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LA JOURNEE MONDIALE DES ZONES HUMIDES (JMZH), célébrée chaque année le 2 février, commémore la signature de la Convention sur les zones humides, le 2 février 1971, dans la ville iranienne de RAMSAR.
Profitons en pour faire un retour sur un gros chantier que l'association Villevaudé... demain et Seine et Marne Environnement avaient entrepris avec le concours des bénévoles de la Bibliothèque de la Roseraie, de l'Atelier Créatif, de l'association Loisirs jeunes.
Lors de la conférence du 30 janvier 2016 en mairie, nous avions découvert l'origine, l'intérêt, le rôle important que les zones humides jouent dans la préservation de nos écosystèmes, les menaces qu'elles subissent.
Le 12 mars, Chloé Chabert, de Seine et Marne Environnement nous emmenait sur les berges de trois mares de Montjay-la-Tour, (la mare du parc de la Roseraie, la mare neuve et la mare Baunay) pour une étude sur la caractérisation de nos mares. (Cliquez sur ce lien)
Le mercredi 23 mars, c'est une troisième journée (cliquez sur ce lien) particulièrement riche en apprentissages et en découverte, Chloé Chabert et Charlie Darenne... qui nous a fait découvrir un grand nombre de tritons crêtés, tritons ponctués, grenouilles agiles, crapauds qui colonisent nos mares.
A ces trois journées de formation et de découverte, ajoutons sur ce projet à long terme les journées , soirées voire nuitées d'observation sur site et les transmissions des informations de caractérisation de chaque mare à Seine et Marne Environnement!! Un travail colossal -reconnaissons le- et nécessaire, qui pourrait illustrer le thème de l'année 2024:
"LES ZONES HUMIDES, SOURCE DE BIEN-ÊTRE HUMAIN"
La carte détaillée des mares de Villevaudé est visible à la bibliothèque
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Cette année semble être une année exceptionnellement dévastatrice pour les buis.. La pyrale n'a jamais été aussi virulente et le temps très pluvieux n'arrange rien. Les buis se dégradent à vue d'œil malgré les traitements.
Depuis le mois d'avril, la pyrale du buis a répondu présente à l'appel.... elle ne nous oublie pas et a déjà attaqué.... les cocons filandreux sont visibles, les œufs et les larves s'épanouissent à vitesse grand V pour dévorer avidement les pousses tendres de nos buis...
Nymphose: transformation de la chenille en chrysalide
Le papillon est facile à reconnaitre et est attiré par la lumière
Le traitement au "Bacillus Thuringiensis", insecticide naturel, est très efficace sur les chenilles qui ingèrent le produit et meurent 2 à 3 jours plus tard.
Bon à savoir : le btk fonctionne uniquement sur les jeunes chenilles car arrivées au stade adulte les chenilles ne se nourrissent plus. Ajoutez un "mouillant huileux" (Solabiol) qui sécurise le traitement en cas de pluie .
L’installation de piège à phéromone permet de capturer une partie des mâles et de limiter la reproduction. Il sert aussi d'indicateur d'attaque car s’il y a des vols c'est que les papillons sortent et se reproduisent et pondent (en 2 à 5 jours).
Les pièges sans eau sont plus pratiques car ils n'attirent pas les mouches
La pose des trichogrammes est compatible avec Bacillus thuringiensis (Btk), facile à mettre en place et actif dès le premier vol de papillon en mai. Dès le repérage des vols dans les pièges, ont pose les trichogrammes qui servent à parasiter les œufs des pyrales, ainsi les œufs qui vont faire des chenilles n'éclosent pas, donc pas de ravage.
Bon à savoir: il ne faut pas rater le moment et l'opération a un coût élevé si on a beaucoup de buis...
Un diffuseur agissant pendant 2 semaines il est nécessaire de prévoir quatre applications toutes les deux semaines pour avoir une protection complète du vol.
Bon à savoir : Les trichogrammes fonctionnent uniquement sur les œufs des papillons, donc à mettre uniquement pendant les vols, sinon c'est inutile.
La présence de mésanges à proximité de buis peut aider à renforcer la lutte : Un couple de mésanges, en période de nidification, peut manger jusqu'à 500 insectes par jour.
Bon à savoir : Hélas la chenille de la pyrale n’est pas leur préférée.
Certains ont essayé une méthode homéopathique ....
Une granule par litre d'eau de Psorinum 30 CH... diluer 3 ou 4 globules dePSORINUM 30 C dans un verre. Verser le verre dans un arrosoir de 3 ou 5l rempli d'eau. Arrosez les plants à traiter
En cas d'infestation hors de contrôle, un traitement au Spruzit, insecticide bio agit sur les chenilles larves, œufs et adultes. L'avantage est que le mouillant est incorporé.
Bon à savoir: Les traitement non sélectifs peuvent détruire également les insectes auxiliaires utiles.
Il y a 3 voire 4 générations par an (adultes, œufs, larves et chrysalides)
Éviter de tailler des buis pendant l'infestation et en plein été, car cela constitue un choc pour la plante. Favoriser une taille d'hiver.
Sur les petits buis, on peut aussi lutter mécaniquement et dans l'attente d'effectuer un traitement avec le bacille de thuringe: il faut couper les parties de la plante infestées, enlever manuellement les œufs, les chenilles vertes et noires et les chrysalides de la pyrale du buis.
Il faudra ensuite détruire les chenilles et les feuilles en les brûlant.
Aucune solution à grande échelle n’a pour le moment été trouvée
En conclusion, tout en continuant à multiplier les différents moyens de lutte, il est essentiel d’alerter le voisinage…
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On offre habituellement le muguet "porte bonheur" le 1er mai, jour de la fête du travail.
Cette tradition date de 1561, année ou le roi Charles IX qui en avait reçu, décida d’en offrir à son tour à toutes les dames de la cour.
Le nom latin du muguet est convallaria maïalis. En anglais on l'appelle Lily of the Valley. Alors qu’il est blanc à l’époque où on l’offre, en été, les clochettes du muguet sont rouges !
Pour cueillir un brin de muguet il est préférable d'utiliser des ciseaux car il faut faire attention de ne pas arracher sa tige souterraine. Dans certains régions cette fleur est protégée. Si on arrache ses "racines" ou plus exactement ses rhizomes qui portent les racines, le muguet ne pourra plus refleurir au prochain mois de mai.
ATTENTION!! Le muguet ne porte pas toujours bonheur!!!
Les baies, comme les clochettes, la tige et les feuilles du muguet sont toxiques! On ne doit jamais goûter les baies, ni mâchonner un brin du muguet et faire attention de ne pas boire de l'eau dans laquelle a été mis du muguet. Comme toutes les belles fleurs il faut la regarder et, particulièrement pour le muguet, la respirer et la sentir !
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La journée mondiale des Zones humides est fixée au 2 février 2023.
Comme chaque année en France, des actions de terrain seront organisées du 28 janvier au 28 février pour sensibiliser à la préservation des zones humides. En 2022, plus de 300 acteurs se sont impliqués sur la thématique "Agir pour les zones humides, c’est agir pour l’humanité et la nature".
Thème retenu pour cette nouvelle édition 2023:
«IL EST URGENT DE RESTAURER LES ZONES HUMIDES » ! C'est le thème retenu pour cette nouvelle édition 2023
Photos:
Mare du bois de Montjay entre la mare neuve et la mare Beauney (Face à l'école)
Octobre 2022, cette mare est à sec
Mare du parc de la Roseraie
Mare ornementale de la Roseraie au printemps 2022
Octobre 2022, la mare de la Roseraie est à sec...
Mare de la Roseraie le 21 janvier 2023: l'eau est à la moitié de son niveau habituel.
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Visite du site remarquable de la Réserve Naturelle du Grand Voyeux à Congis-sur-Thérouanne proposée samedi 14 mai par l'association "La Dhuis à l'Ourcq" de Villevaudé.
Notre petit groupe est parti à la découverte de cette réserve naturelle régionale, ancien site industriel acquis par l'Agence des espaces verts de la région Ile de France en 1999, 160 hectares classés "réserve naturelle" en 2012.
Parcourant le sentier et après une halte à l'observatoire, conçus pour que les visiteurs munis de jumelles puissent sans être vus observer les mares, les plans d'eau, les roselières, les coteaux boisés, notre guide nous a conduits à repérer quelques espèces inconnues ou méconnues, et découvrir ainsi la richesse de la biodiversité exceptionnelle de la faune et de la flore... Orchidées comme cette orchis militaire, l'ile aux mouettes rieuses, libellules, grèbes huppés, cygne, la roselière, la boulaie....... A noter que 253 espèces ont été observées en 25 ans...
Quelques Photos..
A midi 30, le QUAI DES BRUMES nous attendait...pour un "repos" bien mérité...
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Le 13 octobre 2004, Pierre Huguenin créait l'association Villevaudé... demain, dont le siège social se trouvait Rue de la Grange à Villevaudé.
Terrain du Grimpet au hameau de Bordeaux: Le 26 juin 2006, une convention de prêt pour une durée de 30 ans étaient signée avec l'accord du conseil municipal entre la commune de Villevaudé et L'association Villevaudé.. demain.
Un temps agréée de défense de l'environnement, elle avait et a encore pour but la protection, la mise en valeur et la défense de notre environnement: L'association a été émaillée d'actions et de manifestations fortes: Lutte contre l'exploitation des carrières à ciel ouvert, Opération sauvons la Dhuis, Terralia, la liste est longue.
A travers de nombreuses manifestations plus ludiques, les adhérents et les villevaudéens ont pu apprécier les diverses visites, les marchés aux fleurs, les expositions pédagogiques, la participation aux actions de la réduction des déchets et alternatives aux pesticides, le coup de main à l'entretien du Parc de la Roseraie et les nettoyages des chemins en partenariat avec l'association La Dhuis à l'Ourcq, et plantation de rosiers ...
Une grande propension à écouter les autres. SERGE M
22 mai 2010, inauguration du Grimpet , avec père Verger qui naturellement en bon citoyen était venu nous rendre visite, déclarant: "Je ne souhaite que de bonnes choses pour ce terrain plein de vie"
N'oublions pas la jouissance du terrain Le Grimpet au Hameau de Bordeaux et les magnifiques journées passées dans ce lieu privilégié...
Les jeunes de l'association l'Edelweiss remercient Pierre Huguenin, président de Villevaudé...demain pour son aide à la plantation de la jachère fleurie du "COURTIL"", terrain voisin du Grimpet .Ils ont fabriqué pour lui ce très beau pense bête.(17 juillet 2013)
Aujourd'hui, nous sommes tristes.
Pierre Huguenin le président co-fondateur de Villevaudé...demain nous a quittés, cet homme discret mais déterminé, un ami pour beaucoup d'entre nous, ce maraîcher amoureux de sa terre, et aussi impliqué et engagé dans la vie de la commune en qualité de Conseiller municipal, pour qui disait-il " la défense de l'environnement était une lutte constante et l'affaire de chacun".
Au nom de "Villevaudé associatif", et en notre nom personnel, nous présentons nos sincères condoléances à sa chère femme, à son fils et à sa famille que nous assurons de notre vieille amitié.
Y. Godefroy
Des photos.. cliquez sur ce lien
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Lundi 9 septembre...
