16 rue Charles de Gaulle, Montjay la Tour 77410 Villevaudé
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Construit de 1703 à 1708 , à la demande du financier de Louis XIV Paul Poisson de Bourvallais, le château de Champs-sur-Marne accueille d'illustres locataires : la princesse de Conti, les ducs de La Vallière, la marquise de Pompadour au XVIIIe siècle, et des hommes de lettres tels que Diderot , Voltaire, Chateaubriand et Proust.
En 1895, le banquier Louis Cahen d'Anvers achète le domaine et Charles Cahen d’Anvers, son fils donne le château à l’Etat en 1935, date à laquelle le château devient une résidence officielle de la Présidence de la République. Dès 1959, des chefs d'Etat étrangers y séjournent, sur l'invitation du général de Gaulle.
Les jardins labellisés "remarquables" de 85 ha sont inspirés de Le Nôtre, dessinés vers 1710 par Desgot,...
Nous étions 7 pour braver les giboulées de ce mois de mars. Une petite balade culturelle et poétique dans le parc du château de Champs sur Marne .
25 février, de Villevaudé à Claye Souilly
La mare neuve
En cette période de pics de pollution , nous avons voulu limiter les émissions de particules fines et de CO2 en ne prenant pas nos véhicules . Nous sommes donc partis de Villevaudé pour une grande boucle de 10 km . Nous avons donc suivi l'allée de la mare neuve , comme d'habitude ,pour rejoindre l'allée des Favrieux : mais arrivés au bout , nous nous sommes fait tancer par la propriétaire des écuries car nous passions sur une propriété privée ... En effet , il y a maintenant un panneau devant la barrière , du côté des Favrieux , mais pas dans l'autre sens .... comme le bois est également privé , par où peut-on passer ?
Bref , nous avons fait un crochet par l'éco-quartier du bois des Granges afin de voir l'évolution et nous avons rejoint la Dhuis. Le circuit était un peu long et le passage pour remonter sur la Dhuis assez délicat
Un après-midi ensoleillé pour une boucle de 7 km au départ du parc de la Haute Ile .
Une halte habituelle à l'écluse , puis retour par les bords de Marne.
11 février : Chanteloup
Un bon groupe de 12 marcheurs pour ce circuit au départ de Chanteloup . Un début d'après -midi maussade puis de belles éclaircies . Et surtout : les perce-neige qui fleurissent dans le parc des cèdres : c'est bientôt le printemps !!!
7 février: Base de Vaires-sur-Marne.
Les travaux ont bien avancé sur la base de Vaires-sur-Marne. On peut maintenant refaire le tour du plan d'eau , mais le chemin est très boueux . Vivement le printemps!!
4 février: Parc de Noisiel
Difficile de trouver des chemins praticables en cette saison . Nous avons donc choisi le parc de Noisiel pour la balade . Une partie est actuellement en travaux de réaménagement et les bords de marne en partie fermés depuis des mois en raison de l'affaissement des berges .
21 janvier: de Lesches à Montigny
Souvenir d'un bel après-midi ensoleillé pour faire oublier la neige et le ciel gris .
14 janvier: des sculptures de la Dhuis à l'Ermitage
Un circuit que nous pouvons maintenant effectuer grâce à la passerelle sur la Marne . Un peu court cependant et un passage toujours épineux à la descente de la voie ferrée.
C'est au château du Poitou qu'avait été projetée la 9e rencontre du jeudi 31 janvier 2019: La neige de la veille n'a pas empêché notre groupe de 15 volontaires de répondre à l'invitation des résidents de la maison de retraite SOS Seniors.
Un accueil très chaleureux, exposé des projets de la nouvelle équipe, projets très innovants pour la qualité de vie des villevaudéens, visite des lieux... bureau du médecin, du psychologue, salle balnéo, salle de kinésithérapie, petit espace coiffure où trois résidentes venaient de terminer un brushing pour descendre assister à la conférence de monsieur Lecleuyou, apiculteur amateur à Villeparisis.... Bref, nous étions attendus.
La doyenne de l'établissement, madame Granié, qui fêtera ses 104 ans en juin, nous attendait dans sa chambre. "Fêtera" est un bien grand mot, elle préfère le remplacer par "aura" ... nous confiant que " le handicap, dans cette maison, c'est d'avoir un grand âge et un cerveau".. ajoutant: "comme j'ai horreur de exhibitionnisme, il n'y aura pas de goûter ce jour-là, pas de photo et tout le tra la la"... Néanmoins l'invitation est lancée pour partager le dessert qui sera servi au repas de midi !!
Le loto proposé par l’association Loisirs jeunes (ALJ) a rassemblé samedi 26 janvier 2019 à la salle des Merisiers, deux-cent-vingt joueurs. Selon ses organisateurs, c’était un record, le nombre de participants étant la limite de la capacité imposée par le règlement municipal.
Samedi soir, Yvette Godefroy, présidente de l’ALJ, n’en revenait pas : « On a dû installer des tables supplémentaires et refuser du monde à l’entrée. C’est notre 25e loto et, pour la deuxième année consécutive, les adhérents de l’espace jeunesse nous ont aidés en animant les parties ».
Fini la craie qui crissait sur le grand tableau noir où l’on inscrivait les numéros sortants : Florian, Camilien, Maximilien et Ancelin se sont installés derrière l’ordinateur, dont l’écran était projeté sur scène, tandis que Lucie rappelait brièvement les règles du loto avant de lancer la partie avec Emma.
Mille trois cents euros de lots
Quinze parties d’une ligne, deux lignes et carton plein ont ainsi permis aux joueurs, jeunes et moins jeunes mais tous animés par la même passion, de tenter leur chance. Si la plupart des joueurs étaient de la commune, le bouche à oreille a fait son effet puisque d’autres étaient venus de Pomponne, Lagny-sur-Marne, Chelles, Claye-Souilly, Mitry-Mory, Villeparisis, Le Pin…
Achetés par l’ALJ avec les recettes de l’année dernière, les lots totalisaient une valeur de mille trois cents euros. Parmi les gros lots, figuraient une tablette Samsung, quatre entrées au parc Disneyland Paris et une console Nintendo Switch, accompagnée d’un bon Carrefour de cinquante euros pour acheter des jeux.
« Ça tombe plutôt bien »
Josette, 71 ans, une Clayoise fervente de loto, était venue avec des amis. Une bonne idée puisqu’elle est repartie avec la tablette tactile grâce à son carton plein. « C’est une belle surprise et ça tombe plutôt bien car, justement, la mienne commençait à donner des signes de fatigue et j’envisageais de la changer. Le soir, j’aime bien tricoter devant la télé, mais aussi utiliser ma tablette » confie-t-elle. La console Nintendo a, quant à elle, été remportée par Dorian, un jeune Villevaudéen de 15 ans.
Une collaboration fructueuse
L’ALJ a été créée en 1974. Son but est de permettre aux jeunes de mieux appréhender le milieu associatif du village, en mettant un budget à leur disposition. « Notre loto est devenu une véritable tradition dans le village. Il permet à ses habitants de se retrouver, en famille ou entre amis, dans une ambiance bon enfant » souligne Yvette Godefroy.
De son côté, l’espace jeunesse dénombre cinquante-cinq inscrits. Il s’adresse aux jeunes de 12 à 17 ans de Villevaudé, mais aussi des communes voisines. Les activités ne manquent pas et le voyage pour les vacances de Pâques a déjà été arrêté. « Vingt-cinq jeunes partiront en avril pour un séjour de cinq jours sur la côte atlantique » a précisé Olivier Tétard, son responsable. Serge Moroy
Nous remercions chaleureusement la Serre de Montjay pour le don de deux magnifiques bouquets de fleurs.
Le 8 novembre: Vallée de la Brosse et moulin Russon, étang de la Broce... petit détour par le vignoble
2 décembre: Un aller-retour de Claye Souilly à Fresnes en longeant le canal de l'Ourcq.
Le 18 décembre: Balade au départ du Parc de la Haute Ile, retour par les quais de la Marne. L'écluse est en travaux. Les canards mandarins sont toujours là !!
Cette exposition a rendu hommage aux habitants de Villevaudé partis sur le front.
L’association Loisirs jeunes (ALJ) et la Bibliothèque de la Roseraie ont retracé, année après année, la vie des habitants durant la Grande Guerre dans une exposition inaugurée, samedi 17 novembre, par le maire de Villevaudé et présentée également le dimanche.
Férues d’histoire, Yvette Godefroy, présidente de l’ALJ et vice-présidente de la bibliothèque, et Monique Mazoyer, trésorière de la bibliothèque et membre de la SHCE (Société d’histoire de Claye et de ses environs), sont les deux chevilles ouvrières de l’exposition.
Yvette Godefroy explique : « Notre objectif était de réaliser une rétrospective des années de guerre dans la mesure où nous disposions de documents qui dormaient jusqu’alors dans un grenier de Montjay-la-Tour. Nous avons pu ainsi retracer le parcours d’Edmond Blétry, âgé de 39 ans et adjoint au maire de Villevaudé en 1914. Au travers de son incorporation jusqu’à sa libération, en passant par sa période de captivité en Allemagne, on suit l’évolution de toute une époque, certes troublée, mais extrêmement riche en événements dans tous les domaines : politiques, sociaux, culturels, artistiques et sportifs ».
