hui, c’est de là que part le Président pour se rendre dans l'hémicycle. Les dessus de porte ont été peints par Heim, La méditation, L'éloquence, La politique. La tapisserie des Gobelins, tissée dans l'atelier d'Audran à la fin du XVIIIe siècle, représente L'école d'Athènes d'après la peinture de Raphaël.
Nous empruntons la Galerie des Fêtes pour nous rendre au Palais Bourbon
Comme l'indique le document ci-dessous, le Palais-Bourbon et l'Hôtel de Lassay étaient séparés par une prairie. Ils furent réunis en 1799 par une galerie en bois, jusqu’en 1845 date à laquelle les deux édifices communiquent grâce à la construction de la Galerie des Fêtes.
Le Palais Bourbon et l'Hôtel de Lassay furent édifiés simultanément de 1722 à 1728, sur des terrains acquis en 1720 par la duchesse de Bourbon, (fille légitimée de Louis XIV et veuve du petit-fils du Grand Condé le Duc de Bourbon) et dont elle céda une partie à son amant, le marquis de Lassay.
Nous traversons la Galerie des Fêtes
Nous avons juste le temps d'admirer la Galerie des tapisseries, inaugurée 1861, communique avec la Galerie des fêtes. Six tapisseries de la manufacture de Beauvais et trois des Gobelins y sont accrochées.
Nous voici au palais Bourbon
La rotonde d’Alechinsky est le point de contact entre le Palais-Bourbon, la Galerie des fêtes et l'Hôtel de Lassay, Les fresques ont été exécutées par Pierre Alechinsky en 1992
Le plafond du Salon de la Paix est l' œuvre d'Horace Vernet, symbolise la Paix : Cette Salle (appelée salle des pas perdus) est l'une des plus empruntées du Palais par les parlementaires et les journalistes.. A l'ouverture de la première séance de l'après-midi, pour se rendre dans l'hémicycle, le Président de l'Assemblée traverse le salon de la Paix, au son des tambours, entre une double haie de gardes républicains et en présence du public qui montera ensuite dans les tribunes de l'hémicycle assister à la séance publique.
Une halte dans la Salle des conférences: Construite par Jules de Joly à l'emplacement de la salle à manger du Prince de Condé, elle a été décorée en 1839 par François-Joseph Heim.
Dans cette salle, lieu de lecture et de correspondance réservé aux parlementaires, se trouve le « piano », meuble constitué de casiers au nom des députés qui peuvent ainsi y trouver leurs messages.
La cheminée d'Antonin Moine est surmontée d'un buste de la République de Clésinger.
La Bibliothèque a été conçue en 1830 par l'architecte Jules de Joly, elle est célèbre pour ses plafonds peints par Eugène Delacroix entre 1838 et 1847.
Riche de 700 000 volumes, dont 70 000 dans cette salle même, la bibliothèque possède des pièces rares comme l'exemplaire original du procès de Jeanne d'Arc (celui de l'évêque Cauchon), le manuscrit de la Nouvelle Héloïse de Jean-Jacques Rousseau, un manuscrit illustré aztèque, une Constitution annotée par Robespierre….
C’est un lieu de travail pour les députés, les fonctionnaires de l'Assemblée et les collaborateurs des groupes ou des députés, les chercheurs spécialisés. Nous pouvons apercevoir monsieur Eric Woerth...
L'hémicycle....actuelle salle des séances construite entre 1828 et 1832 par Jules de Joly
Le Salon Eugène Delacroix : Le peintre fut choisi en 1834 par Adolphe Thiers, alors ministre de l'intérieur, pour décorer ce lieu conçu par Jules de Joly, architecte de la Chambre des députés.Sur les pilastres sont personnifiés les mers et les fleuves de France : l'Océan, la Méditerranée, la Seine, le Rhône, la Garonne, la Saône, la Loire et le Rhin.
La porte du Salon Casimir Perier (par laquelle arrivent aujourd'hui les ministres) est en bronze, métal sacré, symbole d'invulnérabilité et d'immortalité. Le bas-relief du sculpteur Dalou représente la fameuse séance du 23 juin 1789 au cours de laquelle Mirabeau lança la célèbre apostrophe : « Nous sommes ici par la volonté du peuple et nous n'en sortirons que par la force des baïonnettes ». Il commémore le centième anniversaire de la Révolution.
Les niches abritent les statues de Mirabeau, de Bailly,(photo) de Portalis, de Tronchet, du général Foy et de Casimir Perier.
Monument aux députés morts pour la France
Vue du Salon Casimir Perier, la sphère monolithe de granit noir des droits de l'homme, œuvre de Walter de Maria, placée en 1989 en haut des rampes du fer à cheval, commémore le bicentenaire de la Révolution française et de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen.
La visite est terminée, mais la journée n'est pas achevée... direction l'aérogare des Invalides "Chez Françoise"..... restaurant fondé voici 40 ans, endroit réputé de la capitale, devenu la "Cantine des Parlementaires"... où un succulent repas nous attend...
Merci au CCAS de Villevaudé pour ce très agréable moment.... Y.Godefroy
N'oublions pas ce 17 septembre 2016, la visite de la bibliothèque dans le cadre des journées des Journées du patrimoine 2016
Publié dans 00 A Villevaudé , 19 Près de chez nous, 26 Chez les seniors | Lien permanent | Commentaires (1)
Marne et Gondoire - Environnement
Une association écologique s’est mobilisée, dimanche, pour nettoyer le camp rom situé dans la zone industrielle de Lagny, ainsi que la décharge sauvage de Saint-Thibault.
« Tout le monde debout, je viens de Paris et me suis levé à 5 h ce matin pour vous aider ! » clame Edouard Feinstein en parcourant, dimanche matin, le camp rom sous les aboiements des chiens. L’ambiance est tendue car les Roms sont sous le coup d’un mandat d’expulsion, mais il a l’habitude et ne se laisse pas intimider
Les Roms évacuent les déchets qui tombent dans la Marne, sous le regard de Madalina, 20 ans, membre de l'association et traductrice.
« Ce camp a un an d’existence et compte près de 300 personnes, adultes et enfants. Il s’est créé avec une partie des Roms qui ont quitté le camp installé à Saint-Thibault, sous le pont de la Francilienne. Le but est de les responsabiliser et je veux qu’ils nettoient vraiment leur camp côté Marne » insiste Edouard, 47 ans, président de l’association OSE (Organe de sauvetage écologique) qu’il a créée en 1990.