Les travaux d'aménagement des bords de Marne jusqu'à la passerelle sont terminés. Une belle promenade , au départ de Dampmart. Pas de pommes de terre à glaner cette année , pas de maïs pour les poules de Gilbert, ni de noix pour Marie-Ange: il est encore trop tôt. A jeudi 12!!
Annie était notre guide aujourd'hui , pour cette belle balade dans les bois de Brou , récemment ouverts au public . C'est un site à découvrir , à deux pas de Villevaudé . On peut même y croiser des chevreuils dans les allées bordées de chênes majestueux .
Le 2 septembre
Les marches ne se sont pas arrêtées durant les vacances , mais pour moi c'est la reprise avec les photos . Une balade de rentrée traditionnelle , de la maison de la nature à Coubron , en suivant la Dhuis jusqu'à la forêt de Bondy . Environ 7 km pour se remette en jambes .
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La Communauté de communes Plaines et Monts de France (CCPMF) a présenté, lundi 3 juin, son Plan climat-air-énergie-territorial (PCAET), à la mairie de Villevaudé.
Issu de la COP21, le PCAET est un projet territorial de développement durable qui s’articule autour de cinq grands axes : la réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES), l’adaptation au changement climatique, la sobriété énergétique, la qualité de l’air et le développement des énergies renouvelables. Selon la loi de décembre 2016 sur La transition énergétique pour la croissance verte (LTECV), il doit être mis en place par les EPCI (Etablissements publics de coopération intercommunale) à fiscalité propre de plus de 20 000 habitants.
Depuis le 1er janvier 2016, la CCPMF regroupe vingt communes, soit environ 24 150 habitants répartis sur 14 478 hectares. Pour mener à bien son action sur le territoire, cet EPCI dispose de plusieurs compétences : l’aménagement, l’assainissement, les déchets, le développement économique et le tourisme. « La CCPMF s’est inscrite dans la ligne de l’accord de Paris qui fixe l’objectif de limiter le réchauffement climatique à l’horizon 2100 » a annoncé Alfred Stadler, 6e vice-président de la CCPMF en charge de l’environnement et maire de Saint-Mesmes.
Un plan ambitieux qui s'inscrit dans la durée
Le PCAET de la CCPMF a été initié en 2015 et sera adopté en 2025. Il connaîtra une enquête publique qui se déroulera cette année, en 2019. Les éléments du plan climat sont définis par le code de l’environnement. Ils portent sur l’énergie, la biodiversité, l’agriculture et les forêts, les risques naturels, la santé, la production et consommation de biens, les déchets, la mobilité, l’aménagement et l’urbanisme, les bâtiments.
Pour la conduite de son projet, la CCPMF s’appuie sur Climat Pratic, un outil gratuit mis à la disposition des collectivités territoriales par l’ADEME (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie).
Jean-Louis Durand, président de la CCPMF, a rappelé que « le PCAET poursuivait les actions déjà développées sur le territoire, à savoir les balades thermiques pour évaluer les déperditions énergétiques des bâtiments, les pistes cyclables, l’agroforesterie, l’achat de véhicules électriques et de panneaux photovoltaïques ».
Première étape : un diagnostic du territoire
Marion Salmon, chargée de mission aménagement du territoire à la CCPMF, a expliqué la première phase, celle de la concertation : « L’élaboration du PCAET est une démarche participative et volontaire, associant les communes, les entreprises, les habitants et les associations, c’est-à-dire tous les acteurs du territoire. La réunion de ce soir expose le diagnostic et les caractéristiques du plan climat, ainsi que les principaux enjeux de lutte contre le réchauffement planétaire ».
Selon les études, la Terre s’est réchauffée de 0,85 degré depuis 1880 et l’on note une augmentation constante des températures depuis 1950. Les causes seraient dues à la combustion de pétrole et de gaz, la déforestation et l’agriculture intensive. Les impacts pour la France pourraient être des précipitations plus fortes en hiver et plus faibles en été, une diminution de la durée d’enneigement, une augmentation de l’érosion du littoral et la submersion des estuaires.
Enfin, en 2050, on pourrait vivre 40 jours par an à plus de 35 degrés en Ile-de-France. « Pour la Seine-et-Marne, on a constaté une augmentation des températures moyennes. Elles seraient estimées de plus 2 à 4 degrés d’ici 2070-2100, avec des impacts sur l’eau, les rendements agricoles, les consommations d’énergies, la qualité de l’air et d’éventuelles catastrophes naturelles » poursuit Marion Salmon.
Seconde étape : définir une stratégie et des actions
Les principaux enjeux identifiés sont les transports et la mobilité, les déchets et la consommation, la production d’énergies renouvelables, l’agriculture, les espaces naturels, les bâtiments.
La seconde réunion aura pour but de définir la stratégie à adopter et de fixer des objectifs chiffrés afin de réduire les GES et l’émission des polluants atmosphérique, maîtriser la consommation d’énergie. Les trois gisements potentiels d’énergies renouvelables pressentis sont l’électricité via le solaire photovoltaïque (futur parc solaire de 46 hectares à Annet-sur-Marne), le chauffage produit par le solaire thermique et la méthanisation.
A l’issue de la réunion, un habitant de Villevaudé s’est étonné du peu de monde présent ce soir-là (douze personnes). « C’est également dommage qu’il n’y ait pas de jeunes. La sensibilisation pourrait en effet commencer dans les écoles, les collèges et les lycées » a-t-il ajouté.
Prochaine réunion publique, mardi 18 juin à 19 h 30 à Saint-Pathus (salle des Brumiers)
Serge Moroy
Plus d’infos : 01 60 54 65 57/ [email protected]
Les 20 communes rattachées à la CCPMF : Annet-sur-Marne, Charmentray, Charny, Cuisy, Fresnes-sur-Marne, Iverny, Le Pin, Le Plessis-aux-Bois, Le Plessis-l’Evêque, Marchémoret, Messy, Montgé-en-Goële, Nantouillet, Oissery, Précy-sur-Marne, Saint-Mesmes, Saint-Pathus, Villeroy, Villevaudé, Vinantes.
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Lundi 27 mai, de Jablines à Chalifert
Les randonneurs de la Dhuis à l'Ourcq étaient 12 ce lundi pour un circuit au départ de la ferme à Jablines , jusqu'à l'Ermitage à Chalifert et les bords de Marne .
Le groupe au milieu d'un champ de phacélies
La minute culturelle (j'ai eu beaucoup de mal à trouver !!) : les fleurs sont des phacélies à feuilles de tanaisie .
C'est une plante herbacée annuelle de la famille des hydrophyllacées. Originaire du nord du Mexique et du sud de la Californie, elle est particulièrement intéressante en agriculture et apiculture .
Comme il y a un rucher pédagogique à proximité , je pense qu'elles ont été plantées pour les abeilles .
Rencontre avec la faune sauvage
Jeudi 30 Mai 2019 parc du Pâtis
Un très beau circuit dans le parc du Pâtis . Un peu plus long que la balade habituelle car nous avons exploré d'autres chemins, avec toujours de belles rencontres . ( mais pas les pompiers , si certaines s'en souviennent …)
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Lundi 6 mai
Il ne fallait pas manquer la floraison des rhododendrons dans la forêt de Montgé : c'était encore un peu tôt mais on a pu tout de même admirer de beaux spécimens . Un petit crochet par le sémaphore , érigé en 1901 . Des milliers de têtards dans l'étang , mais les iris jaunes n'étaient pas encore en fleurs , tant pis pour la photo cette année.
Lundi 29 avril
Un temps idéal pour ce circuit dans la vallée de la Brosse, d'autant plus que le parc du moulin Ruzon était ouvert . Nous avons pu accéder au bief et à la roue .
C'est aussi la pleine période des naissances avec des images attendrissantes d'oisons et de canetons ; mais pas de grenouilles dans la mare .
Lundi 1e avril
Circuit dans Les Vallières , que je n'avais pas repris depuis très longtemps . Certains ne le connaissaient d'ailleurs pas .
La maladie invasive du frêne est la chalarose . C'est un champignon "made in Asia " qui est arrivé chez nous via les pays de l'Est . Les frênes des Vallières en sont atteints, d'où les coupes massives .
Lundi 8 avril au Parc de la Haute Ile
Un circuit classique ce lundi , mais avec une petite variante : nous sommes revenus par le canal et avons poursuivi jusqu'au pont de Gournay
. Retour le long de la Marne .
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Jeudi 28 mars à Coupvray
J'ai un peu rallongé ce circuit sur Coupvray . Un village vraiment très agréable : nous avons pourtant bien cherché , nous n'avons trouvé aucun papier d'emballage , aucune canette sur les bords des chemins ! Danièle B
Lundi 18 mars, balade à Esbly
7 km le long du canal de la Marne et du Grand Morin. Nous avons eu aujourd'hui plus de chance que les marcheurs de dimanche: pas une goutte de pluie, pas un grêlon...
Un peu de vent aujourd'hui, mais ce fut un bel après-midi de printemps. Un circuit varié de la Dhuys aux Vallières, avec vue panoramique sur la campagne. Une déception cependant: sans doute à cause de la maladie qui touche les frênes, beaucoup d'arbres ont été abattus et les chemins ont été défoncés par les engins ...
Contact association de la Dhuis à l'Ourcq
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Francis Gandon a attendu patiemment la fin de la séance, lundi soir, avant de se lever lorsque Jean-Paul Michel, le président de la communauté d’agglomération, a donné la parole à la salle : « Nous sommes un petit groupe d’apiculteurs amateurs sur le territoire de Marne et Gondoire qui, depuis plusieurs années, avons installé des ruches dans nos jardins. Huit cents nids de frelons asiatiques ont été recensés en Seine-et-Marne en 2018, sans compter ceux qui n’ont pas été repérés. On compte quatre cents fondatrices par nid, dont probablement la moitié aura bien passé l’hiver car il a été doux. Cela va donc faire un sacré paquet de nids cette année ! »
Il poursuit : « En octobre dernier, un nid de frelons asiatiques s’est installé dans un arbre de mon jardin. J’ai contacté les pompiers, mais ils ne gèrent que les frelons européens pour la somme de cent vingt euros. Ils m’ont conseillé de contacter la mairie de Montévrain, qui m’a donné la liste de spécialistes pouvant intervenir moyennant la même somme de cent vingt euros ».
La prise en charge, un problème d’intérêt général
Mais Francis Gandon a appris que Ségolène Royal avait pris, en 2017, un décret pour la prise en charge par les préfectures des frais d’intervention chez les particuliers. Pourtant, malgré sa demande, il n’en a pas bénéficié. Il s’est alors tourné vers la mairie qui lui a confirmé « que certaines communes et communautés de communes prenaient en charge tout ou partie des frais d’intervention chez les particuliers ».
L’apiculteur amateur, qui possède trois ruches, a conclu son plaidoyer : « Il nous semble indispensable que ces frais soient pris en charge par Marne et Gondoire. Qui, à part des habitants sensibles au développement durable et à la survie de la planète, va dépenser jusqu’à cent quatre-vingt euros pour détruire un nid ? Prenez ces frais en charge avant que les nids ne fleurissent partout avant l’arrivée du printemps ». Ses propos ont recueilli des applaudissements nourris de la part de plusieurs élus, mais aussi parmi le public.La société Abeilles et miel de Rémi et Nicolas Martin, apiculteurs à Lagny-sur-Marne, ainsi que le GDSA 77 (Groupement de défense sanitaire apicole de Seine-et-Marne), soutiennent l’initiative de Francis Gandon et de Maia
(Mouvement apiculteurs individuels autonomes), groupement créé en 2013.