Partager le souvenir
Le maire, Pascal Pian, a plébiscité le devoir de mémoire, rappelant « combien la paix pouvait être fragile ». La sénatrice Claudine Thomas a insisté sur l’importance de cette exposition car « les combats parmi les plus importants du conflit, dont la bataille de la Marne, se sont déroulés à quelques kilomètres d’ici ». Le député, Rodrigue Kokouendo, a évoqué « une parenthèse respectueuse pour vivre un moment d’émotion, de reconnaissance et d’union avec les célébrations du centenaire de l’armistice de 1918 ».
Du timbre-poste au canon
Lors de l’inauguration, qui a lieu samedi à midi, à la salle des Merisiers, les visiteurs ont pu découvrir les dioramas (maquettes réduites de scènes historiques) de Pierre Delpierre venu de Chartres, des objets d’époque appartenant à des particuliers ou à des musées, dont celui du petit musée Charles-Péguy de Villeroy, des armes et uniformes, une expo sur Bécassine, la célèbre héroïne de bandes dessinée créée avant guerre, et des cartes postales anciennes exposées par le club philatélique de Villeparisis.
Ils ont pu aussi admirer une moto Terrot de 1913, en parfait état de marche car patiemment restaurée par Jacques Gilbert, son propriétaire.
Les panneaux de l’exposition sont visibles à la bibliothèque de la Roseraie, 16 rue Charles-de-Gaulle. Un livret documenté de 76 pages y est également disponible pour 17 euros. L’entrée est gratuite, aux heures habituelles d’ouverture.
Le traditionnel marché de Noël de l’Atelier créatif de Villevaudé aura lieu, samedi 24 et dimanche 25 novembre, à la salle des Merisiers.
Des places sont encore disponibles pour y exposer.
C’est à la présidente de l’Atelier créatif de Villevaudé que revient l’idée d’avoir créé, en 2009, un marché de Noël dans le village. D’origine Alsacienne, Isabelle s’est souvenue des marchés de son enfance, dont le plus célèbre reste sans conteste celui de Strasbourg. « Il s’agit de la dixième édition et il reste encore des places. Le tarif est de 35 euros pour deux jours et 25 euros pour une seule journée. Le stand fait trois mètres, mais il est possible d’avoir un mètre supplémentaire pour dix euros. Les tables et les grilles sont fournies. Les locaux sont sous surveillance et les exposants pourront laisser leur matériel dans la nuit de samedi » détaille-t-elle. Une attestation d’assurance en responsabilité civile est également réclamée aux exposants.
Déguster des spécialités, faire ses achats et du patin à glace
Les visiteurs pourront se restaurer en dégustant des flammeküeches (tartes flambées alsaciennes) cuites sur place et bien d’autres spécialités. Outre les œuvres réalisées par les membres de l’atelier créatif, ils auront le choix entre des chocolats fins, vins, gâteaux, mais aussi des bijoux fantaisie, cartes, calendriers de l’Avent, peintures, céramiques, décorations de Noël et vêtements chauds en laine.
Une patinoire synthétique sera dressée sur l’esplanade des Merisiers. Une initiative due à la municipalité, qui perdure depuis 2016 et qui fera le bonheur des amateurs de glisse, jeunes et moins jeunes, débutants ou confirmés.
Une tradition qui remonte à la fin du Moyen Age
La tradition des marchés de Noël remonte à la fin du XVIe siècle. Concentrés à l’origine en Allemagne et en Alsace, ils sont d’abord dénommés « Marché de Saint-Nicolas » par les catholiques et « Marché de l’Enfant-Christ » par les protestants. Histoire de mettre tout le monde d’accord, ils prennent finalement l’appellation de « Marché de Noël ». Trois siècles plus tard, les calendriers de l’Avent apparaissent dans l’Est. Depuis les années 1990 l’importance des marchés de Noël n’a cessé de croître en Europe et rares sont les communes qui, aujourd’hui, n’ont pas le leur.
Samedi 24 novembre, de 11 heures à 19 heures. Dimanche 25 novembre, de 10 heures à 18 heures. Salle des Merisiers, rue Adèle-Claret, Montjay-la-Tour (haut de Villevaudé). Parking attenant. Contacts : [email protected] ou 06 60 82 86 06.
En ce 11 novembre 1918, alors que les armistices ont déjà sonné le 29 septembre à Salonique entre la France et la Bulgarie, le 30 octobre à Moudros entre le Royaume Uni et l’Empire Ottoman, le 3 novembre à Villa Giusti entre l’Italie et l’Autriche Hongrie, Edmond Blétry, adjoint au maire de Villevaudé, appelé au front au début du mois d’août 1914, n’est toujours pas revenu : Sa femme Louise, ses trois enfants Marguerite, Pierre et Simone attendent son retour depuis 4 longues années. Incorporé à Amiens dans le 12e Régiment territorial d’Infanterie, d’abord dirigé vers Morbecque, porté disparu quelques mois après avec 506 autres soldats, il est retrouvé blessé en novembre 1914 à l’hôpital militaire d’Oberhausen en Allemagne.
En mars 1915, il est transféré au camp de Friedrichsfeld où il restera jusqu’à la fin de la guerre, changeant parfois d’adresse, (notamment au camp de Soltau dans le sud de Hambourg), l’Allemagne se servant des prisonniers pour décourager l’opinion publique en France : suspension et censure des correspondances, déménagement dans d’autres baraques et d’autres camps …
Enfin, en janvier 1919, comme la plupart des prisonniers français, Edmond Blétry rentre enfin en France.
Le parcours de ceux qui ont combattu pour Villevaudé constitue la trame de notre exposition, dans une chronologie de grands événements sociaux, culturels, artistiques et sportifs que nous suivons depuis 1914.
Un livret rassemblant l’ensemble de nos recherches est en vente à la bibliothèque.
Sources: Correspondance retrouvée dans le grenier de sa propriété à Montjay-la-Tour (commune de Villevaudé)
Nouveau roman de Jérôme Ferrari, "A son image" (Actes Sud) est une oraison funèbre à la mémoire d'Antonia, ancienne photographe de guerre morte à 38 ans d'un accident de voiture sur une route corse.
C'est l'occasion d'évoquer le nationalisme corse, la violence des guerres modernes et les liens ambigus qu'entretiennent l'image, la photographie, le réel et la mort.
Un des grands livres de cette rentrée, qui s'interroge, avec virtuosité, sur l'impuissance des images à changer nos vies
Né à Paris en 1968, Jérôme Ferrari enseigne la philosophie en Corse.
1e octobre: Une belle journée pour faire découvrir le Parc du Pâtis à Micheline et Jean-Sylvain. Beaucoup d'oiseaux sur les étangs, un circuit qui ravit les yeux.
4 octobre: Les balades se suivent mais ne se ressemblent pas . Nous sommes allés aujourd'hui de Chanteloup en Brie à Conches sur Gondoire. Les travaux dans le parc sont presque terminés et nous avons pu en faire le tour : c'est magnifique ! Dommage , on ne peut toujours pas accéder à la glacière
La visite a commencé par la carrière de Villevaudé près du bois Gratuel (appelée carrière du Pin). Ils ont déjà bien creusé. La terre est retirée en couches successives.. L'extraction du gypse se fera à 30 m en dessous du sol..
Dans le bois Gratuel on peut lire sur les panneaux les modalités de protection de la nature
Si on a pu constater que 3 mares ont été créées, ainsi qu'un merlon pour les grenouilles… on a pu également regretter des réponses moins explicites aux questions posées…
Dans la carrière de Villeparisis qui va bientôt arriver en fin d'exploitation, on aperçoit les arbres plantés en 2006 avec les élèves de l'école Ivan Peychès.
Un apiculteur a offert à chaque visiteur un petit pot de miel de sa dizaine de ruches placées dans la carrière de Villeparisis.
Les photos n'ont pas été autorisées pour la visite de l'usineoù les plaques de placo sont fabriquées (à raison de 1 plaque par seconde) dans un bâtiment de 600m sur une chaine de fabrication de 450m de long...
Nous étions encore 10 ce lundi pour la traditionnelle balade des cyclamens à Lesches . Je voulais garder ce circuit pour le retour d'Annick , mais il ne fallait pas attendre la fin de la saison . Gilbert n'était pas là non plus , il n'aura donc que la photo , mais nous lui gardons Montgé en Goële et le ramassage des châtaignes . Danièle B
Une petite halte à la maison de la nature de Coubron , qui accueille de nouveaux pensionnaires . Nous avons ensuite suivi la Dhuys pour rejoindre la forêt de Bondy.
Les pessimistes prévoyaient la pluie, et bien non , nous n'avons pas pris une goutte...