Ne rien lâcher
Par petits groupes, hommes, femmes, adolescent s’approchent, râlent un peu, mais demandent des gants et sacs poubelle. Sollicitée par Edouard, une jeune femme décline avec un sourire en désignant son ventre arrondi. « Trois mois ont été nécessaires pour préparer cette première intervention. Nous sommes venus les voir quatre fois. Ils étaient d’accord pour nettoyer, prioritairement côté Marne à cause des risques de pollution. Nous avons le soutien financier de la préfecture de la Région Ile-de-France et du Conseil régional » poursuit Edouard. Car pour mener à bien une telle opération, des aides sont nécessaires et il regrette le silence du Conseil général et du ministère de l’écologie. Il espère obtenir celle des Ports de Paris et de VNF (Voies navigables de France).
Une opération coup double
Le grand nettoyage concernait aussi la décharge sauvage de 40 hectares de Saint-Thibault, située près de la déchetterie du SIETREM. Des Roms, venus du camp d’Ivry-sur-Seine et amis des écologistes, sont venus aider, ainsi qu’une dizaine de bénévoles de OVS (On-va-sortir). « C’est un site web qui propose des sorties et rencontres amicales. On a lancé une mobilisation pour ramasser les ordures ici car de tels spectacles sont inadmissibles, surtout après la COP21 » lâche Mathieu, 32 ans, un Parisien. Si le problème de la décharge de Saint-Thibault est en voie de résorption depuis l’exemple impulsé par OSE, il y a plus de dix ans, et surtout le nettoyage entrepris par Épamarne fin 2015, les rives de la Marne restent encore sensibles.
« Ces gravats ont été déposés par des particuliers, il ne faut pas tout mettre sur le dos des Roms » constate Denis Moulin, militant d’OSE, en remplissant le plateau d’une camionnette. Celle-ci sera déchargée dans les cinq bennes de 20 m3 mises à disposition par Marne et Gondoire et qui seront effectivement bien remplies.
OSE frappera à nouveau samedi 20 février à Choisy-le-Roi (94). « Il n’y a pas de camp rom, mais nous nettoierons près de la déchetterie où les berges de la Seine sont ruinées » précise Edouard. Il s’inquiète aussi beaucoup pour Mareuil-Les-Meaux et Esbly, sites également très touchés. S.M.
Publié dans 18 Chroniques de Serge, 19 Près de chez nous | Lien permanent | Commentaires (0)
JEAN-PAUL DIDIERLAURENT
FOLIO
Ils ont planché sur une dictée de Pivot
Affûtiaux, amygdales, rastaquouère, esbroufe, péronnelle, apocope… Ambiance studieuse dans la salle des fêtes où 24 personnes de tous âges ont planché, dimanche 7 février après-midi, sur une dictée de Bernard Pivot de 1988.
Un parfum d’école primaire pour les plus âgés, mais surtout un excellent moyen de tester leurs connaissances sur l’orthographe et la grammaire. Parmi eux, le plus jeune, Raphaël, 11 ans. « Il y a beaucoup de mots que je ne connais pas, mais je les écris comme je pense ». Devant sa feuille, Simone, la doyenne, 81 ans et demi, ancienne directrice d’école maternelle à Mitry-Mory, hésite sur le participe-passé d’un verbe pronominal conjugué avec l’auxiliaire être. Un piège, effectivement. Alain, 63 ans, ancien prof de lettres, avait gagné l’an dernier et n’aurait pour rien au monde loupé la séance. « La dictée 2015 était plus difficile. J’ai gagné avec 21 fautes, mais il y en a eu jusqu’à 60. Il y a toujours des surprises tant le français est riche et complexe ». Car cette 2e édition était due au GAG (Groupe d’animation de Gressy), association qui propose aux habitants des activités artistiques, culturelles et sportives. « Nous avons 130 adhérents, âgés de 3 à 82 ans, ce qui est une bonne chose pour un petit village comme Gressy » précise Christine Tellier, sa présidente. L’épreuve finie, chaque participant a reçu le texte afin de corriger la copie de son voisin.
38 fautes maximums et c’est finalement Laetitia, orthophoniste, qui a gagné avec 15 fautes, talonnée par Hélène, retraitée, et Gwenola, assistante sociale. Les enfants n’étaient pas oubliés. Divisés en deux groupes selon leurs âges, des contes et activités de coloriage leur étaient proposés dans deux autres salles. La rencontre s’est achevée par une dégustation de crêpes, cidre et jus de fruit. « En mars, le GAG organisera son premier concours de pêche et les familles pourront se retrouver autour d’un barbecue. Nous leur donnons également rendez-vous pour la fête de notre association qui aura lieu le dernier week-end de mai » ajoute Christelle. Les participants ont tous apprécié la dictée, souhaitant même s’y coller à nouveau l’an prochain. S.Moroy
Plus d’infos : www.gag-gressy.com
Publié dans 18 Chroniques de Serge, 19 Près de chez nous | Lien permanent | Commentaires (0)
Sur une initiative de la commune de Montévrain, onze habitants ont participé, dimanche matin, à une formation gratuite sur les gestes de premiers secours, dispensée par la Croix blanche. Anthony Larmet, président de l’association des secouristes du Val-Maubuée, a animé la session au village des associations. Après rappel des numéros d’urgence (15 Samu, 18 pompiers), il a évoqué l’hémorragie externe. «C’est un saignement abondant qui remplit un mouchoir un poche en moins d’une seconde. Il faut l’arrêter en comprimant directement la zone lésée. En revanche, pas de garrot car on risque de nécroser le membre. Appliquez la technique des trois A (appuyer, allonger, alerter) ».
Sous le contrôle d’Anthony, les participants ont tour à tour pratiqué la technique de la PLS.
Connaître la PLS
La position latérale de sécurité (PLS) s’applique pour une victime inconsciente, mais qui respire. « Voir, entendre, sentir. J’attends au moins 10 secondes pour être vraiment sûr qu’elle respire » insiste Anthony. La PLS permet de maintenir la liberté des voies respiratoires en plaçant la victime sur le côté, sa tête alignée dans l’axe du dos. Elle sera couverte pour la protéger du refroidissement corporel. Une couverture de survie convient parfaitement (face indifférenciée). Quand il y a blessure, la PLS sera effectuée côté traumatisme. « Et pour une femme enceinte ?» s’enquiert une participante. « Il faut la placer à gauche car sinon l’embryon va comprimer l’artère du cœur. C’est le seul cas où, quoi qu’il lui arrive, elle sera toujours placée côté cœur ».