Photo: Monsieur Lecleuyou, apiculteur amateur à Villeparisis, lors de la conférence qu'il a menée le 31 janvier 2019 à Villevaudé (maison de retraite "SOS Seniors" château du Poitou)
Un cadre légal pour son extermination
Apparu en 2004 en France, le frelon à pattes jaunes ou frelon asiatique, constitue une menace réelle pour l’apiculture, mais aussi pour la biodiversité, dont celle des insectes pollinisateurs. Particulièrement envahissant, le frelon asiatique a été classé espèce nuisible pour l’abeille domestique par arrêté ministériel du 28 décembre 2012, ce qui donne un cadre légal à sa destruction Serge Moroy
Une astuce facile à réaliser:
Lundi 11 mars, au château de Champs sur Marne
Nous étions 7 pour braver les giboulées de ce mois de mars. Une petite balade culturelle et poétique dans le parc du château de Champs sur Marne .
25 février, de Villevaudé à Claye Souilly
En cette période de pics de pollution , nous avons voulu limiter les émissions de particules fines et de CO2 en ne prenant pas nos véhicules
. Nous sommes donc partis de Villevaudé pour une grande boucle de 10 km
. Nous avons donc suivi l'allée de la mare neuve , comme d'habitude ,pour rejoindre l'allée des Favrieux : mais arrivés au bout , nous nous sommes fait tancer par la propriétaire des écuries car nous passions sur une propriété privée ... En effet , il y a maintenant un panneau devant la barrière , du côté des Favrieux , mais pas dans l'autre sens .... comme le bois est également privé , par où peut-on passer ?
Bref , nous avons fait un crochet par l'éco-quartier du bois des Granges afin de voir l'évolution et nous avons rejoint la Dhuis. Le circuit était un peu long et le passage pour remonter sur la Dhuis assez délicat
Photos Danièle B..
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Pour tout savoir sur les randonnées de La Dhuis à l'Ourcq: Cliquez sur ce lien
14 février: Parc de la Haute île
Un après-midi ensoleillé pour une boucle de 7 km au départ du parc de la Haute Ile .
Une halte habituelle à l'écluse , puis retour par les bords de Marne.
11 février : Chanteloup
Un bon groupe de 12 marcheurs pour ce circuit au départ de Chanteloup .
Un début d'après -midi maussade puis de belles éclaircies . Et surtout : les perce-neige qui fleurissent dans le parc des cèdres : c'est bientôt le printemps !!!
7 février: Base de Vaires-sur-Marne.
Les travaux ont bien avancé sur la base de Vaires-sur-Marne. On peut maintenant refaire le tour du plan d'eau , mais le chemin est très boueux . Vivement le printemps!!
4 février: Parc de Noisiel
Difficile de trouver des chemins praticables en cette saison . Nous avons donc choisi le parc de Noisiel pour la balade . Une partie est actuellement en travaux de réaménagement et les bords de marne en partie fermés depuis des mois en raison de l'affaissement des berges .
21 janvier: de Lesches à Montigny
Souvenir d'un bel après-midi ensoleillé pour faire oublier la neige et le ciel gris .
14 janvier: des sculptures de la Dhuis à l'Ermitage
Un circuit que nous pouvons maintenant effectuer grâce à la passerelle sur la Marne . Un peu court cependant et un passage toujours épineux à la descente de la voie ferrée.
Contact: [email protected]
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Le 8 novembre: Vallée de la Brosse et moulin Russon, étang de la Broce... petit détour par le vignoble
2 décembre: Un aller-retour de Claye Souilly à Fresnes en longeant le canal de l'Ourcq.
Le 18 décembre: Balade au départ du Parc de la Haute Ile, retour par les quais de la Marne. L'écluse est en travaux. Les canards mandarins sont toujours là !!
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1e octobre: Une belle journée pour faire découvrir le Parc du Pâtis à Micheline et
Jean-Sylvain. Beaucoup d'oiseaux sur les étangs, un circuit qui ravit
les yeux.
4 octobre: Les balades se suivent mais ne se ressemblent pas . Nous sommes allés aujourd'hui de Chanteloup en Brie à Conches sur Gondoire. Les travaux dans le parc sont presque terminés et nous avons pu en faire le tour : c'est magnifique ! Dommage , on ne peut toujours pas accéder à la glacière
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La visite a commencé par la carrière de Villevaudé près du bois Gratuel (appelée carrière du Pin). Ils ont déjà bien creusé. La terre est retirée en couches successives.. L'extraction du gypse se fera à 30 m en dessous du sol..
Dans le bois Gratuel on peut lire sur les panneaux les modalités de protection de la nature
Si on a pu constater que 3 mares ont été créées, ainsi qu'un merlon pour les grenouilles… on a pu également regretter des réponses moins explicites aux questions posées…
Dans la carrière de Villeparisis qui va bientôt arriver en fin d'exploitation, on aperçoit les arbres plantés en 2006 avec les élèves de l'école Ivan Peychès.
Un apiculteur a offert à chaque visiteur un petit pot de miel de sa dizaine de ruches placées dans la carrière de Villeparisis.
Les photos n'ont pas été autorisées pour la visite de l'usine où les plaques de placo sont fabriquées (à raison de 1 plaque par seconde) dans un bâtiment de 600m sur une chaine de fabrication de 450m de long...
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Les cyclamens à Lesches
Nous étions encore 10 ce lundi pour la traditionnelle balade des
cyclamens à Lesches . Je voulais garder ce circuit pour le retour
d'Annick , mais il ne fallait pas attendre la fin de la saison . Gilbert
n'était pas là non plus , il n'aura donc que la photo , mais nous lui
gardons Montgé en Goële et le ramassage des châtaignes . Danièle B
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Pour vous inscrire aux randonnées contactez l'association De la Dhuys à l'Ourcq
Jeudi 13 septembre, COUBRON
Une petite halte à la maison de la nature de Coubron , qui accueille de nouveaux pensionnaires . Nous avons ensuite suivi la Dhuys pour
rejoindre la forêt de Bondy.
Les pessimistes prévoyaient la pluie, et bien non , nous n'avons pas pris une goutte...
Lundi 10 septembre, DAMPART
Nous avons repris le circuit au départ des Epinettes à Dampmart pour suivre la Dhuys , puis longer la Marne et revenir par les Vallières.
C'est toujours une balade appréciée sous le soleil (sauf pour les moustiques dans les Vallières , qui ont particulièrement attaqué certaines marcheuses) .
Nous accueillons une petite nouvelle , encore une Dominique, de Villeparisis également . Aujourd'hui nous étions donc 11 .
L'agriculteur a dû abandonner les cultures maraîchères cette année , car aucun chou ou betterave dans les champs , il les a remplacés par des céréales. Cela n'a pas empêché Marie-Ange de trouver son bonheur avec les noix et les pommes .
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Retrouvez-nous samedi 8 septembre à partir de 14h au Forum des associations, salle des merisiers rue Adèle Claret à Montjay-la-Tour..
Après deux mois d'absence, voici quelques photos de ma première randonnée de septembre dans la forêt de Ferrières .
J'ai eu le plaisir de retrouver Annick , de retour parmi nous depuis la semaine dernière ,
et d'accueillir Micheline et Jean-Sylvain, qui ont rejoint le groupe .
J'espère que ce circuit dans la forêt de Ferrières leur aura plu ...
Gilbert (celui de Monique) a tenté en vain de nous égarer mais il n'y est pas parvenu.
Danièle B
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Un circuit sur Villevaudé particulièrement boueux ! Des ornières remplies d'eau , des flaques transformées en mares , où proliféraient les têtards ,des chemins glissants, bref , une vraie galère ! A déconseiller aux VTT , car ils ne peuvent pas , comme nous , faire un détour par le bois.
Le 25 juin à Noisiel
Pour changer un peu de la boue , et profiter de la fraîcheur , nous sommes allés marcher le long de la Marne , à Noisiel . Pas de chance ,
le chemin de halage est interdit aux piétons et aux cyclistes entre les deux passerelles . Il s'est effondré en plusieurs endroits . Nous avons
donc emprunté le chemin parallèle dans le parc de Noisiel . Un seul problème aujourd'hui : les moustiques ! On ne peut pas tout avoir ...
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Jeudi 31 mai
Ces temps-ci nous recherchons surtout la fraîcheur des sous-bois et la proximité de l'eau . Nous sommes allées de Lagny à Chessy en suivant les bords de Marne et nous nous sommes arrêtées aux sculptures de la Dhuis
Les travaux de la passerelle ont repris et le chantier devrait être terminé pour l'été .
Il reste maintenant à réaménager le site et à mettre en valeur les sculptures qui en ont bien besoin .
Lundi 4 juin
Nous étions 7 pour ce circuit au départ d'Esbly , le long du canal de Meaux à Chalifert et du Grand Morin . Les chemins sont remarquablement entretenus , un pur régal !
D Brédillon
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Jeudi 24 mai, Jablines
Ce sera le dernier circuit à Jablines pour cette saison : l'entrée devient payante , même en semaine, à partir du 1er Juin . Nous avons fait le grand tour en passant par les bords de Marne , le chemin est maintenant praticable . Les plages sont de nouveau accessibles et une nouvelle attraction est en cours de montage au Royaume des enfants.
Lundi 28 mai, Vallée de la Broce
Savez-vous ce que représente cette photo? Ce sont des fils à chenilles qui pendent en travers du chemin et que l'on doit éviter
Une belle balade qui nous a procuré un peu de fraîcheur , de l'étang de la Loy à l'étang de la Broce , en passant par le moulin Russon.
Danièle
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Villevaudé fait partie des 86 communes franciliennes qui ont obtenu leur première fleur au concours national 2017. A l’instar des 327 autres villes de la région parisienne labellisées à différents niveaux (de la fleur d’or à la première fleur), le jury a en effet reconnu ses actions pour la qualité de vie des habitants, l’accueil des touristes et la préservation de l’environnement.
Une nouvelle image du village
« Villevaudé a vu son engagement environnemental récompensé avec l’attribution d’une première fleur par le comité régional des villes et villages fleuris, apportant une image nouvelle de notre village » a déclaré Pascal Pian, le maire, à Magjournal, lundi 14 mai. Il poursuit : « Je considère aujourd’hui que le pari est réussi pour que Villevaudé soit considérée, reconnue et valorisée comme il se doit, tant par ses projets que par ses équipes, dont les agents des services techniques qui ont fait un travail remarquable ».
Il aura l’occasion d’évaluer la satisfaction de ses administrés lors des traditionnels réunions de quartier qu’il entreprendra avec son équipe début juin, dans les trois hameaux qui composent le village (Villevaudé, Bordeaux et Montjay-la-Tour), afin d’échanger sur leurs préoccupations et tenter de les régler au mieux.
Institué en 1959, le concours national des villes et villages fleuris vise à récompenser les actions menées par les communes de France en faveur de l’embellissement des parcs et jardins, bâtiments et espaces publics, ainsi que les actions effectuées en faveur du développement durable. S.Moroy
Prochaines réunions de quartiers:
02 Juin : Réunion de quartier : Bordeaux 9h30 et Marronniers 11h15
09 Juin : Réunion de quartier : BISY 9h30 et Grous/Chauvet/Eglise 11h15
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De Lesches à Montigny, lundi 3 mai
Nous n'avions pas repris ce circuit depuis l'automne. Il est toujours agréable sous le soleil et l'on a une très belle vue sur toute le région
Nous n'avons pas pu aller bien loin sur le chemin qui longe la réserve ornithologique du site Natura 2000 , il est inondé ...