Lundi 10 septembre, DAMPART
Nous avons repris le circuit au départ des Epinettes à Dampmart pour suivre la Dhuys , puis longer la Marne et revenir par les Vallières. C'est toujours une balade appréciée sous le soleil (sauf pour les moustiques dans les Vallières , qui ont particulièrement attaqué certaines marcheuses) .
Nous accueillons une petite nouvelle , encore une Dominique, de Villeparisis également . Aujourd'hui nous étions donc 11 .
L'agriculteur a dû abandonner les cultures maraîchères cette année , car aucun chou ou betterave dans les champs , il les a remplacés par des céréales. Cela n'a pas empêché Marie-Ange de trouver son bonheur avec les noix et les pommes .
Un circuit sur Villevaudé particulièrement boueux ! Des ornières remplies d'eau , des flaques transformées en mares , où proliféraient les têtards ,des chemins glissants, bref , une vraie galère ! A déconseiller aux VTT , car ils ne peuvent pas , comme nous , faire un détour par le bois.
Le 25 juin à Noisiel
Pour changer un peu de la boue , et profiter de la fraîcheur , nous sommes allés marcher le long de la Marne , à Noisiel . Pas de chance ,
le chemin de halage est interdit aux piétons et aux cyclistes entre les deux passerelles . Il s'est effondré en plusieurs endroits . Nous avons
donc emprunté le chemin parallèle dans le parc de Noisiel . Un seul problème aujourd'hui : les moustiques ! On ne peut pas tout avoir ...
« Soyons reconnaissants aux personnes qui nous donnent du bonheur ; elles sont les charmants jardiniers par qui nos âmes sont fleuries », Marcel Proust
Encore des fleurs pour cette 4e rencontre ... avec un atelier d'art floral offert par le CCAS..
Les habitants âgés de 14 à 17 ans pourront, cet été, percevoir de l’argent de poche moyennant quelques travaux effectués dans la commune d’Émerainville.
Dans le cadre de sa politique en faveur de la jeunesse, et conformément aux directives de l’Acsé (Agence nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des chances), la municipalité va permettre à ses jeunes administrés de percevoir de l’argent de poche durant l’été. Les missions qui leur seront confiées n’excéderont pas trois heures par jour et ils seront encadrés par des professionnels. De même, la gratification s’élèvera à 75 euros par semaine.
Un franc succès
Plus de cinquante jeunes Emerainvillois ont ainsi présenté leurs candidatures pour effectuer quelques petits travaux dans la commune. Alain Kelyor, le maire, explique : « Pour la première fois dans notre département, et en totale conformité avec les textes législatifs, Emerainville a choisi de donner la priorité aux jeunes de 14 à 17 ans car, à cet âge, il leur est quasiment impossible de travailler pour se faire un peu d’argent de poche ».
Une réunion d’information s’est tenue, mercredi 20 juin, en mairie. Alain Kelyor la résume : « Elle nous a confortés dans ce choix pédagogique et nous incite d’ores et déjà à réfléchir à son extension à d’autres périodes de vacances scolaires, comme celles de la Toussaint et de Pâques ».
Pour juillet, la mairie a déjà recruté 39 jeunes, soit la quasi-totalité des candidatures reçues pour le mois. Les autres candidatures seront prioritaires pour la prochaine période.
Plus qu’un job d’été, une mission d’intérêt public
Les jeunes vont œuvrer dans différents services, tels les services techniques, centres de loisirs, le service des sports, les crèches ou encore dans les bureaux. « Nous avons tenu à respecter au maximum leurs souhaits, particulièrement ceux qui ont déjà un projet d’études ou professionnel. Contrairement à un stage en entreprise, nous ne les acceptons pas pour leur faire plaisir, mais bien pour accomplir une mission d’utilité publique » souligne Jean-Marc Antrop, directeur des affaires culturelles, sportives et de la jeunesse.
Une cérémonie pour la signature des pactes d’engagement entre les jeunes et la commune se tiendra jeudi 28 juin, à 19 heures, à la mairie. « L’opération est unique dans le département et, ma connaissance, nous ne sommes que deux, avec Puteaux, commune dans les Hauts-de-Seines, à l’avoir mise en place » observe Jean-Marc Antrop. Serge Moroy
Nous pourrons ajouter Villevaudé en Seine et Marne....
Si vous cliquez sur ce lien, vous pourrez découvrir que l'association Loisirs jeunes avait mis en place le premier chantier jeunes pendant l'été 2008
Le samedi 15 mai 2010, la salle des Merisiers vibrait au son des musiques afro-cubaines.. Notre partenariat avec l'association Latin Event aura duré 8 ans... il s'est achevé hier soir dans la même ambiance de rythmes endiablés et de bonne humeur avec notre Sissi et Wassily !!! Pas de regrets...les fidèles du premier jour suivront... Sissi n'est pas loin, établie à Grisy-Suisnes ... Nous gardons le contact.
Il avait 96 ans... le professeur, le sportif, l'érudit, le militaire, le danseur, l'artiste, l'écrivain, l'ami, le prêtre ... Père Verger laissera une trace indélébile dans notre paroisse.
Il arriva en 2003, au service des paroisses de Villevaudé, Bois Fleuri et Le Pin.
Ami de Guy Gilbert, le prêtre des Loubards avec qui il organisa deux messes à Villevaudé et Le Pin
Successivement professeur, aumônier d’action catholique, directeur de Maison des Jeunes, Georges Verger fut pendant dix ans responsable d’une chapelle, à paris 8e, puis aumônier de l’Armée de l’Air : onze ans au centre d’essais en Vol et sur la base aérienne 217 de Brétigny- sur-Orge, aumônier de l’Hôpital d’Instruction des Armées Legouest de Metz et de l’Association Notre dame des Ailes qui s’adresse à tout le personnel de l’Aéronautique et de l’Espace.
Passionné de montagne et d’aviation, il devint à 86 ans, le parachutiste le plus âgé de France en réalisant en avril 2009 un saut en parachute de 3 500 mètres!!! (Photo Journal La Marne)
Lors des Journées du Patrimoine de septembre 2011 organisées par l'association CIV Festivil, on découvrit ses talents d’artiste et d’écrivain : les pages calligraphiées, les magnifiques enluminures stupéfièrent les visiteurs.
Sa présence à nos diverses manifestations, Téléthon, exposition, soirées… montre son intérêt à notre village et aux villevaudéens. ici, à une soirée Téléthon..
En 2005, baptême de Simon...
Le 22 mai 2010, présent avec l'association Villevaudé ...demain à l'inauguration du terrain du Grimpet, il déclarait qu’il " ne souhaitait que de bonnes choses pour cet endroit plein de vies "
Ces temps-ci nous recherchons surtout la fraîcheur des sous-bois et la proximité de l'eau . Nous sommes allées de Lagny à Chessy en suivant les bords de Marne et nous nous sommes arrêtées aux sculptures de la Dhuis
Les travaux de la passerelle ont repris et le chantier devrait être terminé pour l'été .
Il reste maintenant à réaménager le site et à mettre en valeur les sculptures qui en ont bien besoin .
Lundi 4 juin
Nous étions 7 pour ce circuit au départ d'Esbly , le long du canal de Meaux à Chalifert et du Grand Morin . Les chemins sont remarquablement entretenus , un pur régal !
Ce sera le dernier circuit à Jablines pour cette saison : l'entrée devient payante , même en semaine, à partir du 1er Juin . Nous avons fait le grand tour en passant par les bords de Marne , le chemin est maintenant praticable . Les plages sont de nouveau accessibles et une nouvelle attraction est en cours de montage au Royaume des enfants.
Lundi 28 mai, Vallée de la Broce
Savez-vous ce que représente cette photo? Ce sont des fils à chenilles qui pendent en travers du chemin et que l'on doit éviter
Une belle balade qui nous a procuré un peu de fraîcheur , de l'étang de la Loy à l'étang de la Broce , en passant par le moulin Russon.
Les habitants de Villevaudé se sont rassemblés, samedi 26 mai, pour la fête des trois hameaux de leur village. C’était l’occasion de partager un moment, mais aussi « d’aller à la rencontre de l’autre ».
L’ambiance était assurée par Pascal et Isabelle Melody, DJ domiciliés dans l’Oise. Tous deux ont mis le feu à la salle des Merisiers, transformée pour la circonstance en piste de danse géante, faisant zouker, rocker, valser et twister les participants. Dehors, la queue s’allongeait devant le barnum de David et Danièle qui s’affairaient à servir du rôti de cochon de lait cuit à la broche avec des pommes de terre ou, au choix, un morceau de poulet rôti.
En ouverture des festivités, le maire, Pascal Pian, a rappelé que le village se composait de trois hameaux, Villevaudé, Montjay-la-Tour et Bordeaux, et que « la fête contribuait au bien vivre ensemble de ses habitants ».
Yvette, qui réside à Villevaudé depuis 1976, a été surprise de découvrir de nombreux habitants qu’elle ne connaissait pas, appréciant d’y voir aussi des jeunes qui s’amusaient et prenaient plaisir à être là : « Cela prouve que le village vit et évolue, c’est positif ».