Massages cardiaques
Pour une victime inconsciente qui ne respire pas, la réanimation cardio-pulmonaire s’impose, si possible sur un plan dur et dans les premières minutes, soit deux insufflations (bouche-à-bouche) toutes les 30 compressions thoraciques jusqu’à l’arrivée des secours. « Je fais un massage précoce et pose un défibrillateur. On fait tout rapidement car chaque minute compte. Toutes les démarches vont être précoces, rapides et efficaces » martèle Anthony. La séance s’est achevée sur le défibrillateur cardiaque. « Une fois posé, c’est lui le patron. On exécute ce qu’il dit ».
A la fin du cours, tous les participants ont souhaité suivre la formation PSC1 (Prévention secours civique niveau 1), ce qui a réjoui le formateur. « Après les attentats du 13 novembre, on a eu un engouement pour la formation de secouriste. Rien que sur le serveur de la Croix blanche, on a reçu plus de 7 millions de demandes ».
S. Moroy
Contact : [email protected] (07 85 86 91 38)
Publié dans 18 Chroniques de Serge, 19 Près de chez nous | Lien permanent | Commentaires (0)
La première journée de formation 2016 organisée par la Médiathèque de Seine et Marne s’est déroulée à Oissery, petite commune de Seine et Marne qui a inauguré depuis peu son "ostérathèque", médiathèque des temps modernes, où chacun pourra consulter des ouvrages et y faire des recherches grâce aux ordinateurs à disposition des adhérents.
Les services proposés aux collectivités et aux associations par la Médiathèque centrale sont nombreux : Centre de ressources dans le domaine de la lecture publique, aides aux projets, intensification des journées d’étude, prêts de documents, soutien aux actions culturelles, mise en place de contrats lecture, MEDIALIB...
Les prêts des collections (malle DVD, polars, cinéma d’animation etc..) doivent être adaptés à l’activité de la bibliothèque, sur différents critères, tels les heures d’ouverture, le budget… La cadence des prêts s’effectuera 3 fois par an (4 fois si prêt de CD et DVD). De même, l’échange mensuel de livres et documents (navette) se fera désormais par dépôt à la médiathèque de l’Orangerie à Claye Souilly. (A ce propos, il est à noter que notre assurance la MAIF n’assure pas le transport des biens. Ce point sera soumis lors de notre prochaine réunion de décembre et AG de février.)
En outre, tous les mardis matins, l’accueil des bibliothécaires se fait sans rendez-vous, des ateliers pratiques de 2h sont organisés sans inscription préalable.
La formation MEDIALIB, a eu lieu à Dammartin en Goële, au siège de la communauté de communes Plaines et Monts de France.
Après une matinée de présentation des différentes ressources, un après-midi pratique nous a permis de nous familiariser avec MEDIALIB77 plateforme des ressources numériques service mis à la disposition de tous les adhérents des bibliothèques de notre département et bien sûr de notre bibliothèque : Vous pouvez ainsi accéder à
Apprendre les langues, italien, anglais, allemand, espagnol
BIBLIOVOX, livres numériques
ARTE UNIVERS CINÉ
CITÉ DE LA MUSIQUE PARIS enregistrements, concerts
Valoriser les collections, proposer des espaces interactifs, visuels, tels sont les priorités que nous avons retenu de ces deux journées riches en communication et en échanges.
N'hésitez pas à nous contacter
Le 22e loto d’hiver organisé par l’Association Loisirs Jeunes (ALJ) a réuni, samedi 30 janvier, quelque 160 joueurs. « Principalement des familles villevaudéennes. Cette année, beaucoup de jeunes y participent » constate, ravie, Yvette Godefroy, présidente de l’association. Le loto, en 15 parties entrecoupées de deux pauses pour se détendre ou se désaltérer au petit bar de la salle, offrait la possibilité de remporter des gros lots intéressants, tels un robot marie, des enceintes sans fil Harman-Kardon, une caméra Gopro Hero4 et un ordinateur portable HP. Petits et grands se sont donc affrontés pacifiquement pour les gagner, restant très attentifs à l’énoncé des numéros tirés par des petites mains innocentes qui se sont succédé sur la scène de la salle des Merisiers tout au long de la soirée. « La recette servira à financer les prix du loto de l’an prochain, mais aussi nos animations périodiques, comme les stages de zumba, et nos expositions thématiques, notamment celle consacrée à notre village durant la Première Guerre mondiale » a ajouté la présidente de l’ALJ. S. Moroy
Et le dimanche, zumba avec Wassily et Sissi
XAVIER-MARIE BONNOT
BELFOND
De la famille Verdier, il ne reste plus qu'eux, Pierre et Claire, le frère et la sœur. Lui, a repris la ferme familiale, dans la vallée de Saint-Vincent, auprès de leur montagne. Elle, vit à Paris. De l'existence de sa sœur, il ne sait rien, ou si peu de choses. Simplement qu'elle lui rendra toujours visite, immanquablement, deux fois l'an, dans cette maison de famille où rien n'a changé. Mais cette fois-là, c'est différent. Claire a des cauchemars. Toutes les nuits, elle a peur pour une certaine Vicky, et prétend qu'elle-même sera bientôt morte. Pour Pierre, l'homme de la terre, les secrets et les névroses de sa sœur ne sont que des faiblesses. Un matin d'hiver pourtant, Claire part et ne revient pas. Lorsqu'on retrouve son corps sans vie, étrangement vêtu, c'est Pierre qui est désigné comme le coupable. Pierre est seul à présent. Lui, le taciturne qui vit reclus depuis le drame qui a brisé sa carrière d'alpiniste, aurait-il pu commettre l'irréparable ? Tant il est vrai que dans la famille Verdier les mystères et les secrets sont légions. Et qui est cette Vicky dont personne dans l'entourage de Claire ne semble connaître l'existence ? Pierre comprendra bien tard qu'elle était le secret le mieux caché de sa sœur...
Xavier-Marie Bonnot est né en 1962 et vit à Paris. Ecrivain et réalisateur de films documentaires, c'est avec son premier roman, La Première empreinte (L'Ecailler du sud, 2002), qu'il remporte le prix Rompol et le prix des Marseillais. Le Pays oublié du temps (Actes Sud, 2011) et Premier homme (Actes Sud, 2013) ont respectivement été récompensés par le prix Plume de cristal ainsi que par le prix Lion noir.