Blanc Compagnon ( Silene Latifolia) . Les jeunes pousses sont comestibles , mais je n'ai pas essayé. DB
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Carnet de bord des randonneurs
19 avril 2018
La météo qui nous a permis de retourner au parc du Pâtis à Meaux. Nous n'avons pas pu , hélas , emprunter le chemin qui
passe entre les étangs aux oiseaux , il était sous les eaux . Le reste était très praticable , mais il faudra encore beaucoup de temps pour que tout s'assèche.
23 avril
Nous étions 5 pour cette jolie balade au départ des Epinettes à Dampmart. Une vue panoramique au milieu des champs de colza, retour par la forêt des Vallières, dont les frênes sont atteints de la chalarose (maladie incurable due à un champignon pathogène et qui ne touche que cette essence ) . L'agence des espaces verts coupent ceux qui sont malades et menaceraient de tomber .
Des renseignements? contactez Danièle l'association De la Dhuis à l'Ourcq
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Carnet de route des randonneurs des lundis et jeudis de l'association "De la Dhuis à l'Ourcq"
LUNDI 26 MARS 2018
Une journée quasi printanière pour un circuit que nous n'avions pas repris depuis un moment. Nous sommes partis du moulin de Montfermeil , avons traversé le bois des Ormes pour rejoindre la forêt de Bondy.
Exceptées les anémones et quelques ficaires , peu de fleurs encore dans les sous-bois
jEUDI 29 MARS
Bien difficile ce jeudi encore , de trouver un circuit praticable . Peu de solutions , nous avons donc choisi les bords du canal de l'Ourcq :
Départ du pont de la Rosée en empruntant la piste cyclable jusqu'à Villeparisis , ce qui nous a valu l'animosité de quelques cyclistes hargneux . Retour par le chemin piéton , interdit normalement aux vélos, mais les marcheurs sont moins agressifs...
Il n'y aura pas de marche lundi 2 avril ;
Danièle B
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Les manifestants protestaient, samedi, contre la carrière à ciel ouvert de Placoplatre, dont le bois Gratuel fera bientôt les frais.
Malgré la forte chaleur, ils ont pris le chemin de l’aqueduc de la Dhuis, qui commence à l’angle de la rue du Lavoir et de la rue Charles-de-Gaulle, pour se rendre jusqu’à la plateforme de construction du pont, près de la RD105. Par mesure de sécurité, la police avait bouclé la route, côté Villevaudé. De nombreux élus des communes voisines participaient au cortège, ainsi que des candidats aux élections législatives : Maxime Laisney, Julia Killian, Farid Djabali, Béatrice Troussard…
Le projet validé par le préfet
Le carrier se cramponne à son projet, d’autant qu’il a été validé début mai par le préfet. La carrière du Pin-Villeparisis alimente en gypse l’usine Placoplatre de Vaujours. Or ses réserves étant bientôt épuisées, l’entreprise a obtenu une autorisation d’exploiter à ciel ouvert les secteurs du bois Gratuel et des Mazarins, situés plus à l’est. « Dans le dossier, les services de l’État ne satisfont qu’à une obligation légale, ce n’est plus un débat démocratique » lâche Marie-Françoise Pian, présidente de Villevaudé… demain, et porte-parole du collectif.
Le collectif dénonce une « destruction programmée »
Nous sommes à quelques centaines de mètres à peine de villevaudé.....
« La communication de Placo ne change pas : on nous dit que dix-neuf hectares seulement vont disparaître et que la Dhuis ne sera pas touchée. La destruction du bois Gratuel va démarrer le 1er août par l’abattage des arbres. Avec la construction du pont, Placo, propriétaire foncier de grandes surfaces de bois sur la butte de l’Alnay, poursuivra vers les communes de Villevaudé, Annet-sur-Marne et Thorigny-sur-Marne. Il faut donc additionner les hectares détruits à ceux qui le sont déjà en Seine-Saint-Denis, depuis le bois de Gizy et Bois-le-Comte, pour apprécier l’ampleur de la destruction » poursuit-elle.
Elle déplore que Placo « très inquiet de [nos] manifestations, continue dans une absence totale d’écoute à livrer des arguments d’un autre âge : chantage à l’emploi, impossibilité de faire du cavage à l’inverse de Cormeilles-en-Parisis (Val-d’Oise), anticipation sur les arrêtés ». La présidente ajoute : « La loi autorise les exploitations à ciel ouvert à 80 mètres des habitations. Qu’en pensent les habitants de Montjay-la-Tour ? » [Ndlr : haut de Villevaudé]. S. Moroy
Pour rappel:
L'arrêté préfectoral 2017 DRIEE-012 du 3 mars 2017 lève l'interdiction d'atteinte aux espèces protégées dans le cadre du projet d'extension de la carrière de gypse à ciel ouvert sur le Bois Gratuel et les Mazarins, ce qui veut dire que sont autorisées la "destruction et altération de sites de reproduction ou d'aires de repos" des espèces citées...
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L’apparition des premiers engins de chantier, il y a une quinzaine de jours, en bordure de la RD105, a fait bondir Christian Tarrieu, président de AB2V (Association Ensemble bien vivre à Villeparisis créée en 2015). Le projet était pourtant inévitable suite à l’arrêté du préfet validant, début mai, le projet d’extension de la carrière de gypse à ciel ouvert.
Les associations dénoncent « la non prise en compte des remarques lors des enquêtes publiques, la destruction de plusieurs animaux (37 espèces protégées), le tarissement précoce des nappes phréatiques et des sources naturelles, des nuisances de toutes natures liées à l’exploitation du gypse ».
Le pont sera opérationnel en 2018
Dans une plaquette distribuée en avril dans les boîtes aux lettres des Villevaudéens, le carrier expliquait son projet : « Pour les besoins de la future carrière [NDLR : secteurs du Bois Gratuel et des Mazarins], on fait construire un pont paysager au-dessus de la RD105. Il permettra de transporter le gypse vers la carrière actuelle de Le Pin-Villeparisis par voie interne, sans utiliser le réseau routier. Dès 2021, le convoyeur existant, qui achemine le gypse jusqu’à l’usine, sera prolongé et empruntera ce pont. Les travaux s’effectueront sans interruption de la circulation sur la route, sauf occasionnellement de nuit. Il sera mis en service début 2018. Le pont enjambera la promenade de la Dhuis sans l’interrompre, y compris pendant la phase de travaux et sans que l’ouvrage ne déborde sur son emprise. Sa signature visuelle, en forme de vague, sera maintenue ».
Une ressource récupérable
Franck Rolland, élu municipal EELV à Villeparisis, souligne : « On nous dit que le gypse est facilement récupérable et on continue à l’exploiter, alors que tout cet argent pourrait financer d’autres filières, comme celle du recyclage, et sans perte d’emplois. On est toujours sur une logique de court-terme, sans préservation des matières premières, c’est-à-dire un modèle de croissance aujourd’hui dépassé ».
Farid Djabali, élu municipal à Mitry-Mory et candidat EELV aux prochaines élections législatives, renchérit : « L’environnement et les espaces sensibles vont disparaître à cause de l’usine Placo à Vaujours. Or il est important d’avoir un développement économique concerté qui ne porte pas atteinte à l’environnement et aux espaces sensibles, comme la forêt de Montgé-en-Goële et le fort de Vaujours ».
Le collectif reprend du service
Regroupant sept associations, un collectif, Sauvons la Dhuis, avait réussi à mobiliser tout de même près de 900 personnes lors d’une marche verte, en novembre 2011, sauvant ainsi in extremis un tronçon de l’aqueduc de la Dhuis que la mairie de Paris, son propriétaire, voulait vendre alors à Placo. « Ces carrières signifient la destruction programmée d’une grande partie des massifs boisés de la butte de l’Aulnay sur Le Pin, Villevaudé, Claye-Souilly, Carnetin, Thorigny-sur-Marne et Annet-sur-Marne, ainsi que l’anéantissement total, à terme, de sa faune et de sa flore. L’abattage des arbres du bois Gratuel doit débuter en août » indique un porte-parole du collectif.
Le nouveau ministre de la transition écologique et solidaire, Nicolas Hulot, a été contacté. « La promenade de la Dhuis fait partie de la trame verte de l’Est francilien et elle est en danger imminent. Pourtant, elle a été aménagée avec l’argent public : six millions d’euros ont été investis entre 2006 et 2007 par la Région » poursuit le membre du collectif.
Une marche verte, samedi 17 juin
Pour appuyer son action, Sauvons la Dhuis appelle à une nouvelle grande marche verte. Elle aura lieu samedi 17 juin à 14 h 30, pour une durée d’environ deux heures.
Le lieu du rendez-vous est fixé à l’entrée de Villevaudé, à l’angle de la rue du Lavoir et de la rue Charles-de-Gaulle. La marche jusqu’au bois Gratuel permettra de découvrir une partie du circuit de la Dhuis. Elle s’arrêtera à la nouvelle plateforme de construction du pont, face au réservoir d’eau implanté de l’autre côté de la RD105, sur la commune du Pin, avant la traversée du CD105.
Le collectif Sauvons la Dhuis
Villevaudé… demain, Les Abesses de Gagny-Chelles, Union des Familles Laïques de Marne et Chantereine (UFAL), Les amis de Carnetin, AJT Rando, Marne et Gondoire à vélo, Association de Défense de l’Environnement du Bois Fleuri (ADEBF).
Serge Moroy
Moment magique à Congis-sur-Thérouanne en Seine et Marne, chez Béatrice Vavasseur
Les écureuils roux sont à protéger car dans quelques décennies, l'espèce aura peut être disparu, gravement menacée par l’écureuil de Corée, porteur de la maladie de lyme, et souvent relâché après un achat décevant, l’écureuil gris américain porteur d’une parasitose très contagieuse, les chats qui mangent les petits comme ils croquent les souris, les voitures, l’urbanisation, la déforestation …
Béatrice recueille, soigne des écureuils roux blessés, tombés du nid, trop jeunes pour survivre…. Elle en sauve jusqu’à 400 en une année… et tous sont relâchés
Témoignage en quelques photos:
3 à 6 jours... pas d'yeux pas d'oreilles
15 jours, les poils commencent à pousser
Bientôt retour dans les bois... en douceur....
À VILLEVAUDÉ, SUR LE BOIS GRATUEL ET LES MAZARINS, L'ÉCUREUIL ROUX N'EST PLUS UNE ESPÈCE PROTÉGÉE
L'arrêté préfectoral 2017 DRIEE-012 du 3 mars 2017 lève l'interdiction d'atteinte aux espèces protégées dans le cadre du projet d'extension de la carrière de gypse à ciel ouvert sur le Bois gratuel et les Mazarins, ce qui veut dire qu'est autorisée la "destruction et altération de sites de reproduction ou d'aires de repos" des espèces citées...
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Bourse aux fleurs à Villevaudé
La bourse aux plantes s’est déroulée samedi 22 avril dans le parc de la Roseraie. Des fleurs, plantes et graines, mais aussi une information sur le projet d'extension de carrière à ciel ouvert de Placoplatre contre lequel l'association organisatrice s'insurge.