Un feu d’artifice, réalisé par les sociétés Eurodrop et Pyragric, a été lancé à 23 heures sur l’esplanade gazonnée des Merisiers. Les petits ont écarquillé les yeux devant les étincelles multicolores.
Prochaines manifestations
La prochaine fête communale aura lieu samedi 30 juin, pour les feux de la Saint-Jean.
Auparavant, le CCAS (centre communal d’action sociale) proposera, dimanche 10 juin, sa traditionnelle brocante en plein air au profit des plus démunis.
De même, et comme chaque année, l’équipe municipale ira à la rencontre des habitants dans le cadre des réunions de quartier qu’elle s’apprête à entreprendre :
Samedi 2 juin, 9 h 30 : hameau de Bordeaux
Samedi 2 juin, 11 h 15 : place des Marronniers
Samedi 9 juin, 9 h 30 : Bisy
Samedi 9 juin, 11 h 15 : Grous, Chauvet et église S.Moroy
Le comité régional des villes et villages fleuris a décerné une première fleur et ses félicitations à la commune de Villevaudé. La remise officielle du prix a eu lieu en avril, lors du salon des maires d’Ile-de-France.
Villevaudé fait partie des 86 communes franciliennes qui ont obtenu leur première fleur au concours national 2017. A l’instar des 327 autres villes de la région parisienne labellisées à différents niveaux (de la fleur d’or à la première fleur), le jury a en effet reconnu ses actions pour la qualité de vie des habitants, l’accueil des touristes et la préservation de l’environnement.
Une nouvelle image du village
« Villevaudé a vu son engagement environnemental récompensé avec l’attribution d’une première fleur par le comité régional des villes et villages fleuris, apportant une image nouvelle de notre village » a déclaré Pascal Pian, le maire, à Magjournal, lundi 14 mai. Il poursuit : « Je considère aujourd’hui que le pari est réussi pour que Villevaudé soit considérée, reconnue et valorisée comme il se doit, tant par ses projets que par ses équipes, dont les agents des services techniques qui ont fait un travail remarquable ».
Il aura l’occasion d’évaluer la satisfaction de ses administrés lors des traditionnels réunions de quartier qu’il entreprendra avec son équipe début juin, dans les trois hameaux qui composent le village (Villevaudé, Bordeaux et Montjay-la-Tour), afin d’échanger sur leurs préoccupations et tenter de les régler au mieux.
Institué en 1959, le concours national des villes et villages fleuris vise à récompenser les actions menées par les communes de France en faveur de l’embellissement des parcs et jardins, bâtiments et espaces publics, ainsi que les actions effectuées en faveur du développement durable. S.Moroy
Prochaines réunions de quartiers:
02 Juin : Réunion de quartier : Bordeaux 9h30 et Marronniers 11h15
09 Juin : Réunion de quartier : BISY 9h30 et Grous/Chauvet/Eglise 11h15
Nous n'avions pas repris ce circuit depuis l'automne. Il est toujours agréable sous le soleil et l'on a une très belle vue sur toute le région Nous n'avons pas pu aller bien loin sur le chemin qui longe la réserve ornithologique du site Natura 2000 , il est inondé ...
Blanc Compagnon ( Silene Latifolia) . Les jeunes pousses sont comestibles , mais je n'ai pas essayé. DB
Une expérience culinaire qui n'avait jamais été tentée et qui a conquis les participantes ! Découvertes de recettes originales ... réalisation et dégustation sur place ......bref, un moment gustatif et convivial passé ce samedi à l'atelier des Chefs de la rue Pernelle à Paris 4e.
On déguste...
Rendez-vous le samedi 2 juin pour l'atelier "crop"
La traditionnelle bourse aux plantes de l’association Villevaudé… Demain s’est tenue, mardi 1er mai, avec le concours de la municipalité, dans le parc de la Roseraie de Villevaudé. Elle a également permis de faire une piqûre de rappel aux habitants sur les dangers de la pyrale du buis, la chenille invasive et nuisible, qui réapparaît début mai.
L’association n’a de cesse d’alerter sur les ravages de la pyrale du buis, qui refait son apparition. « Elle a été introduite accidentellement d’Asie vers 2007 et n’a pas de prédateur en Europe » indique Yvette Godefroy. La chenille dévore les feuilles et l’écorce verte du buis, se nourrissant des feuilles de l’intérieur, ce qui la rend difficilement détectable. En 2016, la chenille avait dévasté les allées de buis du château de Vaux-le-Vicomte.
Insecticide naturel
Un traitement biologique existe : le bacille de Thuringe (Bacillus thuringiensis). Il s’agit d’une bactérie vivant naturellement dans le sol et que l’on trouve dans les jardineries. La chenille est infectée lorsqu’elle dévore les parties de la plante arrosée par la bactérie. Ne pouvant plus s’alimenter, elle meurt paralysée dans les jours suivants. Pour plus d’efficacité, on doit renouveler l’opération dix jours après, toujours par temps sec.
Ralentir la reproduction
Les membres de l’association conseillent d’installer, au début du mois de mai, des pièges de phéromones femelles pour capturer les papillons mâles et ralentir ainsi la reproduction. Dès que les premiers vols sont détectés, on peut également installer des diffuseurs de trichogrammes : des micro-insectes ailés qui vont pondre dans les œufs des chenilles et les empêcher de naître. Cette méthode peut se révéler efficace pour éviter la prolifération des œufs de chenille. « Les trichogrammes fonctionnent uniquement sur les œufs des papillons. Il faut donc les mettre pendant les vols, sinon c’est inutile » souligne Yvette Godefroy.
« Alerter les voisins est important en cas d’infestation »
« Si l’une de vos plantations est touchée ou en cas de capture d’un papillon dans un piège, il faut informer le voisinage car des actions collectives de surveillance et de traitement s’imposent pour empêcher la prolifération » ajoute-t-elle.
Valoriser les produits naturels
Tout au long de la journée, les visiteurs ont pu échanger des graines et des plants, acheter du miel, du jus de pomme, des paniers de légumes locaux issus de l’agriculture raisonnée, du chanvre pour les paillis du jardin ou des plantes de la serre de Montjay-la-Tour. « C’est la septième bourse aux plantes de notre association, qui œuvre pour la défense de l’environnement. Par ses actions, elle concourt à la sensibilisation, au respect et à la protection de notre capital vert » confie Marie-Françoise Pian, sa présidente.
Nous avions proposé aux seniors de la commune d’organiser une fois par mois des rencontres autour d’un goûter, ainsi, les deux rencontres du jeudi 29 mars et jeudi 26 avril ont été l’occasion de nous réunir dans les nouveaux locaux de la mairie, anciennement classes maternelle de l’école…
Le premier sujet évoqué a porté sur les transports, sur la nouvelle ligne régulière mise en circulation vers Lagny-sur-Marne, sur les services de car vers le centre commercial carrefour le mardi et vers le marché de Lagny-sur-Marne le vendredi, sur les navettes à la demande… Quatre panneaux nous ont permis de découvrir des photos et un court historique des Galeries Lafayette, de l’Opéra Garnier ainsi que l’histoire du mystère de l’épée de Jeanne d’Arc venue trois fois à Lagny-sur-Marne…Nous avons parlé Russie avec Dick Den Hollander qui a parcouru ce grand et beau pays en participant à trois reprises au Paris-Moscou au volant de sa traction Citroën ; occasion d’évoquer les randonnées du lundi et jeudi organisées par Danièle Brédillon avec la Dhuis à l’Ourcq et de parler bibliothèque avec Annie Ghysens.
Des projets d’activités ont germé pour les fois prochaines, cartes, musique, pétanque, manifestations qui se profilent chez nous et aux environs… Château de Champs sur Marne, Klimt à l'Atelier des lumières dans le 11e ...
Quoi encore ? Ah oui, thé, café, chocolat chaud, jus de fruits... délicieux gâteaux ...
La météo qui nous a permis de retourner au parc du Pâtis à Meaux. Nous n'avons pas pu , hélas , emprunter le chemin qui passe entre les étangs aux oiseaux , il était sous les eaux . Le reste était très praticable , mais il faudra encore beaucoup de temps pour que tout s'assèche.
23 avril
Nous étions 5 pour cette jolie balade au départ des Epinettes à Dampmart. Une vue panoramique au milieu des champs de colza, retour par la forêt des Vallières, dont les frênes sont atteints de la chalarose (maladie incurable due à un champignon pathogène et qui ne touche que cette essence ) . L'agence des espaces verts coupent ceux qui sont malades et menaceraient de tomber .
Carnet de route des randonneurs des lundis et jeudis de l'association "De la Dhuis à l'Ourcq"
LUNDI 26 MARS 2018
Une journée quasi printanière pour un circuit que nous n'avions pas repris depuis un moment. Nous sommes partis du moulin de Montfermeil , avons traversé le bois des Ormes pour rejoindre la forêt de Bondy.