Publié dans 18 Chroniques de Serge, 19 Près de chez nous | Lien permanent | Commentaires (0)
Dans le cadre de l’exposition science-fiction organisée par F Kay, en partenariat avec la médiathèque de Montévrain, le premier atelier dessins a eu lieu, samedi. L’artiste montévrinois a créé en 2013 l’association Kham & Léon, dont le but est de donner des cours de dessins et d’arts graphiques urbains. Si en 2015 l’expo traitait des super-héros, la sortie du 7e épisode Star Wars a donné à l’artiste, âgé de 36 ans et fan de la saga, l’idée de travailler sur le thème de la science-fiction. Une quarantaine de ses œuvres sont exposée. Avec celles de ses membres et de deux artistes amis, Mazs et Franky Oculi, l’expo rassemble des DVD (Matrix, Alien, Avatar), des livres sur les grands romans du genre (Huxley, Adams, Asimov) et un complément d’information sur l’espace. « Le but de cet atelier est de dessiner un personnage à partir de ceux réalisés à l’encre par mes adhérents. Une fois que les enfants auront acquis les bases, ils choisiront un héros, laissant libre cours à leur imagination » explique F Kay, avant de proposer à ses 9 jeunes élèves de partir de la forme d’un rectangle. Mathis, 8 ans, a choisi Dark Vador qui le fascine. « Inspiré d’un samouraï, c’est un personnage difficile car il est entièrement noir, mais il y a des astuces » lui explique l’artiste. Ryan, 10 ans, a jeté son dévolu sur le robot R2-D2 et va lui adjoindre un sabre laser. La seule fille du groupe, Méléa, 8 ans, a un faible pour Luke Skywalker, tandis que son frère, Thom, 10 ans, croque Obi-Wan Kenobi. Tous deux attendent de voir le 7e opus de la série au cinéma.
Inscription obligatoire
La visite de l’expo se fait aux heures d’ouverture de la médiathèque. L’inscription aux ateliers dessins est obligatoire car limitée à 10 personnes par session. Ils s’adressent aussi aux adultes. Les prochains auront lieu, pour les enfants : mercredi 27 janvier 14 h 30, samedi 30 janvier 11 h. Pour les ados et adultes: samedi 30 janvier 15 h et 16 h 30
S. Moroy
Médiathèque de Montévrain. Mardi (16 h-18 h), mercredi (10 h-12 h 30/14 h-19 h), vendredi (17 h-19 h), samedi (10 h-12 h 30/14 h -18 h). Tél : 01 60 26 43 27
Publié dans 18 Chroniques de Serge, 19 Près de chez nous | Lien permanent | Commentaires (0)
Toujours plus haut, telle semble être la devise de ’’Passionato’’, le tournoi international de gymnastique artistique féminine qui se déroule tous les ans avec le soutien de la Ville de Mitry-Mory et de nombreux sponsors. La 5e édition a rassemblé, en plus des nombreux supporters, 140 participantes, âgées de 6 à 17 ans, réparties en 14 équipes et représentant 7 pays. Ainsi, la France, l’Italie, le Portugal, l’Espagne, l’Allemagne, la Belgique et le Burkina-Faso étaient présentes, samedi, au gymnase Jean-Guimier. En revanche, l’Angleterre n’a pas participé en raison des attentats. Les épreuves étaient arbitrées par 16 juges, internationaux et neutres, soit 4 juges pour chacune des quatre disciplines : gym au sol, barres, saut et poutre. « Les gymnastes seront classées par âge, catégorie individuelle et par équipe. La particularité de ce tournoi, très convivial, est que chaque équipe sera récompensée par une médaille et une coupe. Il y aura aussi des cadeaux pour les juges et les entraîneurs » souligne Marie Hingand, directrice technique de l’USJM Gym, club organisateur de l’évènement.
Seule ombre au tableau
Outre une ville en Allemagne et en Angleterre, la commune est également jumelée avec Loumbila, au Burkina-Faso. Après l’attentat terroriste perpétré la veille, à Ougadougou (capitale du Burkina-Faso) qui a fait 29 morts et une trentaire de blessés, Marie était inquiète pour le retour, le lendemain, de l’équipe burkinabée composée de 8 membres.
S. Moroy
Plus d’infos : www.usjm-gym.clubeo.com
Publié dans 18 Chroniques de Serge, 19 Près de chez nous | Lien permanent | Commentaires (0)
CE QUE JE PEUX TE DIRE D'ELLES
ANNE ICART
Ariégeoise de cœur mais Parisienne depuis toujours, Anne Icart est rédactrice juridique. Après Les Lits en diagonale (Robert Laffont, 2009, prix des Lycéens de la Fondation Prince-Pierre-de-Monaco), récit de son histoire avec son frère handicapé, Ce que je peux te dire d'elles est son premier roman.
CÉCILE COULON
Ed. VIVIANE HAMY
La rage de vaincre. C'est le sentiment qui habite Anthime lorsqu'il court. Courir. Pourquoi ? Pour exister. Et peut-être finalement pour survivre... Lorsqu'Anthime, adolescent, arrive dans une banlieue de province avec son inséparable soeur Héléna, il craint de ne pas s'intégrer dans la petite communauté où il n'est pas attendu. A l'occasion d'une kermesse, il s'illustre par sa rapidité au jeu de quilles. Dès lors, sous la houlette de Brice, l'entraîneur obèse et bonhomme, il n'a de cesse d'être le meilleur dans ce domaine où il excelle. Il devient bientôt le "Pélican", un exemple et un symbole pour toute la région. Admiré de tous, il est adulé dans l'ombre par une voisine, Johanna. Mais c'est Béatrice, charnelle et sensuelle, qui suscite son désir. La veille d'une course déterminante, les deux adolescents se donnent enfin leur premier baiser. Mais, alors qu'il est aux portes de Une vingtaine d'années plus tard, alors qu'il est devenu un père de famille bedonnant travaillant à Pôle Emploi, il reçoit un électrochoc qui l'arrache à sa torpeur : lors d'un enterrement, il est la risée de ses anciens camarades qui le mettent - sur le mode de la vanne - au défi de traverser le pays en courant. Blessé au plus profond de lui-même, il les prend au mot et, de retour chez lui, il exhume un vélo d'appartement des décombres de son garage et commence à s'entraîner avec hargne. Pris sur le fait par sa femme, furieuse de sa révolte, il quitte son foyer et rejoint sa soeur, Héléna, qui devient la complice de ce projet insensé. Le "Pélican" trouvera-t-il en lui la force pour redevenir un champion, mais, par-dessus tout, à renouer avec l'estime de soi-même et son orgueil d'être ? "Anthime s'est arraché le coeur, le pélican s'est arraché le coeur. Et pas seulement pour moi. Je vous l'ai dit, mais vous n'écoutez pas : le monde ne sera jamais assez vaste pour accueillir des hommes comme lui. Le monde ne comprendra jamais que les grands hommes ne sont pas ceux qui gagnent, mais ceux qui n'abandonnent pas quand ils ont perdu." Porté par une tension extrême, Le Coeur du Pélican nous parle de la gloire et de sa fragilité, du sport et de sa souffrance. Il raconte le courage et la destinée à la fois banale et extraordinaire d'un homme qui réussit, connaît le succès, tombe et se relève. Celle d'un homme qui refuse de ne pas aller au bout de lui-même. L'auteur parvient formidablement à incarner ses personnages aux prises avec leurs désirs et aveuglés par les non-dits. Comment peut-on vivre "normalement" lorsqu'on a touché des doigts la gloire ?