La bourse était organisée par l’association Villevaudé… demain, avec le concours de la municipalité. « Le principe d’une bourse aux plantes est très simple : chacun apporte ce qu’il a dans son jardin pour l’échanger avec son voisin. Conseils et astuces sont également les bienvenus » explique Marie-Françoise Pian, sa présidente. Un principe évident pour Mélanie qui est venue de Condé-Sainte-Libiaire avec Julien, son époux, et Loris et Antone, ses deux enfants.
« J’ai appris qu’il y avait cette bourse aux plantes grâce à Magali, qui vend des crêpes sur le marché de Lagny-sur-Marne, et qui justement y participe. Nous avons un grand jardin et j’ai apporté, pour échanger, de la sauge, mélisse et ciboulette ». Elle repartira avec un groseillier et un cassissier, des arbrisseaux fruitiers qu’elle n’avait pas dans son jardin.
Partenaire de l’opération, la serre de Montjay-la-Tour exposait également ses nombreuses variétés de plantes d’ornements, fleurs aromatiques et de massifs, qui ont connu beaucoup de succès auprès des visiteurs.
Les bons plants s’échangent, la contestation germe: « Il faut sauver le bois Gratuel »
Forte du succès du collectif qu’elle a créé en octobre 2011, et qui a finalement permis de sauver un tronçon de l’aqueduc de la Dhuis que la mairie de Paris, son propriétaire, voulait céder à Placoplatre ; Villevaudé… demain entame un nouveau combat : sauver les 20 hectares du bois Gratuel. Placo a un projet d’extension de sa carrière à ciel ouvert de Bois le Comte pour alimenter l’usine de Vaujours, en service depuis 1946 [Ndlr : Placoplatre est le premier exploitant de gypse en France et 68 % de la production nationale provient du bassin parisien].
Pour les besoins de la future carrière, Placo construira un pont paysager au-dessus de la RD105. « Après les enquêtes publiques et les arrêtés, une demande d’autorisation de défrichement du bois Gratuel est mise en consultation auprès du public jusqu’au jeudi 18 mai [Ndlr : ce n’est pas une consultation en mairie, mais sur internet]. Le projet a été validé par le préfet le 17 mars alors qu’il entraîne des nuisances, risques et dégâts divers pour la population et l’environnement, largement sous-estimés par Placo. L’association a donc décidé de contester en justice ce projet d’exploitation à ciel ouvert et au tir de mine sur le bois Gratuel » nous a expliqué un membre de Villevaudé… demain.
Un bilan de douze ans
Crée en octobre 2004, Villevaudé… demain s’est fixé pour mission de défendre l’environnement sur la commune et ses environs. Des panneaux rappelaient d’ailleurs les multiples actions entreprises depuis ses douze ans d’existence, à savoir des visites et actions de sensibilisation destinées aux scolaires, mais aussi aux adultes : nettoyage dans la commune, campagne de réduction des déchets avec la CCPMF (Communauté de communes Plaines et Monts de France), ateliers de jardinage sur le terrain du Grimpet, rallyes pédestres… S. Moroy
www.seine-et-marne.gouv.fr/Politiques-publiques/Environnement-et-cadre-de-vie/Foret/Consultations-publiques
www.villevaude-demain.com
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Elle est encore là!!! à Villevaudé, à Montjay-la-Tour et au hameau de Bordeaux... en fait, elle sommeillait dans les cocons malgré un hiver que nous pensions (à tort) destructeur !! Merci à ceux et celles qui nous ont contactés.
LA PYRALE DU BUIS
Importée accidentellement d’Asie depuis 2007, la pyrale du buis gagne du terrain sur tout le territoire français. Depuis 2015, elle a fait son apparition dans les buis de Villevaudé. Il est important de savoir que cet insecte n’a pas de prédateur naturel et qu'il n'existe pas de traitement préventif.
Il y a 3 voire 4 générations par an (adultes, œufs, larves et chrysalides)
nymphose: transformation de la chenille en chrysalide
C'est sous la forme chenille non urticante que la pyrale du buis pose problème car elle dévore les feuilles et l’écorce verte du buis, se nourrissant des feuilles de l’intérieur du buis, rendant la détection tardive et donc difficile à contrôler. En raison de leur appétit dévastateur les ravages sont importants et risquent de détruire tous les buis en seulement quelques années.
DÈS LE MOIS DE MARS/AVRIL IL FAUT PIÉGER LES PAPILLONS PAR CAPSULE DE PHÉROMONE
Un papillon peut pondre entre 100 et 600 œufs par an.
Après les fortes attaques de ces dernières années, il est conseillé dans un premier temps de mettre en place du piégeage pour détecter les premiers vols du papillon.
Piège à papillon de nuit de la pyrale du buis: cette méthode permet de positionner idéalement les traitements 8 à 10 jours après les premières captures.
En imitant les phéromones émises par les papillons femelles, la phéromone permet d’attirer les mâles dans les pièges remplis d’eau placés au-dessus des buis.ne pas oublier d'ajouter le produit à vaisselle: il sert à dissoudre la légère couche savonneuse qui recouvre les ailes du papillon. Il faut changer la capsule de phéromone tous les mois et ne pas la manipuler à mains nues.
UNE FOIS LES PAPILLONS DÉTECTÉS, UN TRAITEMENT BIOLOGIQUE S'IMPOSE
Des études ont démontré l’efficacité du traitement biologique : Le Bacillus thuringiensis ssp. kurstaki, couramment désigné par son acronyme Btk, est une bactérie qui vit naturellement dans le sol. Depuis une trentaine d'années, on l'utilise partout dans le monde comme agent de lutte biologique pour réprimer les populations de divers insectes ravageurs forestiers et agricoles. La chenille est infectée lorsqu'elle dévore les parties de la plante arrosée par la bactérie, elle ne peut plus s'alimenter et meurt dans les jours suivants. On doit renouveler l'opération dix jours après.
BON A SAVOIR :le btk fonctionne uniquement sur les jeunes chenilles car arrivées au stade adulte les chenilles ne se nourrissent plus.
La présence de mésanges à proximité de buis peut aider à renforcer la lutte : Un couple de mésanges, en période de nidification, peut manger jusqu'à 500 insectes par jour. Hélas la chenille de la pyrale n’est pas leur préférée.
Éviter de tailler des buis pendant l'infestation et en plein été, car cela constitue un choc pour la plante. Favoriser une taille d'hiver.
Sur les petits buis, on peut aussi lutter mécaniquement et dans l'attente d'effectuer un traitement avec le bacille de thuringe: il faut couper les parties de la plante infestées, enlever manuellement les œufs, les chenilles vertes et noires et les chrysalides de la pyrale du buis. Il faudra ensuite détruire les chenilles en les brûlant.
Les solutions chimiques sont à rejeter: Les pyréthrinoïdes ne sont pas sélectifs et détruiront également les insectes auxiliaires utiles. Le diflubenzuron (Dimilin Flo) est difficile à contrôler car il doit être appliqué juste après l'éclosion des œufs.
Depuis 2015, d'autres départements tel le Puy de Dome ont été touchés
LES TRICHOGRAMMES PEUVENT NOUS AIDER
Pour tuer la pyrale à l’état d’œuf, utilisez les trichogrammes « trichotop buxus ». Ce sont de minuscules insectes qui se reproduisent en parasitant les œufs des pyrales, dès la ponte. Ils éliminent donc la génération à venir de pyrale. Pensez bien à les utiliser à l’automne pour éviter la naissance de nouvelles chenilles au printemps prochain !
BON A SAVOIR: Les trichogrammes fonctionnent uniquement sur les œufs des papillons, donc à mettre uniquement pendant les vols, sinon c'est inutile.
Puisque nous ne devons négliger aucune piste, Planete Homeo School propose une méthode homéopathique ....
Une granule par litre d'eau de Psorinum 30 CH... essayons!!
Leur message: Pyrale du buis: PSORINUM.
"Bonjour à tous, nous sommes heureux de vous faire savoir que dans la région Suisse Romane et Ardèche, tous nos tests sont favorables: PSORINUM fonctionne remarquablement.
Dès après le traitement, les larves tombent, parfois c'est grouillant même, sur le sol.
Certains cas plus graves, on croit que le buis est mort mais en 15 j à 3 semaines, il reprend vaillamment.
Mode d'emploi: diluer 3 ou 4 globules de PSORINUM 30 C dans un verre. Verser le verre dans un arrosoir de 3 ou 5 l rempli d'eau. Arrosez les plants à traiter."
DANS TOUS LES CAS IL EST IMPORTANT DE DONNER L’ALERTE
Des actions collectives de surveillance et de traitement sont indispensables pour limiter la propagation de la pyrale du buis. Rappelons qu’il n’existe pas à l'heure actuelle, de traitement préventif.
Y. Godefroy
A l'occasion de la semaine des alternatives aux pesticides, l'association Villevaudé...demain vous a informés en 2016 et en 2017 de ce fléau par distribution de ce document dans toutes les boîtes aux lettres de Villevaudé, Montjay-la-Tour et Hameau de Bordeaux. Cette plaquette est disponible à la bibliothèque de la Roseraie.
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Créée en 1988, l’association des croqueurs de pommes de Brie et Gâtinais, bien connue des Villevaudéens, compte 160 adhérents... et 8000 membres répartis dans 65 sections locales.
"La production intensive, imposée par la grande distribution, limite le choix à quelques variétés de fruits. Or, dans nos campagnes seine-et-marnaises, il y a des centaines de pommiers... Akane, Colapuy, Rambour d’automne, Farot, Belle-Joséphine de Brie, Judeline, Hochet (ainsi nommée à cause des pépins qui remuent quand le fruit est mûr), des poiriers et des pruniers. C’est une richesse, dont on n’a pas conscience" nous expliquait Pascal Papelard, son président, lors de la 3e bourse aux plantes d'automne de l'association Villevaudé... demain.
Pour connaître le calendrier des activités du 1e semestre 2017, cliquez sur ce lien
Retrouvons-les près de chez nous :
Les 25 et 26 mars à Savigny-le-Temple, au Printemps des jardiniers. Nous pourrons rencontrer les élèves du lycée agricole Bougainville et une présentation du jardin suivant les principes de la permaculture...
Les 1e et 2 avril à Crécy-la-Chapelle, aux Journées des plantes & Art du jardin: Cette première édition mettra à l'honneur la rose ancienne "Rose de Crécy" créée en 1828 par Pierre de Roëser et dont la famille vit encore dans la ville.
Le 13 mai aux Bucoliques de Coupvray au parc du château
Le 13 mai encore à Lagny-sur-Marne aux Journées Portes ouvertes des serres municipales.
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Villevaudé ► Adopter une poule pour réduire ses déchets
Dans le cadre de la semaine européenne de réduction des déchets initiée par l’ADEME (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie), l’association Villevaudé… Demain a lancé, samedi 26 novembre, l’opération « adoptons des poules » avec la CCPMF (Communauté de communes Plaines et Monts de France) qui en propose gratuitement.
Pourquoi adopter une poule ?