Exceptées les anémones et quelques ficaires , peu de fleurs encore dans les sous-bois
jEUDI 29 MARS
Bien difficile ce jeudi encore , de trouver un circuit praticable . Peu de solutions , nous avons donc choisi les bords du canal de l'Ourcq :
Départ du pont de la Rosée en empruntant la piste cyclable jusqu'à Villeparisis , ce qui nous a valu l'animosité de quelques cyclistes hargneux . Retour par le chemin piéton , interdit normalement aux vélos, mais les marcheurs sont moins agressifs...
Ne terminons pas l'année sans rappeler que l'exposition "L'année 1917, face à la guerre" présentée à la bibliothèque de la Roseraie, sera visible jusqu'au 30 janvier 2018 .. venez visiter le parcours de ceux qui ont combattu pour Villevaudé à travers une chronologie de grands événements sociaux et culturels dans le domaine de la peinture, littérature, théâtre, sport, musique...
A propos du film "Charlot émigrant":
Sorti le 17 juin 1917, « Charlot émigrant » est, après « Charlot vagabond », le film qui a le plus contribué à construire le mythe de Charlot, l'anti-héros au grand cœur. Pour ce film, les méthodes de travail de Charlie Chaplin devinrent beaucoup plus exigeantes que par le passé. Ainsi, ce film de 30 minutes demanda pas moins de deux mois de tournage.
Le film commence sur un bateau d’émigrants en route pour l’Amérique. Charlot qui y est passager coule une idylle avec Edna (Edna Purviance, l'actrice fétiche de Chaplin). Emu par sa pauvreté, il lui glisse alors en cachette une partie de l’argent qu’il a gagné au jeu.
Le bateau arrive en rade de New York. Déjà, au loin, se profile la statue de la Liberté qui est le symbole de la terre de la liberté pour tous ces émigrants venus de si loin. Ceux-ci se pressent avec joie sur le pont, mais leur enthousiasme est vite freiné par des fonctionnaires du service de l’immigration qui les enferment comme du bétail.
Charlot retrouve Edna dans un café. Il vient de ramasser une pièce dans la rue et compte bien inviter la jeune femme. Mais la pièce tombe de sa poche trouée et notre héros va avoir maille à partir avec le serveur du restaurant, un colosse pas commode (Henry Bergman).
A noter que la scène qui oppose Charlot au serveur au moment de régler l’addition fut filmée plusieurs fois durant… une semaine entière ! Chaplin s’aperçut qu’il faisait fausse route. Bergman n’était pas assez effrayant à l'écran pour rendre la peur de Charlot crédible. Il annula donc une semaine entière de tournage consacrée à cette scène (ce qui était révolutionnaire à l’époque, à Hollywood) et donna enfin le rôle du serveur à l’énorme Eric Campbell, beaucoup plus inquiétant comme serveur patibulaire.
Cette même année 1917, Bécassine participait à la guerre ..
BECASSINE, la célèbre héroïne des bandes dessinées participe à la guerre dans « BECASSINE CHEZ LES ALLIES » qui parait le 1e janvier 1917.
La loi du 4 avril 1915 avait autorisé le mariage par procuration des mobilisés. Cette loi, était censée faciliter, pour les couples séparés, la traversée de l'épreuve ; cette politique devait favoriser le bon moral du soldat .... Mais à cause de la lenteur des procédures et la mise en place des permissions, certains soldats mobilisés ont été spectateurs de leur propre mariage !!
Certains voient ainsi dans les situations étranges que l’application de cette loi engendre un sujet de raillerie facile qui a inspiré Caumery et Pinchon :
Dans cet album, ils mettent en scène un mariage dans lequel les deux conjoints sont représentés par des fondés de procuration et qui aboutit par erreur au mariage de Bécassine avec La Pipe, un vieux garde champêtre.
L’Atelier créatif de Villevaudé a proposé son traditionnel marché de Noël, salle des Merisiers. L’événement bénéficiait du concours de la municipalité et a connu, samedi 2 et dimanche 3 décembre, une belle affluence, surtout à la patinoire.
Pour le plus grand bonheur des enfants, une patinoire était dressée sur l’esplanade des Merisiers. D’une superficie d’environ 150 m², la patinoire synthétique était constituée de plaques de polyéthylène de haute densité.
Une patinoire écologique
Le maire, Pascal Pian, souligne : « C’est la deuxième année consécutive qu’une patinoire est installée pendant le marché de Noël. Si les sensations de glisse sont légèrement différentes par rapport à une patinoire classique, la surface synthétique permet d’économiser, sur cet événement, la consommation électrique d’une centaine de ménages durant un mois, dix tonnes de gaz carbonique et 12 600 litres d’eau ».
Venus du Pin, Nicolas, 7 ans, ne s’est pas fait prier pour chausser ses patins afin de goûter avec sa sœur, Noémie, 5 ans et demi, aux plaisirs de la glisse. « C’est assez compliqué de patiner car les patins ont tendance à tourner, mais le plaisir est tout de même là » confie le jeune Pinois.
Conforme à la tradition
Les exposants étaient au chaud, à l’intérieur de la salle des Merisiers. « C’est la neuvième édition du marché de Noël que nous voulons le plus conforme à la tradition alsacienne car c’est à Strasbourg, en 1750, qu’est né le premier marché de Noël » précise Isabelle Kolifrath, présidente de l’Atelier créatif de Villevaudé.
Sur les vingt-cinq exposants, l’un d’entre eux était d’ailleurs venu d’Alsace pour proposer ses savoureuses flammekueches (tartes flambées alsaciennes) que l’on pouvait déguster sur place, ainsi que de nombreuses autres spécialités tout aussi alléchantes.
« Il y a plus de monde que l’an dernier »
Outre les réalisations des membres de l’Atelier créatif villevaudéen, les stands proposaient des décorations de Noël, bijoux fantaisie, cartes et calendrier de l’avent, peintures, céramiques, sculptures et des vêtements chauds. Les visiteurs n’ont donc eu que l’embarras du choix pour effectuer leurs premiers achats, juste avant le grand rush des fêtes de fin d’année. « C’est la troisième fois que je viens à ce marché de Noël, en attendant celui de Courtry, ville où je réside et qui aura lieu la semaine prochaine. Cette année, je trouve qu’il y a plus de monde que d’habitude » remarque Christine, 62 ans.
Les seniors étaient aussi de la fête
Le CCAS (Centre communal d’action sociale) a profité de l’événement pour distribuer aux anciens leurs colis pour les fêtes. Au total, ce sont 115 colis gourmets, pour une ou deux personnes, qui ont été remis aux 65 ans et plus inscrits sur la liste. La fête se poursuivra pour eux avec le traditionnel repas de fin d’année, offert par le CCAS, samedi 9 décembre, à la salle des Merisiers.
Moderne et jazz à la fois
Les élèves, petits et grands, de la section modern jazz de la FRAV (Familles rurales à Villevaudé), dirigée par Solena, sont montés sur la grande scène pour donner à un public enthousiaste, qui avait dégainé smartphones et tablettes, un bel aperçu de leurs talents.
Le coin réservé à l’espace jeunesse n’a pas chômé avec un atelier consacré au maquillage et un autre au dessin. Les fonds récoltés serviront à financer les animations destinées aux Villevaudéens collégiens et lycéens, dont un séjour dans les gorges de l'Aveyron, prévu pour le printemps. S. Moroy
Une exposition sur la Première Guerre mondiale et la vie, année après année, de Villevaudéens qui sont montés au front, se tient à la bibliothèque de la Roseraie jusqu’au 30 janvier
Toutes les communes de France ont payé un lourd tribut à la guerre de 1914-1918 et Villevaudé, qui comptait 585 habitants en 1914, n’y a pas échappé.
Lancée en 2015, l’initiative de l’exposition est due à l’ALJ (Association loisirs jeunes) et à la bibliothèque de la Roseraie. Yvette Godefroy, présidente de l’ALJ explique : « Nous avons voulu réaliser une rétrospective de cette époque, dans la mesure où nous disposions de documents retrouvés dans un grenier de Montjay-la-Tour. Au travers d’une fresque chronologique de quelques grands événements de la vie civile, dans les domaines des arts, des lettres et des faits de sociétés, nous suivons le parcours de quelques habitants qui ont été mobilisés sur le front ».
Monique Mazoyer, membre de la SHCE (Société d’histoire de Claye et de ses environs) a apporté sa précieuse contribution et les panneaux, réactualisés chaque année depuis 2015, informent le visiteur sur ce qui s’est passé, de 1914 à 1918.
Les Villevaudéens dont les noms sont inscrits sur le monument aux morts de la commune ont donc tout naturellement leur place dans la page de mémoire. L’exposition s’attache d’ailleurs à l’histoire de certains d’entre eux, reconstituée grâce à des documents qui les concernaient : lettres, citations militaires, témoignages…
Edmond Blétry, adjoint au maire de Villevaudé
C’est d’abord le parcours d’Edmond Blétry, 39 ans, adjoint au maire de Villevaudé en 1914, qui est parti au front dès le mois de septembre de la même année. Il a été incorporé à Amiens dans le douzième régiment territorial d’infanterie. Sous les ordres du lieutenant-colonel Garrus, il a quitté Amiens dans la nuit du 5 au 6 août pour débarquer à Morbecque (Nord).