Née en 1990, Cécile Coulon consacre sa thèse de Lettres Modernes au "Sport et à la littérature". Le Roi n'a pas sommeil a obtenu le Prix Mauvais Genres France Culture/Le Nouvel Observateur 2012, et s'est vendu à près de 20 000 exemplaires. Avec Le Rire du grand blessé, en 2013, elle nous a offert une fable d'anticipation remarquée sur la place de la littérature dans notre société.
Le décret du 15 janvier 1916 est le décret d’application de la Loi du 15 juillet 1914 créant l’impôt sur le revenu
C’est en février 1907 que Joseph Caillaux, ministre des finances avait présenté le projet de loi créant l’impôt sur le revenu. La promulgation du 15 juillet 1914 n’était en réalité qu’une étape de l’introduction en France d’un impôt moderne sur le revenu.
L’objectif était de remplacer les anciens impôts datant de la Révolution (foncier, mobilier, patente et impôt sur les portes et les fenêtres) par un impôt sur les revenus, salaires et dividendes qui prennent de plus en plus de place dans la richesse du pays. Le second consiste à créer un impôt personnel progressif prenant compte des revenus de chaque ménage. Le troisième est de faire en sorte que, chaque année, le contribuable s’acquitte d’une déclaration de revenus, que l’administration fiscale pourrait contrôler.
Publié dans 02 Une vie, une oeuvre, une date | Lien permanent | Commentaires (0)
Le cortège, en tête duquel Eric Mouzin, le frère et la soeur d'Estelle, est parti de la boulangerie devant laquelle la fillette a été aperçue pour la dernière fois.
9 janvier 2003, Estelle, 9 ans, disparaissait. Son père, Eric Mouzin, 60 ans, ne désarme pas. Comme chaque année, depuis 2004, il a organisé samedi 9 janvier une marche silencieuse en sa mémoire.
« Ce n’est pas une démarche de revanche ni de règlement de comptes avec qui que ce soit. C’est pour savoir, être sûr que le coupable ne pourra pas nuire, parce que le plus insupportable est de penser à l’impunité des assassins… si c’est un assassinat » confie le père meurtri. Dans le cortège, Denis Marchand, maire de Guermantes (SE). « A l’époque, j’étais adjoint. Il gelait à pierre fendre. Tout le monde était au chaud dans les maisons. Nos premières recherches ont porté autour du bassin de rétention, alors complètement gelé ».
Un moment poignant
Fort de quelque 90 personnes, le cortège s’est formé devant la boulangerie, place du Temps-perdu, où Estelle a été vue pour la dernière fois. Il a cheminé jusque devant le cerisier du Japon, planté en 2004 au centre du lotissement où la fillette résidait, pour s’y recueillir sur la chanson écrite pour elle par Charlélie Couture en 2003.
Lassitude et usure
Avant la marche blanche, 40 personnes ont assisté à l’assemblée générale de l’association Estelle-Mouzin, à l’espace Marcel-Proust. L’association comptait 128 adhérents en 2015. Un chiffre en baisse car la lassitude gagne au fil du temps. Les ressources s’élèvent à 5088 euros pour 7567 euros de dépenses, pour l’essentiel les frais d’avocat tant la bataille juridique est longue et même usante.
Une nouvelle impulsion
Corinne Hermann, avocate spécialisée dans les disparitions d’enfants, a fait un point sur le dossier. « Sa relecture est actuellement mise en place à Nanterre, avec des outils d’analyse très importants. Le dossier représente 40 000 procès-verbaux, soit 18 à 19 CD. Nous avons aussi deux nouveaux juges d’instruction qui viennent d’être nommés à Meaux. On leur a déjà demandé des copies de dossier que nous avons, à notre grande surprise, obtenues au bout de deux jours ». Après les 5 juges précédents qui, sans résultat, ont successivement défilé, Eric Mouzin veut rester positif. « Nous voilà revenus presque au début. On repart à l’attaque : ministère de la justice, tribunal de Meaux, les juges, le point avec les enquêteurs pour savoir, notamment, où en sont les demandes d’information formulées depuis des mois voire des années, sur des éléments du dossier ». Il espère du nouveau en 2016 et, surtout, que la marche blanche n’aura plus lieu d’être.
Facebook : Association Estelle Mouzin
Publié dans 18 Chroniques de Serge, 19 Près de chez nous | Lien permanent | Commentaires (0)
CHANTAL FORET
L'ARCHIPEL
Originaire de l’Allier, Chantal Forêt vit à Ceyrat, dans le Puy-de-Dôme. Qui-vive, son premier roman (éditions Henry), a obtenu le Grand Prix national Lions de littérature 2012. Les éditions de l'Archipel ont publié L'Heure du thé (2013), «un très beau roman aux accents à la Chabrol» (Culture Hebdo).
L'Hiver n'est pas encore arrivé..... mais nous sommes méfiants.... On se souvient de la tempête qui nous a surpris le matin du dimanche 26 décembre 1999... On se souvient de l'enchevêtrement de cheminées, volets, clôtures, toits, arbres..... bois et forêts... La désolation a fait suite à l'immense peur....
Je viens de retrouver quelques photos du parc de la Roseraie..
Publié dans 00 A Villevaudé | Lien permanent | Commentaires (0)
JOEL DICKER
ÉDITIONS DE FALLOIS
Jusqu' au jour du Drame, il y avait deux familles Goldman. Les Goldman-de-Baltimore et les Goldman-de-Montclair.
Les Goldman-de-Montclair, dont est issu Marcus Goldman, l' auteur de La Vérité sur l' Affaire Harry Quebert, sont une famille de la classe moyenne, habitant une petite maison à Montclair, dans le New Jersey.