Une poule peut manger jusqu’à 150 kg de déchets organiques et pondre, selon les races, 260 œufs par an. De plus, son fumier, constitué par le mélange de litière et d’excréments, est un excellent engrais naturel. Après une petite information sur le gallinacé assurée au Mille-club, 34 familles sont reparties avec deux poules pondeuses chacune, de couleur rousse (race shaver), âgées de 18 semaines et vaccinées. Venue avec ses grands-parents, Mathilde, 7 ans et demi, a déjà baptisé les deux siennes. « Elles s’appelleront Mathilde et Emma, le prénom de ma sœur ».
Les bons conseils de l’éleveur
« Les poules ont besoin de 15 % de protéines. Il faut toujours leur donner des graines, mais surtout des déchets. Plus vous leur donnerez de déchets et moins elles mangeront de graines » a précisé Raphaël Paquet, employé de l’élevage François-Dano, aviculteur à Villemareuil. « Elles n’aiment pas le froid, les grosses chaleurs et l’humidité. Elles peuvent vivre dehors, bien sûr, mais évitez surtout les courants d’air dans leur abri car une poule peut s’enrhumer » ajoute Raphaël. Pour les vermifuger, il préconise de mettre, une fois par mois, une cuillère à café de vinaigre pour 5 litres d’eau minimum. Graines et eau toujours à disposition seront, si possible, suspendues pour éviter d’attirer les rongeurs.
Les vertus du compost
Distribution de poules, mais aussi de compost issus des déchets verts récoltés sur l’ensemble du territoire de la CCPMF. L’engrais naturel,provenait de la plateforme de traitement du SMITOM basée à Monthyon. « Le compost est un fertilisant naturel. 10 kg de compost valent 100 kg de fumier. A l’automne, on l’utilisera pour amender la terre » a expliqué Jérôme Papegaye, ambassadeur de tri à la CCPMF.
Faire son compost soi-même
Jérôme proposait également un composteur plastique gratuit, moyennant l’inscription à une petite formation qui sera dispensée ultérieurement. Le compostage permet d’alléger en moyenne de 30 % le poids des ordures ménagères, d’améliorer la fertilité du sol et de produire un amendement naturel, économisant ainsi l’engrais. On peut y mettre des épluchures de légumes fruits, coquilles d’œufs, marc de café et sachets de thé, feuilles mortes, plantes vertes et fleurs fanées, gazon sec, tailles de haie, essuie-tout, cendres de bois. A éviter viande, poisson, os, charbon et matériaux non organiques (plastique, verre, métal, gros branchages, herbes grainées, coquillages).
Sensibiliser par tous les moyens
« L’association Villevaudé… demain a été créée en 2004, suite à la problématique des carrières. Nous avons lancé de nombreuses actions pour la défense de l’environnement et privilégions également la sensibilisation, comme par exemple cette opération d’adoption de poules que nous reconduisons tous les deux ans » confie Marie-Françoise Pian, présidente de l’association.
A titre informatif, elle conseille deux films sortis récemment : ‘’Demain’’, qui aborde des solutions alternatives au niveau mondial et ‘’Qu’est-ce qu’on attend ?’’, film de Marie-Monique Robin. Ce dernier évoque un petit village alsacien engagé dans une démarche de transition vers l’après-pétrole pour réduire son empreinte écologique. « C’est un excellent exemple concret de ce qui peut être réalisé localement » poursuit-elle. S. Moroy
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Une initiative de bon goût Fêter la châtaigne et le coing, deux fruits de saison, mais aussi organiser un marché des produits du terroir au château de Jossigny.
Le château de Jossigny offrait un cadre propice à cette première édition de la fête de la châtaigne et du coing.
Telle était, dimanche 16 octobre, l’initiative proposée par le CMN (Centre des monuments nationaux) qui gère le château construit au milieu XVIIIe siècle. Un marché alimentaire des produits seine-et-marnais, avec dégustation de châtaignes grillées, soupe bio, crêpes, compote de coing... Le programme avait de quoi allécher les visiteurs qui sont venus nombreux, encouragés par le soleil.
Crêpe à la farine de châtaigne
Les crêpes à la farine de châtaigne de Franck Nanguy, tout un art pour le plaisir du palais.
Peu d’entre eux ont résisté aux délicieuses crêpes à la farine de châtaigne préparées devant eux par Franck Nanguy. « Les enfants ont la priorité » a dû plusieurs fois prévenir le cuisinier derrière son stand où l’on s’est bousculé. Ses crêpes pouvaient être accompagnées de miel ou de compote de coing. « La recette est très simple. Elle comprend 3 œufs, 200 grammes de farine de blé banche type 65, à laquelle j’ai ajouté 50 grammes de farine de châtaigne. Il y a 65 cl de lait, 10 cl de bière, 35 grammes de beurre doux, 3 grammes de sel et une belle gousse de vanille Bourbon. Il faut laisser reposer au moins trois heures car la préparation est très liquide et il est nécessaire de laisser aux grains d’amidon le temps de gonfler pour obtenir une belle pâte » détaille Franck.
L’art est naturel
Dehors, une table couverte de légumes d’automne variés. « Notre but est de sensibiliser tous les publics à l’environnement et à la nature, mais par l’art. Nous mettons en scène des légumes et fruits de saison allant de la courge au poireau, en passant par la carotte au poivron. Tous ces produits sont issus du territoire. Nous proposerons ensuite aux visiteurs un atelier pour réaliser une sculpture en argile, en s’inspirant des formes exposées » explique Barbara Blossfeld, présidente de La paume de terre, association créée en 2005 et basée à Lognes.
Tous à la soupe
Outre la châtaigne et le coing, les légumes d’automne étaient également à l’honneur.
Véronique vérifie la cuisson de la soupe au fenouil, pommes de terre, carottes.
Distribution de bols aux visiteurs qui font la queue pour goûter la soupe bio 0 déchets.
Des légumes fournis par Biocoop ont permis de faire une soupe qui a été distribuée aux visiteurs. « Nous avons récupéré des légumes et allons préparer deux soupes. La soupe pop, c’est un peu la marque de fabrique de notre association qui entend lutter contre le gaspillage alimentaire » renchérit Barbara. « C’est un potage à base de fenouil, pommes de terre, carottes, ail, sel et poivre. On a ajouté deux ou trois betteraves pour colorer un peu. C’est une grande première » complète Véronique Gaillard. « Je trouve qu’elle est bonne. En plus, ce sont des légumes bio » commente Monique, venue de Champs-sur-Marne avec Jérôme, son époux. Françoise, amie de Monique, remarque « qu’elle est faite avec de meilleurs légumes que ceux que l’on trouve dans le commerce ». Jérôme s’avère être un juge impartial puisqu’il n’apprécie pas spécialement la soupe. « J’avoue que celle-ci a un certain fumet. C’est agréable et l’on sent bien le goût des légumes ». La seconde soupe était à base de courge-banane, une ancienne cucurbitacée méconnue qui a été fournie par une maraîchère de Lesches. Pour celle-ci aussi, les visiteurs ont fait la queue pour la déguster.
Le stand de Karen Jovené, productrice de safran à Donnemarie-Dontilly.
Apprécier les saveurs du radis noir et du radis rouge, avec un brin de sel.
Le miel de Jossigny
Rémi et Nicolas Martin, apiculteurs par passion.
Rémi et Nicolas Martin, 30 et 32 ans, sont deux frères apiculteurs récoltants à Lagny-sur-Marne. Ils gèrent les cinq ruches du parc de Jossigny et vendaient le miel récolté, soit une centaine de kilos. « Il y a un miel d’été et un miel de forêt, un peu plus corsé, provenant des châtaigniers du parc du château » précise Rémy.
Le miel de Jossigny récolté par les frères Martin était proposé à la vente.
Leur miel a obtenu le label Cervia Paris Ile-de-France, une garantie de proximité pour les restaurateurs franciliens. « Notre grand-père avait des ruches dans un verger à Thorigny-sur-Marne. Il les avait installées pour éviter qu’on lui vole ses noix et ses pommes et, enfants, nous étions fascinés. Aujourd’hui, nous avons une cinquantaine de ruches et c’est une activité que l’on pratique depuis six ans, en plus de nos métiers respectifs » explique Rémi.
Des pommes, des poires et du goût.
Le stand des croqueurs de pommes a connu un vif succès durant toute la journée de dimanche.
Du miel de Jossigny, mais aussi des pommes grâce à l’association des croqueurs de pommes Brie-Gâtinais qui présentait sur son stand plusieurs variétés (Nationale, Jubilé, Barré à grappes ou Mauperthuis, Melrose, Fleuritard), mais aussi des poires (Louise-Bonne, Passe-crassane, Jeanne-d’Arc, Comtesse de Paris). « L’association dénombre 8000 membres répartis dans 65 sections locales. La nôtre a été créée en 1988 et compte 160 adhérents. La production intensive, imposée par la grande distribution, limite le choix à quelques variétés de fruits. Or, dans nos campagnes seine-et-marnaises, il y a des centaines de pommiers, poiriers et pruniers. C’est une richesse, dont on n’a pas conscience » souligne Pascal Papelard, son président.
Le vin de Marne-et-Gondoire
Le stand des vignerons des coteaux de la Brosse était tenu par Franck Panigada et Régis Guérin.
Franck propose la dégustation d’un vin rouge cuvée 2015 qui a macéré cinq jours. Les tanins ont pratiquement fondu suite au procédé de décantation.
« Nous sommes une association de Marne-et-Gondoire et la vigne se situe à Bussy-Saint-Georges. On s’est basé sur le plateau géologique de la Marne et de la Champagne. Il s’agit d’une production artisanale qui comprend 2000 pieds de vigne. C’est un cépage deux-tiers Chardonnay (blanc) et un tiers Pinot noir (rouge) » explique Franck Panigada, président-fondateur des Coteaux de la Brosse. Créée en 2002, l’association compte aujourd’hui 65 adhérents. « Dans le rouge, on a des fortunes un peu diverses car la météo n’a pas été très clémente. En revanche, le blanc a beaucoup de caractéristiques du Chardonnay et l’on en est très satisfait de la cuvée 2015 que l’on a mise en fût de chêne » poursuit Franck. Les viticulteurs amateurs procèdent à toutes les étapes de fabrication, sauf la mise en bouchon qui s’effectue à la coopérative d’Epernay (Marne) par manque d’équipement approprié.
L’initiative du Centre des monuments nationaux mettait à l’honneur les produits et savoir-faire des commerçants locaux.
Belle affluence également devant les produits Ganot, la plus ancienne fromagerie de la Brie, à Jouarre.
La prochaine manifestation organisée par La paume de terre, avec le concours de Trois moulins-habitat, bailleur social, sera la première édition de la fête de l’orange. Elle se déroulera samedi 22 octobre à 12 h au carré de la Biche, dans la résidence des deux parcs à Noisiel. Au programme, et toujours sous le signe de la récupération et des savoir-faire : préparation de soupes, jeux, réparation de vélos, grafitéria (échange de produits et services gratuits), atelier couture et poterie jardinage. S. Moroy
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Grâce aux pièges, aux traitements au Bacillus thuringiensis (Bt), nous menons un combat permanent contre la pyrale du buis. Pour une lutte encore plus efficace essayons les Trichogrammes.
Ce sont des micro-hyménoptères (< 1 mm) parasitoïdes d’œufs: La femelle pond ses oeufs dans ceux du ravageur, ce qui les détruit et empêche la naissance des chenilles. Ils s’attaquent aux oeufs de pyrale du buis (Cydalima perspectalis), papillon responsable de la destruction des buis .