Sa famille résidait au 11 rue Charles-de-Gaulle, à Montjay-la-Tour (haut de Villevaudé). Dans une lettre du 8 août 1914 adressée à son épouse, le sergent Blétry écrivait : « Des premiers bruits de victoire nous mettent de la joie plein le cœur, mais si ça va si bien que cela, nous autres, les vieux, n’auront plus qu’à suivre ». Il a été blessé à la cuisse, fait prisonnier et envoyé en Allemagne où il est resté quatre ans.
En 1917, Edmond Blétry avait trois enfants. Il espérait figurer sur la liste des pères de famille de plus de 40 ans qui étaient évacués en Suisse et parfois libérés. Néanmoins, il n’a quitté l’Allemagne qu’à la fin du conflit.
D’autres n’ont pas eu la chance de revenir
Georges Eugène Aché est mort le 15 mars 1916 dans les combats de Mort-Homme (Meuse). Gustave Lantenois est tué le 17 juillet 1916 à Flaucourt (Somme), le lendemain de son anniversaire. Alexandre Roch est porté disparu le 23 octobre 1916 dans les tranchées de la Maisonnette, près de Biaches (Somme). Il est finalement reconnu décédé le 29 octobre 1916 par jugement du tribunal de Meaux, rendu le 24 février 1921.
« Félix Marleux a été fait prisonnier pendant la bataille d’Aubérivé (Marne). Victime de la tuberculose, il est décédé le 27 juillet 1917. L’histoire nous dira qu’il y en aura beaucoup plus en 1918 » précise Yvette Godefroy. Elle prépare d’ores et déjà la réactualisation de l’exposition pour 2018, centenaire qui célébrera la fin d’une guerre que l’on croyait être « la der des der ».
L’exposition Face à la guerre pour l’année 1917, se tiendra jusqu’au mardi 30 janvier à la bibliothèque de la Roseraie, 16 rue Charles-de-Gaulle (à l’entrée du parc). L’entrée est gratuite et l’exposition se visite le lundi et samedi, de 10 h 30 à 12 h 30 et le mercredi, de 16 heures à 19 heures.
L'année 1917, l'année de toutes les révolutions....
La guerre change de physionomie. Les alliances se recomposent : les États-Unis entrent en guerre en avril. La Russie, elle, se retire progressivement du conflit en raison des "troubles" politiques qui l'affectent.
Au front, les soldats expriment de plus en plus leur lassitude de la guerre.
On assiste à la naissance de nouveaux courants artistiques, le monde des arts exprime une forme de refus, de négation, d'occultation de la guerre ..
Dans cette chronologie de grands événements sociaux et artistiques dans le domaine de la peinture, littérature, théâtre, sport, musique, nous suivons donc depuis 1914 - avec en fond le déroulement de la guerre dans ses grands évènements - le parcours de ceux qui ont combattu pour Villevaudé.
Pour mieux comprendre la visite: Dans les cadres bleus on retrouve la correspondance d'Edmond Blétry, adjoint au maire de Villevaudé en 1913 et 1914, les cartes postales de ses enfants et les lettres de son épouse Louise Blétry. Sa fille Simone qui lui écrivait des cartes si affectueuses a vécu jusqu'à son décès en 1995 dans la maison de Montjay-la-Tour, au 11 rue Charles de Gaulle.
A 39 ans en 1914, Edmond Blétry est incorporé au 12ème régiment d’infanterie territoriale, 1er bataillon, 3ème Compagnie, il est sergent. Blessé à la cuisse en novembre 14, il est fait prisonnier et envoyé en Allemagne.
En 1917, Edmond Blétry, 42 ans, 3 enfants, espère toujours être mis sur la liste des pères de famille de plus de 40 ans qui sont évacués en Suisse qui ont ensuite un meilleur traitement et parfois libérés. Malheureusement, il ne sera jamais sur les listes et restera comme vous le verrez en Allemagne jusqu’à sa libération à la fin de la guerre.
Les cadres rouges font référence à des événements qiui ont un lien direct avec la commune de Villevaudé avec, en particulier, ses « Morts pour la France » dont nous avons suivi le parcours.
En 1917,un seul villevaudéen a payé de sa vie, c'est Félix Marleux, l'histoire nous dira qu'il y en aura nettement plus en 1918.
Les cafés de Colette, Paulette, Baheux, Mendhi, le petit Bordeaux, ce sont eux que j'ai connus à mon arrivée à l'école de Villevaudé à Montjay-la-Tour en 1972: je précise bien à Montjay-la-Tour car étant à la recherche dans le bourg de Villevaudé de l'école où j'avais été nommée, aucun des passants interrogés n'a pu me dire que l'école était à Montjay... et c'est finalement au café Mendhi dans la Grande rue de Villevaudé que l'on m'a dirigée vers la bonne destination... de laquelle je ne suis pas repartie...
Quand madame Mansuy que nous appelions Colette a fermé son café des marronniers à Montjay, le gribouillage DÉFENSE DE FERMER sur l'affichette « DÉFENSE DE FUMER » n'a pas eu d'effet sur sa décision, et son pot de départ nous a laissé un goût amer... c'est là que nous apprenions les bonnes nouvelles, les mauvaises, les décès, c'est là aussi que les collectes étaient organisées.. le quartier était dorénavant vide.
Des 9 cafés il n'en reste qu'un, au hameau de Bordeaux.
Remercions mesdames Danièle Prieur, Françoise Leroy et Monique Mazoyer pour les recherches à partir des recensements, almanachs commerciaux, archives départementales de Seine et Marne, accompagnés de leurs enquêtes sur le terrain... Ce travail considérable a abouti à la présentation de cette exposition, riche de souvenirs et d'anecdotes..
Merci monsieur Clément, président de la Société d'Histoire de Claye et des Environs de l'attention que vous portez à notre patrimoine.
« Gargote, bistrot, troquet, boui-boui, zinc, café, bar, brasserie, pub..... autant de vocables qui inspirent une nostalgie bienveillante à ceux qui les ont fréquentés » écrit Monsieur Albarello dans le livre qui a été édité.
Lieutenant colonel de réserve, compagnon de la libération, commandeur de la légion d'honneur, titulaire de la croix de guerre, Roger Wybot, de son vrai nom Roger Varin, a vécu à Montjay la Tour, commune de Villevaudé.
1944: Roger Wybot organise les services de la DST, dont il conservera le poste de directeur jusqu'en 1959.
1958: Il est limogé par le général de Gaulle peu après son retour au pouvoir. Nommé inspecteur général des services de la sureté nationale, puis en 1968, inspecteur général des Services et écoles de Police nationale au secrétariat général pour la police, il sera directeur du service d’inspection générale et de contrôle de la Police nationale de 1969 à 1973, date à laquelle il part à la retraite.
Les villevaudéens ont bien connu ce personnage impressionnant qui se déplaçait au volant de la Renault 16 toujours escortée par un motard qui habitait dans la propriété (à l'emplacement de l'espace Jeunesse). Impressionnante surtout était la splendeur du parc de la Roseraie ..... où se trouve actuellement la bibliothèque de la Roseraie, au 16 rue Charles de Gaulle.
Il a écrit plusieurs livres, dont ses mémoires (Roger Wybot et la bataille pour la DST), et des pièces de théâtre comme Antigone ou le Grand orage.
Roger Wybot, né en 1912, est mort le 26 septembre 1997 à Paris. La mairie de Villevaudé avait déjà fait l'acquisition de sa propriété et fait démolir la demeure.
L'actuelle bibliothèque construite à l'entrée du parc a été inaugurée en 2003.
L'ouvrage "Roger Wybot et la bataille pour la DST", est consultable en bibliothèque.
Depuis la rentrée, le mur du poste de transformation électrique de Villevaudé révèle une fresque géante. Réalisée en trompe-l’oeil, l’œuvre panoramique accentue la profondeur du paysage.
La fresque, longue de 450 mètres et haute de trois mètres, n’a pas échappé à l’attention des automobilistes circulant sur la D86 ou qui accèdent à la Francilienne, près de la centrale électrique.
Le commanditaire de l’œuvre, RTE (Réseau de transport d’électricité), filiale du groupe EDF, a souhaité un aménagement paysager du poste de Villevaudé. L’électricité y arrive à très haute tension (400 000 volts), avant d’être transformée pour être distribuée à environ deux millions d’habitants du Nord Seine-et-Marne. Le programme d’aménagement comprenait l’ornement végétal du poste, la création d’une mare, un chemin piétonnier, la pose de bancs et la réalisation d’une fresque murale.
Peinte en deux mois
« Il s’agissait d’embellir les abords du chemin qui longe la route et l’enceinte de la centrale électrique. L’idée était de faire des décors ayant du sens pour tous, pas simplement une décoration de paysages. Nous avons mis en scène des paysages de notre territoire, dont la base régionale de loisirs de Jablines-Annet » explique Lionel Stéphanidis, 32 ans, président-fondateur de Hard-Déco en 2007 et qui regroupe sept artistes graffeurs.