Les Goldman-de-Baltimore sont une famille prospère à qui tout sourit, vivant dans une luxueuse maison d' une banlieue riche de Baltimore, à qui Marcus vouait une admiration sans borne.
Huit ans après le Drame, c' est l' histoire de sa famille que Marcus Goldman décide cette fois de raconter, lorsqu' en février 2012, il quitte l' hiver new-yorkais pour la chaleur tropicale de Boca Raton, en Floride, où il vient s' atteler à son prochain roman.
Au gré des souvenirs de sa jeunesse, Marcus revient sur la vie et le destin des Goldman-de-Baltimore et la fascination qu' il éprouva jadis pour cette famille de l' Amérique huppée, entre les vacances à Miami, la maison de vacances dans les Hamptons et les frasques dans les écoles privées. Mais les années passent et le vernis des Baltimore s' effrite à mesure que le Drame se profile. Jusqu' au jour où tout bascule.
Et cette question qui hante Marcus depuis : qu' est-il vraiment arrivé aux Goldman-de-Baltimore ?
N'empruntez pas ce livre avant d'avoir lu "La vérité sur l'affaire Harry Quebert". le roman qu'on ne peut oublier...
Et ainsi que l'a écrit Barnard Pivot : "Si vous mettez le nez dans ce gros roman, vous êtes fichu. Vous ne pourrez pas vous empêcher de courir jusqu'à la six centième page. Vous serez manipulé, dérouté, sidéré, agacé, passionné par une histoire aux multiples rebondissements, fausses pistes et coups de théâtre."
Joël Dicker est né à Genève en 1985.
Son premier roman, Les Derniers Jours de nos pères, disponible à la bibliothèque, a reçu les Prix des écrivains genevois en 2010.
Il a publié en 2012 La Vérité sur l' Affaire Harry Quebert qui a obtenu successivement le Prix de la Vocation Bleustein-Blanchet, le Grand Prix du Roman de l' Académie française et le 25e Prix Goncourt des Lycéens.
La bibliothèque a rouvert ses portes ce matin 4 janvier 2016 à 10h30. Quelques nouveautés pour petits et grands.
Tous aux abris; Belle plante; Voyage du pollen; Kim Ono; Un éléphant à New York; le pain; Arrête de lire; Parole de loup; Afrique de Zigomar; Petite feuille jaune; Shérif; T'es plus mon amoureux; les concombres du roi; A bas la lecture; Cyprien le chien; Pineshish; Radegonde; Les oeufs.
Concerto pour quatre mains, Paul Colize
Pas pleurer, Lydie Salvayre
Profession du père, Sorj Chalandon
L'inconnu du pont Notre Dame, Nicolas le Floch
La remise des clés de la mini Austin Cooper au gagnant de la tombola du CVR (Claye-Véhicule-Rétro) a eu lieu, samedi 19 décembre 2015, au local Félix-Thomas.
A droite, Louis Druesne, son petit-fils Enzo et son épouse Marie-Thérèse. A gauche, Jean-Luc Servières et Jean-Marie Brel.
Elle est là, rutilante, dans la rue de l’Église. Louis Druesne, 66 ans et demi, résidant dans les Yvelines, a eu de la chance quand, avec un seul ticket de 5 euros, il a gagné ce dernier modèle 1989 de chez Austin. « Je suis passionné d’avions, puisque j’ai travaillé 40 ans chez Dassault-aviation, mais aussi de voitures et de trains. En octobre, j’étais au salon Automédon, porte de Versailles. Quand je suis passé devant l’Austin, j’ai acheté un billet : le n° 1422. Cette voiture, j’en fais don à ma bru. Dès avril prochain, elle sera utilisée par mon petit-fils Enzo, qui aura 16 ans et débutera la conduite accompagnée ». Collectionneur, il possède déjà 9 voitures Matra, représentant la gamme tourisme de la grande marque automobile, soit de la M 530 à l’Avantime. Il les a d’ailleurs exposées au salon Rétromobile de Paris, en février. « C’est une opération que l’on fait depuis une dizaine d’années avec la mairie dans le cadre du Téléthon. Nous sommes allés la chercher à Charleville-Mézières (Ardennes). 30 000 km au compteur et un mois pour la retaper. Outre nos adhérents, il faut saluer aussi nos sponsors clayois : le cabinet d’assurances Torras-Axa, la carrosserie Boutet et le garage de la Beuvronne » précise Jean-Marie Brel, président du CVR.
Un gros chèque pour le Téléthon
Il a également remis un chèque de 15 580 euros, libellé à l’ordre de l’AFM-Téléthon, à Jean-Luc Servières, premier adjoint au maire. « Avec ce chèque, on est au-dessus de 200 000 euros. La Ville a donc battu son record. Nous organisons le Téléthon tous les deux ans et, en 2013, avions recueilli 170 576 euros. Le Téléthon, c’est aussi une histoire humaine et, si l’on fait ça, c’est pour ramener de l’argent à l’AFM qui mène une grande cause » a remercié l’élu. Il a rappelé que le député-maire Yves Albarello s’était mobilisé, avec près de 150 parlementaires, contre le souhait de France 2 d’arrêter en 2011 ce grand marathon de la solidarité. S. Moroy
Publié dans 18 Chroniques de Serge, 19 Près de chez nous | Lien permanent | Commentaires (0)
Un banquet ''magique''
Le traditionnel repas de fin d’année du Centre communal d’action sociale pour les habitants de plus de 60 ans a eu lieu, samedi 12 décembre, salle des Merisiers. Cette année, c’est le thème de la magie qui a été retenu.
David Bouchenak, magicien et mentaliste, venu de l’Yonne, est passé de table en table, stupéfiant chaque fois les convives avec ses tours remarquables.
David Bouchenak a épaté le maire Pascal Pian et Xavier Vanderbise, conseiller départemental (à droite).
Deux caricaturistes de Montmartre, Karim et Isa, croquaient les volontaires et les Totally Spies, groupe de trois lycéennes, ont interprété des chansons, avant que le DJ Jean-Jacques n’entraîne les participants sur la piste de danse.
« Nous avons 121 convives, répartis autour de 16 tables. C’est le traiteur Wilhem, de Saint-Mard, qui a été choisi pour le repas. Samedi 5 décembre, les bénévoles du CCAS ont distribué 145 colis aux seniors.