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Cette année, Villevaudé...demain, association de défense de l’environnement, a innové en lançant, samedi 3 septembre, un concours de confitures amateur. Nombreux ont été ceux qui ont envié les jurés.
Concours de confiture
Les jurés du concours meilleure confiture amateur : Jacques Cocquelet, Valérie Bureau, Sylvie Gilardin et Caroline Léger.
Les 3 confitures retenues. De gauche à droite les pots n° 10 (fruits rouges mélangés), n° 15 (catégorie création) et n° 2 (fruits de saison).
Pascal Pian, maire de Villevaudé, ne peut résister à la tentation de goûter les confitures sélectionnées par le jury.
Seize pots ont été déposés dans la matinée. Les quatre jurés ont mis du temps à départager les lauréats des trois catégories retenues : création, fruits rouges mélangés, fruits de saison. L’aspect, l’odeur, la flaveur (odeur et goût d’un aliment), la texture en bouche, ont été leurs critères d’évaluation. Pour préserver l’anonymat des candidats, les pots étaient numérotés.
Maïssa, 14 ans, gagnante de la meilleure confiture dans la catégorie création, va recevoir son prix des mains de Valérie Bureau.
Ce sont les pots n° 15 de Maïssa Chebourou, confiture à base de fraise et de mangue (catégorie création), n° 10 (catégorie fruits rouges mélangés) de Corinne Bernard et n° 2, confiture à base de prunes cupolet (catégorie fruits de saison) d'Annie Delavier, qui ont été finalement sélectionnés. Annie Delavier a reçu un bon d’achat de 30 euros à la serre de Montjay-la-Tour et les deux autres participantes un bon de 20 euros.
L’idée prend racine
Une bourse aux plantes était également initiée par l’association Villevaudé… Demain. « C’est notre 5e bourse aux plantes. Le principe est très simple. Il s’agit d’échanger des conseils, des plantes, des graines, des boutures et des astuces. Il y a aussi un marché artisanal avec du miel, des fromages de chèvre, de l’huile d’olive, de la bière du grand Morin, du jus de pomme et cidre briard » précise Marie-Françoise Pian, la présidente.
Son association se mobilisera dans le cadre de la semaine européenne de la réduction des déchets qui aura lieu du 19 au 27 novembre. « Nous renouvellerons l’opération d'adopter des poules, lancée en 2014 avec la Communauté de communes Plaines et Monts de France, qui propose gratuitement deux poules par foyer. Il y aura aussi une distribution de compost par le SMITOM ». Elle rappelle qu’une poule peut manger jusqu’à 150 kg de déchets organiques par an et pondre 200 œufs dans le même temps.
Echange de graines de cucurbitacées, passiflore, encolie, aloe-vera, volubilis, rose trémière. Et parmi les plantes : sauge, plantes grasses, iris jaune et violet, anémone chinoise…
Franck Foucher, Villevaudéen de 25 ans, exerce le métier d’apiculteur depuis 5 ans. Il possède plus d’une centaine de ruches.
Exposition de cidre et jus de pomme de la récolte de Bruno Barré, producteur à Coulommes (près de Meaux).
Christophe Malizia fait déguster sa bière Grand-Morin, produit 100 % terroir qu’il brasse depuis juin 2014 à Dammartin-sur-Tigeaux. Il a reçu fin 2015 le prix de la créativité (Seine-et-Marne éco-attitude), décerné par la CCI du 77.
L’association Seine-et-Marne environnement sensibilisait les visiteurs au travers d’une exposition sur le jardinage au naturel.
Des pinceaux et des bidons
Devant la salle des Merisiers, des bidons métalliques attendaient les enfants. Ils ont pu donner libre cours à leur inspiration en peignant les grands bidons qui, installés sur les chemins de la commune, serviront de poubelles. « Il faut aussi faire le tri et éviter de gaspiller les feuilles car, pour les fabriquer, on coupe les arbres » glisse Auriane, 8 ans. Se sentant subitement une âme de peintre, quelques parents n’ont pas hésité à prendre, eux aussi, un pinceau.
Associativement vôtre
Dans la salle des Merisiers, une dizaine de stands a accueilli les visiteurs. Randonnées avec l’association De la Dhuys à l’Ourcq, bien-être et détente avec la pratique du tai-chi-chuan et les disciplines proposées par la FRAV (Familles rurales à Villevaudé) qui embrassent le judo, l’aïkido, les arts plastiques, le baby-gym, la danse (contemporaine, break danse, hip-hop) et le fitness.
On s'inscrit à la zumba avec l'association Loisirs Jeunes
La bibliothèque de la Roseraie
L'Atelier Créatif
La FRAV
Démonstration de danse contemporaine de la classe enfants, dirigée par Solena Cheny.
Exploitation du gypse sur la commune
La carrière de Le Pin-Villeparisis alimente en gypse l’usine Placoplatre de Vaujours, premier site mondial de l’industrie plâtrière. Exploitée sur le secteur de Bois-le-Comte, ses réserves s’épuisent. Placoplatre souhaite exploiter en carrière à ciel ouvert les secteurs du Bois Gratuel et des Mazarins, situés à l’est de la carrière actuelle, donc sur Villevaudé. « Les effets néfastes de l’exploitation par tirs de mine, les risques de mouvement de terrain et les incidences sur les milieux naturels n’ont pas été retenus par l’autorité environnementale lors des deux précédentes enquêtes. Elle considère qu’il n’y a pas d’incidences notables sur l’environnement et la santé humaine » regrette Marie-Françoise Pian. Aussi, invite-t-elle les habitants à exprimer leurs avis dans le registre d’enquête publique, tenu en mairie de Villevaudé jusqu’au samedi 1er octobre, sur la mise en conformité du POS (Plan d’occupation des sols) avec le PIG (Plan d’intérêt général) pour exploiter les bois de Gratuel et des Mazarins. S.Moroy
Promenade avec Mathilde dans le parc aux papillons de la Prée, à Claye Souilly.
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Un salon qui fleure bon le terroir
Malgré une météo aléatoire et la concurrence de la fête des mères, le 6e salon Terre de Brie organisé par la municipalité au parc Papillon de la Prée, a connu un beau succès. Un millier de visiteurs a visité le marché artisanal et participé aux diverses animations proposées durant le week-end du 28 mai.
Renée derrière son tour à bois
Une occasion idéale pour découvrir le parc communal de 37 hectares situé derrière le centre commercial Carrefour. Un petit train assurait la navette depuis l’entrée jusqu’au plateau supérieur où avait lieu l’évènement. « Cette année, nous avons 20 exposants. C’est un peu plus que l’an dernier. Je regrette toutefois qu’il n’y ait pas plus de commerces de bouche » remarque Jean-Luc Servières, premier adjoint au maire chargé du développement durable et du logement
Brasseur du Grand Morin
Christophe Malizia, ancien informaticien, faisait déguster sa bière Grand-Morin, produit 100 % terroir qu’il brasse depuis juin 2014 à Dammartin-sur-Tigeaux. « Mon but est de proposer des produits bio de qualité sur un marché local en favorisant les circuits courts. Ce sont des bières peu amères, avec ou sans alcool. Il n’y a que de l’eau, du malt d’orge et de froment, du houblon et de la levure. J’ajoute une pincée de sucre avant la mise en bouteille pour réactiver les levures et donner ainsi du pétillant, ce qui provoque des bulles très fines et un léger dépôt ». Christophe a reçu en décembre le prix de la créativité (Seine-et-Marne éco-attitude), décerné par la CCI de Seine-et-Marne.
Concentration pour Jean-Luc Servières, 1er adjoint au maire, sur le stand de tir tenu par la 1èrecompagnie d’arc de Souilly (créée en 1820).
Une secrétaire qui aime le bois
Le stand de René Eberhardt, venue de Rosny-sous-Bois, a suscité la curiosité. Elle proposait de jolis petits objets en dentelle de fuseau, papier et même en bois (laurier, buis, noyer, frêne, fruitier), décoratifs ou utilitaires. « C’est la deuxième année que je participe au salon. Ma passion, c’est le tournage du bois. J’ai toujours aimé le travailler, dégrossir des morceaux de bois brut sur mon tour pour créer de petits objets » confie Renée dont le vrai métier est secrétaire de bureau.
Nala et Alice, les deux nouvelles pensionnaires du parc
Cent pensionnaires à la ferme
Mais c’est surtout la ferme pédagogique qui a enthousiasmé les plus jeunes. Sa directrice, Claire Wicktorowska, à l’origine de sa création en mai 2011, date d’ouverture du parc, a entrepris avec ses bénévoles de tailler les onglons et tondre à l'ancienne la laine de ses moutons d’Ouessant. La laine sera utilisée pour un atelier pédagogique avec les enfants. Petits et grands ont pu déambuler librement dans la ferme, caressant à qui mieux-mieux, vaches, ânes, chevaux, poneys, chèvres et lapins. La ferme compte une centaine de pensionnaires, dont les plus récents sont Nala et Alice, deux petites femelles lamas âgées de 6 mois.
Le border collie au travail
Des membres de l’ABCT (Amicale du border collie au troupeau) effectuaient des démonstrations de chiens avec troupeaux d’oies et moutons. « Le border collie est la seule race en France sélectionnée sur une épreuve de travail et non sur la beauté. Elle se fera sur moutons ou sur bovins. Si le chien présente l'instinct du troupeau et les aptitudes naturelles du travail, le juge le confirmera LOF (Livre des origines français) » explique Yvette, membre de l’ABCT venue de la Manche avec son chien Perfect-Mel, 8 ans et demi.
Au sommet du parc, l’apiculteur Michel Dudognon parmi ses ruches qu’il a repeintes
Neuf ruches actives
Discrètes mais néanmoins laborieuses, les abeilles étaient également à l’honneur. « Nous avons récolté du miel de colza au printemps. Nous avons mis les hausses dans les ruches pour la deuxième récolte qui aura lieu fin juillet, début août, selon la météo » explique à ses visiteurs Michel Dudognon, le nouvel apiculteur du site. Neuf ruches sont installées au sommet du parc, soit à une altitude de 89 mètres.
Cet été, la ferme pédagogique renouvellera ses stages de petits fermiers. A partir de 6 ans, ils soigneront les animaux, accompliront des petits travaux d’entretien et de jardinage. Les stages se dérouleront sur 4 jours (lundi, mardi, jeudi et vendredi) et les inscriptions débuteront bientôt.
Plus d’infos au 06 12 51 41 15 Serge Moroy
Vidéo: Le troupeau d'oies s'est séparé. La tâche de Perfec-Mel consiste à le rassembler puis le faire rentrer dans son enclos.
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La 4e bourse aux plantes organisée par l’association Villevaudé… Demain, avec le concours de la municipalité, a eu lieu dimanche 22 mai… malgré la pluie.
L’embarras du choix pour les visiteurs qui ont pris la peine de venir malgré une météo défavorable
Et ils sont tout de même quelques-uns à être venus exposer leurs graines, plantes et fleurs sur l’esplanade du parc de la Roseraie.
Distribution de branches de seringa avec conseils pour les bouturer
Marie-Françoise Pian, présidente de l’association organisatrice, explique à une visiteuse ce qu’est une bourse d’échanges. « Vous prenez ce que vous voulez, le principe étant d’apporter ou de donner quelque chose en contrepartie ».