Durant juin et juillet, Pierre-Olivier, Grégory, Olivier et Jonathan ont entrepris de réhabiliter le mur afin d’y apposer la fresque. Leur choix s’est porté sur une technique mixte, employant peinture acrylique et bombe aérosol.
Hard-Déco était déjà intervenue à Villevaudé, en novembre 2013, pour décorer une dizaine de transformateurs EDF (Electricité réseau distribution France) disséminés sur la commune. La municipalité leur avait demandé une frise en trompe-l’œil d’un enfant écrivant le nom d’Ivan-Peychès sur le parapet de l’école élémentaire du même nom.
A côté, la fresque sur la façade de la salle des Merisiers, que l’on peut admirer en empruntant la rue Adèle-Claret, est aussi à mettre à leur actif. Longue de 10 mètres et haute de 5 mètres, ils s’étaient mis à quatre pour la réaliser en une semaine.
Combattre la grisaille urbaine
« Nous sommes un collectif d’artistes qui combattons la grisaille urbaine en promouvant la décoration graffiti et la réhabilitation des lieux publics et privés. Au départ, c’était un pari de copains qui faisaient du graffiti et ont décidé de créer leur association. En dehors de celle-ci, nous sommes tous des artistes indépendants, des auto-entrepreneurs » renchérit Lionel.
Chaque œuvre est unique
Hard-Deco est sollicitée par des collectivités et des particuliers, surtout pour décorer des chambres d’enfant. Les artistes mettent un point d’honneur à relever tous les défis et chaque œuvre est unique. Ils dirigent également des ateliers pédagogiques dans des centres de loisirs ou pendant les vacances scolaires. « Une initiation à la bombe aérosol permet aux jeunes d’avoir une approche plus artistique que vandale de l’outil » confie encore Lionel. S. Moroy
Le collectif Sauvons la Dhuis, qui regroupe sept associations de défense de l’environnement, a appelé à la marche verte « pour sauver le bois Gratuel ». Quelque 250 personnes ont défilé à Villevaudé, samedi 17 juin .
Les manifestants protestaient, samedi, contre la carrière à ciel ouvert de Placoplatre, dont le bois Gratuel fera bientôt les frais.
Malgré la forte chaleur, ils ont pris le chemin de l’aqueduc de la Dhuis, qui commence à l’angle de la rue du Lavoir et de la rue Charles-de-Gaulle, pour se rendre jusqu’à la plateforme de construction du pont, près de la RD105. Par mesure de sécurité, la police avait bouclé la route, côté Villevaudé. De nombreux élus des communes voisines participaient au cortège, ainsi que des candidats aux élections législatives : Maxime Laisney, Julia Killian, Farid Djabali, Béatrice Troussard…
Le projet validé par le préfet
Le carrier se cramponne à son projet, d’autant qu’il a été validé début mai par le préfet. La carrière du Pin-Villeparisis alimente en gypse l’usine Placoplatre de Vaujours. Or ses réserves étant bientôt épuisées, l’entreprise a obtenu une autorisation d’exploiter à ciel ouvert les secteurs du bois Gratuel et des Mazarins, situés plus à l’est. « Dans le dossier, les services de l’État ne satisfont qu’à une obligation légale, ce n’est plus un débat démocratique » lâche Marie-Françoise Pian, présidente de Villevaudé… demain, et porte-parole du collectif.
Le collectif dénonce une « destruction programmée »
Nous sommes à quelques centaines de mètres à peine de villevaudé.....
« La communication de Placo ne change pas : on nous dit que dix-neuf hectares seulement vont disparaître et que la Dhuis ne sera pas touchée. La destruction du bois Gratuel va démarrer le 1er août par l’abattage des arbres. Avec la construction du pont, Placo, propriétaire foncier de grandes surfaces de bois sur la butte de l’Alnay, poursuivra vers les communes de Villevaudé, Annet-sur-Marne et Thorigny-sur-Marne. Il faut donc additionner les hectares détruits à ceux qui le sont déjà en Seine-Saint-Denis, depuis le bois de Gizy et Bois-le-Comte, pour apprécier l’ampleur de la destruction » poursuit-elle.
Elle déplore que Placo « très inquiet de [nos] manifestations, continue dans une absence totale d’écoute à livrer des arguments d’un autre âge : chantage à l’emploi, impossibilité de faire du cavage à l’inverse de Cormeilles-en-Parisis (Val-d’Oise), anticipation sur les arrêtés ». La présidente ajoute : « La loi autorise les exploitations à ciel ouvert à 80 mètres des habitations. Qu’en pensent les habitants de Montjay-la-Tour ? » [Ndlr : haut de Villevaudé]. S. Moroy
Pour rappel:
L'arrêté préfectoral 2017 DRIEE-012 du 3 mars 2017 lève l'interdiction d'atteinte aux espèces protégées dans le cadre du projet d'extension de la carrière de gypse à ciel ouvert sur le Bois Gratuel et les Mazarins, ce qui veut dire que sont autorisées la "destruction et altération de sites de reproduction ou d'aires de repos" des espèces citées...
Samedi 17 juin, les jeunes de l’espace jeunesse ont assisté à un programme de prévention pour un bon usage d’internet, proposé par les forces de gendarmerie et de police dans le cadre de leurs actions habituelles de prévention en milieu scolaire.
Stéphanie Bousseau et Isabelle Leduc, commandants de police au commissariat de Chelles, ont animé ce programme de formation
Sophie Cauvin et Olivier Tetard, animateurs de l'espace jeunesse
Tous les jeunes présents dans la salle utilisent sur leur téléphone ou leur tablette les courriers électroniques, messageries instantanées, les tchat vidéo, les réseaux sociaux…. dans le but de communiquer avec d’autres personnes, partager des contenus, jouer, se divertir, acheter, lire, regarder des vidéos ou des films, écouter de la musique, trouver des informations, apprendre des quantités de choses…….
Pourtant, mauvaises rencontres, personnes mal intentionnées, usurpation d’identité, cyber-harcèlement, rumeurs (hoax), addiction à Internet, tous ces dangers guettent même les plus vigilants…. ainsi que le démontrent les témoignages présentés dans les films projetés: Max 13 ans, a vécu une arnaque, Lucas 11 ans, une addiction, Emma 14 ans, un harcèlement, Eva 11 ans, a été manipulée…
Dans tous les cas, les règles essentielles de prudence sont à respecter…. Ces règles évolueront avec le développement de l’expérience des utilisateurs.. précisons que le Permis Internet se limite à la prévention des risques sur Internet.
Les travaux de Placoplatre ont démarré pour une nouvelle carrière à ciel ouvert, tandis que les écologistes et associations de défense de l’environnement préparent leur mouvement de protestation pour protéger la promenade de la Dhuis. Leur collectif, Sauvons la Dhuis, proposera un grand rassemblement, samedi 17 juin.
L’apparition des premiers engins de chantier, il y a une quinzaine de jours, en bordure de la RD105, a fait bondir Christian Tarrieu, président de AB2V (Association Ensemble bien vivre à Villeparisis créée en 2015). Le projet était pourtant inévitable suite à l’arrêté du préfet validant, début mai, le projet d’extension de la carrière de gypse à ciel ouvert.
Les associations dénoncent « la non prise en compte des remarques lors des enquêtes publiques, la destruction de plusieurs animaux (37 espèces protégées), le tarissement précoce des nappes phréatiques et des sources naturelles, des nuisances de toutes natures liées à l’exploitation du gypse ».
Le pont sera opérationnel en 2018
Dans une plaquette distribuée en avril dans les boîtes aux lettres des Villevaudéens, le carrier expliquait son projet : « Pour les besoins de la future carrière [NDLR : secteurs du Bois Gratuel et des Mazarins], on fait construire un pont paysager au-dessus de la RD105. Il permettra de transporter le gypse vers la carrière actuelle de Le Pin-Villeparisis par voie interne, sans utiliser le réseau routier. Dès 2021, le convoyeur existant, qui achemine le gypse jusqu’à l’usine, sera prolongé et empruntera ce pont. Les travaux s’effectueront sans interruption de la circulation sur la route, sauf occasionnellement de nuit. Il sera mis en service début 2018. Le pont enjambera la promenade de la Dhuis sans l’interrompre, y compris pendant la phase de travaux et sans que l’ouvrage ne déborde sur son emprise. Sa signature visuelle, en forme de vague, sera maintenue ».
Une ressource récupérable
Franck Rolland, élu municipal EELV à Villeparisis, souligne : « On nous dit que le gypse est facilement récupérable et on continue à l’exploiter, alors que tout cet argent pourrait financer d’autres filières, comme celle du recyclage, et sans perte d’emplois. On est toujours sur une logique de court-terme, sans préservation des matières premières, c’est-à-dire un modèle de croissance aujourd’hui dépassé ».
Farid Djabali, élu municipal à Mitry-Mory et candidat EELV aux prochaines élections législatives, renchérit : « L’environnement et les espaces sensibles vont disparaître à cause de l’usine Placo à Vaujours. Or il est important d’avoir un développement économique concerté qui ne porte pas atteinte à l’environnement et aux espaces sensibles, comme la forêt de Montgé-en-Goële et le fort de Vaujours ».