Dimanche 20 décembre, 35 d’entre eux iront voir le spectacle du Cirque du soleil. Enfin, lundi 15 février, Yves Albarello, député-maire de Claye-Souilly, nous propose de visiter l’Assemblée nationale » précise Catherine Godart, vice-présidente du CCAS. Elle a rappelé les différents services en faveur des personnes âgées ou en difficulté, dont la téléalarme, le portage de repas à domicile, l’aide ménagère, ainsi que les petites interventions domestiques (jardinage, bricolage), dans le cadre du partenariat avec l’ASSAD de la région de Lagny-sur-Marne. Serge Moroy
Plus d’infos : CCAS (mairie) : 01 60 26 20 19
Publié dans 00 A Villevaudé , 18 Chroniques de Serge, 26 Chez les seniors | Lien permanent | Commentaires (0)
LORIS NELSON SPIELMAN
CHERCHE MIDI
Hannah Farr est une personnalité en vue de La Nouvelle-Orléans. Animatrice télé, son émission quotidienne " The Hannah Farr Show " est suivie par des milliers de fans. Côté cœur, elle file depuis deux ans le parfait amour avec Michael Payne, le maire de la ville. Mais sa vie toute tracée va être bousculée par deux petites pierres... Ces " pierres du Pardon " connaissent un immense succès aux États-Unis. Le concept est simple : si vous avez quelque chose à vous faire pardonner, il suffit d'envoyer une lettre d'excuses à la personne que vous avez blessée, accompagnée de deux pierres. Si cette dernière accepte vos excuses, elle vous renvoie l'une des deux pierres. Bien inoffensives à première vue, celles-ci vont toutefois forcer Hannah à replonger dans son passé, celui-là même qu'elle avait soigneusement mis de côté depuis de nombreuses années, et toutes les certitudes de sa vie vont être balayées comme un château de cartes... Est-il encore temps de changer le destin ?
Après le succès international de Demain est un autre jour (disponible à la bibliothèque), Lori Nelson Spielman revient avec un roman empreint de la même originalité. Malicieux et tendre, ce livre possède tous les ingrédients irrésistibles des feel-good books: entre humour et profondeur, l'héroïne nous entraîne sur la voie de l'optimisme !
MIGUEL BONNEFOY
RIVAGES
Le voyage d'Octavio est celui d'un analphabète vénézuélien qui, à travers d'épiques tribulations, va se réapproprier son passé et celui de son pays. Le destin voudra qu'il tombe amoureux de Venezuela, une comédienne de Maracaibo, qui lui apprend l'écriture. Mais la bande de brigands «chevaleresques», menée par Rutilio Alberto Guerra, pour laquelle il travaille, organisera un cambriolage précisément au domicile de sa bien-aimée. Avant que ne débute un grand voyage dans le pays qui porte son nom. Octavio va alors mettre ses pas dans ceux de saint Christophe, dans ceux d'un hôte mystérieux, dans ceux d'un peuple qu'il ignore.
Car cette rencontre déchirante entre un homme et un pays, racontée ici dans la langue simple des premiers récits, est d'abord une initiation allégorique et amoureuse, dont l'univers luxuriant n'est pas sans faire songer à ceux de Gabriel Garcia Marquez ou d'Alejo Carpentier.
Lauréat du prix du Jeune Écrivain de langue française en 2013 pour sa nouvelle Icare, Miguel Bonnefoy est de nationalité vénézuélienne. Il vit actuellement à Paris. Le voyage d'Octavio est son premier roman.
Lagny-sur-Marne – Economie solidaire
Il fallait enlever ses chaussures pour entrer, dimanche 29 novembre matin, dans la salle de yoga, rue Vacheresse. « Pas question de salir le parquet de cette salle qui nous est prêtée » prévient Marie Grégoire, 36 ans, présidente des Nomades, association créée récemment. C’est la deuxième fois qu’elle organisait une friperie éphémère à Lagny, la précédente ayant eu lieu chez elle, en octobre. L’idée lui est venue lorsqu’elle travaillait à Montréal, dans une friperie communautaire où elle faisait de la formation pour des personnes intellectuellement déficientes. De retour en France, séduite autant par le social que l’écologie, elle développe un service d’échange de vêtements entre adultes. L’association reprend les vêtements de tout style, en bon état et propres. Après sélection, un prix de vente est fixé (entre 1 et 15 euros) et le dépositaire reçoit 40 % en crédit d’achat. Les habits rebutés sont donnés ou dirigés vers des ateliers créatifs qui réemploieront les tissus.
Favoriser les échanges
La démarche s’inscrit dans une économie circulaire entre habitants. Une alternative qui évite de jeter des biens encore valables leur permettant, au contraire, d’avoir une seconde vie. Pour Marie et les 6 membres de son équipe, Cathy, Aurélie, Julie, Benjamin, Pierre et Gérard, l’initiative révèle de belles surprises. Car outre les habits qui sont parfois de marque ou souvent jamais portés, des relations sociales se nouent autour d’un café ou d’un thé offert aux visiteurs de la friperie. « L’idée de ne pas consommer en achetant forcément neuf, me plaît. J’ai trouvé 3 jupes, 3 hauts et un pantalon. L’absence de marque m’importe peu » témoigne Valérie, 38 ans. Résidant à Torcy, elle est venue au marché de Lagny, s’est arrêtée à la friperie où elle a trouvé son bonheur parmi quelque 500 vêtements exposés.
Aider à l’insertion
« Nous espérons créer bientôt des ateliers autour de la récupération et du fait-main pour tout public, enfants et adultes. On aimerait également devenir un milieu d’insertion social voire socioprofessionnel, destiné aux personnes vivant avec un handicap ou en situation de fragilité » précise Marie. Pour l’instant, de par son nom, Les Nomades sont ambulants. « On bouge. On peut s’installer ici ou ailleurs. On ira là où les gens sont accueillants. On rêve aussi d’avoir un camion, comme les Food Truck et Fashion Truck en Amérique du Nord » renchérit la jeune femme, décidément intarissable. La petite équipe regorge d’idées. Elle récidivera dimanche 20 décembre, de 10 h à 13 h, toujours à l’espace Happyoga. En sus de la friperie, il y aura des cartes-cadeaux pour les fêtes. « Une façon de vivre Noël autrement » promet Marie.