La serre de Montjay-la-tour exposait ses nombreuses variétés de plantes d’ornement et fleurs de massifs. « Elle nous accompagne depuis le début et soutient notre action en nous reversant une partie de ses bénéfices. Notre association, créée en octobre 2004, a pour but de protéger, mettre en valeur et défendre notre environnement sur Villevaudé et ses environs. Nos actions concourent à la sensibilisation, au respect et à la protection de notre capital vert, notre bien le plus précieux » poursuit la présidente.
Arbre à miel et crottins de chèvre
Les petits conseils vont souvent de pair avec la distribution des boutures.
Jacques et son arbre à miel.
Jacques Cocquelet, venu d’Annet-sur-Marne, a la main verte et propose du buis, des pousses de saule tortueux (salix), de la menthe marocaine et un arbre à croissance rapide plutôt rare : le Tetradium Danielli ou arbre à abeilles. « C’est un arbre très prisé des apiculteurs car il attire les abeilles. Comparée aux autres plantes, sa valeur en sucre est très importante. Elle est due à l’énorme quantité de fleurs qu’il produit ».
Outre ses crottins de chèvre, Bruno proposait de l’huile d’olive raffinée à 0.2, faible indice donc grande pureté.
Bruno Traina proposait pour sa part des crottins de chèvre au lait cru provenant des Alpes de Haute-Provence. « Avant j’habitais là-bas. Maintenant je réside à La Pierre-Levée, mais j’ai gardé le contact avec une ferme qui élève une centaine de bêtes et qui m’a demandé de vendre ses produits dans le 77 ».
Un concours de confiture
Lors de sa prochaine bourse aux plantes, samedi 3 septembre, Villevaudé... Demain organisera un concours de la meilleure confiture amateur. Pour participer, il suffira de déposer son pot avant 12 h 30 au stand de l’association situé salle des Merisiers. Le jury, composé de quelques visiteurs, proclamera le résultat à 16 h 30. Le gagnant recevra un bon d’achat de la Serre de Montjay-la-Tour.
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Mercredi 23 mars: Troisième volet de l'étude que l'association Villevaudé... demain et Seine et Marne Environnement nous invitent à mener sur une période à long terme, l'objectif étant de nous sensibiliser aux bienfaits et à la valeur des zones humides, aujourd'hui menacées. La préservation de ce patrimoine naturel représente des enjeux environnementaux, économiques et sociaux importants.
La journée du 30 janvier nous avait fait découvrir l'origine, l'intérêt, le rôle important que les zones humides jouent dans la préservation de nos écosystèmes, les menaces qu'elles subissent.
Le 12 mars, Chloé Chabert nous emmenait sur les berges de trois mares de Montjay-la-Tour, (la mare du parc de la Roseraie, la mare neuve et la mare Baunay) pour une étude sur la caractérisation de nos mares.
Mercredi 23 mars, une troisième journée particulièrement riche en apprentissages et en découverte avec Chloé Chabert et Charlie Darenne... un constat très encourageant à la clé.... grand nombre de tritons crêtés, tritons ponctués, grenouilles agiles, crapauds colonisent nos mares.
Quelques photos
Tritons crêtés mâles et femelles
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Nous sensibiliser aux bienfaits et à la valeur des zones humides...C'est le deuxième volet de l' étude que l'association Villevaudé... demain nous invite à mener sur une période à long terme. Faisant suite à la journée du 30 janvier, cette formation sur la caractérisation de nos mares a été effectuée sur le terrain, sous la conduite de Chloé Chabert de Seine et marne environnement
L’observation de trois mares de Montjay-la-Tour a permis au groupe de participants de définir ce qui les caractérise, le type de mare, l’alimentation, l’état de conservation, les dangers qui les menacent, la configuration de leurs berges, le recouvrement herbacé de leur surface, la présence de déchets anthropiques, leur usage…. Par ailleurs il a été nécessaire de se familiariser avec un vocabulaire spécifique, « l’atterrissement, l’écrémage, le faucardage, les hélophytes, les hydrophytes, les déchets anthropiques »….
La mare neuve à Montjay-la-Tour apparait en mauvais état de conservation... le phénomène de comblement naturel est un facteur important qui la menace.
Qui donc vient troubler ma tranquillité en cette belle journée ensoleillée.... pense cette cane colvert.... son compagnon n'est pas loin..
La mare neuve est une mare d'habitation, autrefois utilisée pour les animaux et alimentée par une buse venant du bois (actuellement hors d'usage)
La mare du parc de la Roseraie a été réhabilitée en 2015 par la municipalité. Les berges en pente douce permettront à la végétation de s'implanter. c'est une mare ornementale, alimentée naturellement.
En un premier temps, la mare avait été sécurisée en raison du danger que représentait la pente des berges. Ces dernières années les adhérents de deux associations, la Dhuys à l'Ourcq et villevaudé...demain ont consacré une journée chaque année pour nettoyer la mare et ses abords.
La mare Baunay, aux abords des tennis, présente les caractéristiques d'une mare de forêt, aux pentes raides. On note la présence de végétaux, bois branches, arbres morts...
La mare Baunay il y a un siècle... L'absence d'habitations permet d'apercevoir la mairie de Montjay
A bientôt pour la prochaine journée de découverte d'une de nos mares..
Simultanément, la DDO était présente sur l'opération DEFI77 pour l'environnement 1000km d'accotements nettoyés...
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Cette carte affichée à la bibliothèque, situe d'après un plan de 1843 la plupart des mares, rus et puits de Villevaudé. Cette année, la commune de Villevaudé, Seine et Marne Environnement et et l'association Villevaudé...demain se sont associés à la commémoration de la « Convention de Ramsar » ceci dans le but de faire connaître les zones humides, leur origine, en apprécier leur intérêt, le rôle important qu’elles jouent dans la préservation de nos écosystèmes, les menaces qu'elles subissent.
Les mares sont considérées comme des zones humides au titre de la loi sur l'eau du 3 janvier 1992.
Faisant suite à la conférence débat du Samedi 30 janvier animée par Chloé Chabert, nous assisterons le samedi 12 mars à une seconde journée de sensibilisation, nous partirons à la découverte d’une mare de notre patrimoine naturel.
Irons-nous étudier les bienfaits de la mare aux sangsues? du ru morte mère? du trou au loup? de la mare à Denis? de la mare banane? de la mare neuve? Il faut dire que les noms bien insolites devraient nous inciter à en savoir plus.. d'autant que la météo nous sera favorable....
Alors rendez-vous en mairie de Villevaudé samedi 12 mars à 14h
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L’association Villevaudé… Demain a organisé sa 3e bourse aux plantes, samedi, avec le concours de la municipalité.
Dans le parc de la Roseraie, outre le stand de la serre de Montjay-la-Tour, les visiteurs ont découvert des bulbes de dahlia, rhizomes d’iris, bégonias, fraisiers, groseilliers, géraniums, ainsi que des plantes à bouturer, offerts par les adhérents de l’association.
Du miel de Villevaudé, mais aussi des pommes grâce à l’association des croqueurs de pommes Brie-Gâtinais qui étalait une trentaine de variétés anciennes : Akane, Colapuy, Rambour d’automne, Farot, Belle-Joséphine de Brie, Judeline, Hochet (ainsi nommée à cause des pépins qui remuent quand le fruit est mûr), etc. « L’association compte 8000 membres répartis dans 65 sections locales. La nôtre a été créée en 1988 et compte 160 adhérents. La production intensive, imposée par la grande distribution, limite le choix à quelques variétés de fruits. Or, dans nos campagnes seine-et-marnaises, il y a des centaines de pommiers, poiriers et pruniers. C’est une richesse, dont on n’a pas conscience » explique Pascal Papelard, son président.
Une benne de 20 m3 de compost venu de Monthyon (SMITOM) était posée à l’entrée du parc. « Le compost est un fertilisant. 10 kg de compost valent 100 kg de fumier. Si au printemps, on l’utilise comme engrais organique ; à l’automne, on l’utilisera plutôt pour amender la terre » précise Jérôme Papegaye, ambassadeur de tri à l’agglo Plaines et Monts de France. Il proposait également un composteur gratuit, moyennant une petite formation dispensée ultérieurement.
L’aménagement d’un hôtel à insectes a connu un vif succès auprès des enfants. « C’est un habitat destiné aux insectes, comme les coccinelle, perce-oreille, syrphe, carabe, abeille solitaire, pour qu’ils puissent passer l’hiver au chaud, dans des petits endroits où ils seront protégés des prédateurs. J’ai construit la maison, maintenant vous allez y mettre tous les meubles : briques, parpaings, pommes de pins, paille, morceaux de bambous… Autant d’abris pour les futurs pensionnaires » a expliqué Gilbert Mazoyer. C’était son 2e hôtel à insectes et sa construction lui a pris une semaine de travail. Durant la dernière semaine de novembre, l’association Villevaudé… Demain participera à la semaine européenne de la réduction des déchets.
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Vivre autrement pour le climat
A l’approche de la conférence pour le climat (COP21), Vivre autrement en Marne et Gondoire, collectif fondé en 2012 et œuvrant pour une transition citoyenne, a organisé, samedi 26 septembre, le premier village Alternatiba. Il s’agissait de démontrer qu’il est possible d’enrayer le réchauffement climatique en modifiant notre mode de vie.
Une kyrielle de stands étaient dressés square Paul-Tessier, sur le parking des déportés et dans le parc Foucher-de-Careil. Au programme, déplacements doux, consommation responsable, éco-construction, agriculture et alimentation, partage et solidarité, recyclage, conférences et débats, qualité de l’air et de l’eau. « Il y a déjà eu des initiatives en faveur de l’écologie, mais encore jamais aucune de cette ampleur à Lagny » constate Philippe Barbier, conseiller municipal. Il tenait un stand de sensibilisation sur les effets néfastes des pesticides pour l’eau, une ressource naturelle et essentielle, appelée à s’épuiser. Les visiteurs, très nombreux car encouragés par le soleil, ont eu l’embarras du choix devant les solutions alternatives et produits bio, tandis que les enfants participaient à des ateliers ou des jeux collectifs.
Anne-Sophie Brunet, paysagiste éco-jardinière à Thorigny, a connu un vif succès avec ses plantes bouturées à l’étouffé, qu’elle distribuait avec sourires et conseils.
Square Paul-Tessier, un petit groupe s’initie au Yoga, parmi les nombreuses démonstrations consacrées au bien-être corporel (Zumba, TaÏ chi chuan, Qui Gong, etc.). L’utilisation du bambou dans l’habitat (toiture, charpente, mur et sol, mobilier) et celle du chanvre, ont également suscité une vive curiosité. Le chanvre constitue un excellent isolant naturel (comble, mur, plancher) et peut aussi servir pour la décoration. Créée en janvier 2009 et domiciliée à Jouarre, l’association Planète-Chanvre regroupe 11 agriculteurs seine-et-marnais qui ont décidé de cultiver le chanvre industriel. A son stand, on explique l’usage horticole et maraîcher du paillis de chanvre, produit près de Coulommiers. « Désherber et griffer votre sol. Faites une couche de 3 à 5 cm de paillis aux pieds de vos fraisiers, tomates, cucurbitacées. Arroser pour obtenir une croûte qui tienne bien au vent. Le paillage ne glissera pas et restera en place. Il évite le désherbage chimique, facilite l’entretien du terrain, protège de la chaleur et du gel et n’acidifie pas le sol ». S. Moroy
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