Modalités d’échange de la friperie
Dépôt au siège de l’association, 2 rue du Château-fort, en prenant rendez-vous (07 83 71 63 15). Réception dans les 10 jours d’une carte d’échange avec un solde crédité. Choix de vos articles lors d’une friperie éphémère et débit de votre carte du montant correspondant. Plus d’infos : [email protected] / www.facebook.com/friperielesnomades
Serge Moroy
Publié dans 18 Chroniques de Serge, 19 Près de chez nous | Lien permanent | Commentaires (0)
L’Atelier créatif de Villevaudé a organisé, ce week-end, son traditionnel marché de Noël dans la grande salle des Merisiers. « Il s’agit de la 7e édition. 19 exposants ont répondu présent, dont un venu spécialement d’Alsace. Nouveauté cette année, nous avons des spécialités antillaises et une vente de sapins Nordmann à l’extérieur » précise Isabelle Kolifrath, la présidente. Il était possible de se restaurer en dégustant de savoureuses flammekueches (tartes flambées alsaciennes) confectionnées sur place, ainsi que de nombreuses autres spécialités tout aussi alléchantes et délicieuses. Outre les œuvres réalisées par les membres de l’atelier créatif, les stands des exposants proposaient des chocolats fins, vins, gâteaux, mais aussi des bijoux fantaisie, cartes, calendriers de l’avent, peintures, céramiques, décorations de Noël, petits mobiliers en mosaïque et vêtements chauds en laine. Les visiteurs n’ont donc eu que l’embarras du choix pour effectuer, sans aucun gramme de stress, leurs premières emplettes, et ce avant le grand rush des fêtes de fin d’année. S.M
Le samedi de 12h à 18h, les ateliers de pâtisserie décorative animés par une intervenante professionnelle ont connu un succès certain: petits et grands ont confectionné dans la bonne humeur guimauves, chocolats, cakes pop.
D'autres projets germent déjà pour l'an prochain...
Publié dans 00 A Villevaudé , 15 Atelier créatif., 18 Chroniques de Serge | Lien permanent | Commentaires (0)
L'HISTOIRE DE FRANCE SUR LE DIVAN
DOCTEUR MICHEL KUMMER
EDITION DE L'OPPORTUN
Né en 1959, le docteur Michel Kummer exerce sa profession de psychiatre à Genève (Suisse). Après une formation en psychiatrie et psychothérapie tendance freudienne, il travail dans plusieurs établissements psychiatriques en suisse romande, au sein du service d'urgence et du service pour enfants et pour adolescents. Il s'est spécialisé dans la prévention du suicide chez les adolescents et dans l'accompagnement des victimes d'abus sexuels. Il exerce en cabinet privé depuis 1997.
Un millier de personnes à l’église de Bussy-Saint-Georges
Périmètre de sécurité devant l’église Notre-Dame du Val, fouille par des policiers à l’entrée, la municipalité n’a pas lésiné, samedi 21 novembre, sur la sécurité pour le concert des 7 communautés religieuses de la ville.
Un exploit en soi car celui-ci a rassemblé, sous la voûte de l’église, près de 1000 personnes, qu’elles soient athées ou de confessions juive, musulmane, catholique, protestante et bouddhiste. « L’idée d’un concert interreligieux en faveur de la paix et l’avenir de la planète, notamment à l’approche de la COP21, a germé en décembre 2012 en voyant que les jeunes de nos communautés respectives aimaient jouer de la musique. Les récents attentats ont donné encore plus de sens à ce projet » confie Dominique Fontaine, curé de la paroisse.
Laetitia Qiu jouant du guzheng, instrument traditionnel chinois à cordes pincées (famille des cithares).
Au fil de la soirée, chaque communauté a proposé des textes, musiques et chansons qui lui étaient chères, avant que l’orchestre Grande harmonie du conservatoire de Bussy prenne part, lui aussi, à l’événement. Farid Chaoui, président de l’association musulmane Twaba, a livré un message au public. « Au nom de tous les musulmans de notre ville, je tiens à présenter nos sincères condoléances aux victimes de ces horribles attentats. Aussi, en tant que citoyen français, je tiens à exprimer ma colère et ma consternation suite aux attentats commis par des lâches et des barbares. Des crimes qu’aucune cause ni idéologie ne peuvent justifier ou expliquer ».
De gauche à droite, les représentants de l'église protestante unie, catholique, du temple bouddhiste taïwanais Fo Guang Shan, l'église protestante évangélique, la pagode Laos, des communautés juive et musulmane.
Echanger pour se connaître
Et de poursuivre, après les applaudissements, « ces gens sont inspirés par la haine de la civilisation moderne, leur ignorance, leur obscurantisme, ainsi que par une idéologie sectaire qui n’a absolument rien à voir avec l’islam. Notre islam prône la tolérance, l’amour de son prochain, la paix et le vivre ensemble ». Il a appelé chacun à faire preuve de responsabilité et de discernement pour éviter tout amalgame, invitant les Buxangeorgiens à venir visiter la mosquée, boire un thé, déguster des pâtisseries et, surtout, échanger pour découvrir le « véritable visage de l’islam ». Claude Windisch, président de J’Buss (Association de la vie communautaire juive à Bussy), a mis l’accent « sur le vivre ensemble des communautés, une valeur pratiquée au quotidien et beaucoup plus forte que la peur ». La dalle du centre culturel juif doit être posée début 2016. La synagogue sera érigée entre la mosquée (inaugurée en juin 2014) et la pagode des moines bouddhistes. A cette fin, le représentant de la communauté juive a lancé un appel aux dons, concluant « l’esplanade des religions à Bussy est l’un des plus beaux projets de paix au monde. A ce titre, elle devrait recevoir le prix Nobel de la paix ». Nouveau tonnerre d’applaudissements.
Publié dans 18 Chroniques de Serge, 19 Près de chez nous, 24 Musique | Lien permanent | Commentaires (0)
HARLAN COBEN
BELFOND
Né en 1962, Harlan Coben vit dans le New Jersey avec sa femme et leurs quatre enfants. Diplômé en sciences politiques du Amherst College, il a rencontré un succès immédiat dès ses premiers romans, tant auprès de la critique que du public. Il est le premier auteur à avoir reçu le Edgar Award, le Shamus Award et le Anthony Award, les trois prix majeurs de la littérature à suspense aux États-Unis. Après Ne le dis à personne...(2002) – qui a remporté le Prix des lectrices de Elle et qui a été adapté avec succès au cinéma par Guillaume Canet –, Sans laisser d'adresse (2010), Sans un adieu (2010), Faute de preuves (2011), Remède mortel(2011), Sous haute tension (2012), Ne t'éloigne pas (2013) et Six ans déjà (2014 – disponible en version collector), Tu me manques est son quinzième roman à paraître aux éditions Belfond. Tous ses ouvrages sont également disponibles chez Pocket.
Les commentaires récents