Le collectif reprend du service
Regroupant sept associations, un collectif, Sauvons la Dhuis, avait réussi à mobiliser tout de même près de 900 personnes lors d’une marche verte, en novembre 2011, sauvant ainsi in extremis un tronçon de l’aqueduc de la Dhuis que la mairie de Paris, son propriétaire, voulait vendre alors à Placo. «Ces carrières signifient la destruction programmée d’une grande partie des massifs boisés de la butte de l’Aulnay sur Le Pin, Villevaudé, Claye-Souilly, Carnetin, Thorigny-sur-Marne et Annet-sur-Marne, ainsi que l’anéantissement total, à terme, de sa faune et de sa flore. L’abattage des arbres du bois Gratuel doit débuter en août» indique un porte-parole du collectif.
Le nouveau ministre de la transition écologique et solidaire, Nicolas Hulot, a été contacté. « La promenade de la Dhuis fait partie de la trame verte de l’Est francilien et elle est en danger imminent. Pourtant, elle a été aménagée avec l’argent public : six millions d’euros ont été investis entre 2006 et 2007 par la Région » poursuit le membre du collectif.
Une marche verte, samedi 17 juin
Pour appuyer son action, Sauvons la Dhuis appelle à une nouvelle grande marche verte. Elle aura lieu samedi 17 juin à 14 h 30, pour une durée d’environ deux heures.
Le lieu du rendez-vous est fixé à l’entrée de Villevaudé, à l’angle de la rue du Lavoir et de la rue Charles-de-Gaulle. La marche jusqu’au bois Gratuel permettra de découvrir une partie du circuit de la Dhuis. Elle s’arrêtera à la nouvelle plateforme de construction du pont, face au réservoir d’eau implanté de l’autre côté de la RD105, sur la commune du Pin, avant la traversée du CD105.
Le collectif Sauvons la Dhuis
Villevaudé… demain, Les Abesses de Gagny-Chelles, Union des Familles Laïques de Marne et Chantereine (UFAL), Les amis de Carnetin, AJT Rando, Marne et Gondoire à vélo, Association de Défense de l’Environnement du Bois Fleuri (ADEBF).
Photo: Pièce en plâtre offerte à la bibliothèque par François Chauvin, artiste plasticien, peintre fresquiste et aérographe, ami, qui a disparu malheureusement trop tôt.. Elle a été restaurée par l'équipe de staffeurs des amis du sculpteur Charles Gadenne...
Savez-vous comment est né notre blason?
Après le décès en 1784 de la dernière « dame » de la seigneurie de Montjay, Marie Elisabeth Eléonore Aguenin le Duc (enterrée dans l’église), son fils Jean Hallé de Frettevile lèguera tous ses biens, en particulier le château (l'actuel château du Poitou, maison de retraite SNCF) , à Charles Philippe Bajot de Conantre, Baron d'Empire, maire de Villevaudé.
Le 14 mai 1823, le fils et la fille de Charles Philippe Bajot de Conantre épousent la fille et le fils de Laurent Symonet, écuyer, maire de Villiers-sous-Chatillon (Marne)
Villevaudé adopte comme emblème les armoiries de ces deux familles encore sculptées sur le plafond en bois, à l’entrée de l’église saint Marcel de Villevaudé.
Le blason de Villevaudé
A gauche : Sur fond bleu azur croix de Saint-André (écartelée en sautoir et ondée), du blanc argent au milieu or (semi de points). 2 lions – 1 en haut, 1 en bas – 2 têtes 1 à gauche et 1 à droite.
A droite : Écusson fascé – 2 étoiles à 5 bandes or – 1 croissant argent – hachures horizontales bleu azur - 3 bandes : 1ère argent ; 2ème semi de points d’or ; 3ème argent – hachures verticales rouges (de gueule).
Couronne 9 perles
La frise chronologique détaillée de l'histoire de Villevaudé depuis l'an 1000 est visible en bibliothèque... Nous vous invitons à la consulter aux heures d'ouverture des locaux...
"Un siècle à Villevaudé", réalisé par Monique Mazoyer, et disponible à la bibliothèque...
Si les britanniques ont choisi le coquelicot (poppy), les français ont adopté le bleuet. Ces fleurs des champs abondaient sur les champs de bataille… rouge comme le sang des hommes pour le coquelicot, bleu-horizon comme la tenue des poilus pour le bleuet ..
L’initiative de la création du bleuet revint à deux infirmières, Charlotte Malleterre et Suzanne Lenhardt qui, dès 1916, confectionnent des bleuets en papier et en tissu pour les vendre au profit des blessés de guerre.
La réinsertion professionnelle des quatre millions de blessés français au sortir du conflit, parmi lesquels 300 000 mutilés, est en effet problématique. Le loi Lugol de 1919 leur accorde des pensions d’invalidité trop faibles pour leur permettre de vivre : il n’est pas rare de voir d’anciens héros de 14-18 réduits à la mendicité.
Parce que cette situation est inacceptable, l’œuvre du muguet continue donc de plus belle et, en 1928, les ateliers qui emploient uniquement des mutilés sont installés aux Invalides avec le soutien du président de la République Gaston Doumergue.
La vente des bleuets, commencée dans les rues de paris le 11 novembre 1934, s’étend bientôt sur toute la France.
Depuis 1935, l’État officialise la vente de l’insigne le 11 novembre, date à laquelle vient plus tard s’adjoindre le 8 mai, victoire de la Seconde Guerre mondiale.
Aujourd’hui, grâce à des dizaines de milliers de bénévoles qui parcourent les rues du pays en proposant la fleur du souvenir, l’œuvre Nationale du Bleuet de France, reconnue d’utilité publique et désormais placée sous l’autorité des Anciens Combattants et Victimes de Guerre, continue d’agir pour la solidarité et la transmission de la mémoire.
La bourse aux plantes s’est déroulée samedi 22 avril dans le parc de la Roseraie. Des fleurs, plantes et graines, mais aussi une information sur le projet d'extension de carrière à ciel ouvert de Placoplatre contre lequel l'association organisatrice s'insurge.
La bourse était organisée par l’association Villevaudé… demain, avec le concours de la municipalité. « Le principe d’une bourse aux plantes est très simple : chacun apporte ce qu’il a dans son jardin pour l’échanger avec son voisin. Conseils et astuces sont également les bienvenus » explique Marie-Françoise Pian, sa présidente. Un principe évident pour Mélanie qui est venue de Condé-Sainte-Libiaire avec Julien, son époux, et Loris et Antone, ses deux enfants.
« J’ai appris qu’il y avait cette bourse aux plantes grâce à Magali, qui vend des crêpes sur le marché de Lagny-sur-Marne, et qui justement y participe. Nous avons un grand jardin et j’ai apporté, pour échanger, de la sauge, mélisse et ciboulette ». Elle repartira avec un groseillier et un cassissier, des arbrisseaux fruitiers qu’elle n’avait pas dans son jardin.
Partenaire de l’opération, la serre de Montjay-la-Tour exposait également ses nombreuses variétés de plantes d’ornements, fleurs aromatiques et de massifs, qui ont connu beaucoup de succès auprès des visiteurs.
Les bons plants s’échangent, la contestation germe: « Il faut sauver le bois Gratuel »
Forte du succès du collectif qu’elle a créé en octobre 2011, et qui a finalement permis de sauver un tronçon de l’aqueduc de la Dhuis que la mairie de Paris, son propriétaire, voulait céder à Placoplatre ; Villevaudé… demain entame un nouveau combat : sauver les 20 hectares du bois Gratuel. Placo a un projet d’extension de sa carrière à ciel ouvert de Bois le Comte pour alimenter l’usine de Vaujours, en service depuis 1946 [Ndlr : Placoplatre est le premier exploitant de gypse en France et 68 % de la production nationale provient du bassin parisien].
Pour les besoins de la future carrière, Placo construira un pont paysager au-dessus de la RD105. « Après les enquêtes publiques et les arrêtés, une demande d’autorisation de défrichement du bois Gratuel est mise en consultation auprès du public jusqu’au jeudi 18 mai [Ndlr : ce n’est pas une consultation en mairie, mais sur internet]. Le projet a été validé par le préfet le 17 mars alors qu’il entraîne des nuisances, risques et dégâts divers pour la population et l’environnement, largement sous-estimés par Placo. L’association a donc décidé de contester en justice ce projet d’exploitation à ciel ouvert et au tir de mine sur le bois Gratuel » nous a expliqué un membre de Villevaudé… demain.
Un bilan de douze ans
Crée en octobre 2004, Villevaudé… demain s’est fixé pour mission de défendre l’environnement sur la commune et ses environs. Des panneaux rappelaient d’ailleurs les multiples actions entreprises depuis ses douze ans d’existence, à savoir des visites et actions de sensibilisation destinées aux scolaires, mais aussi aux adultes : nettoyage dans la commune, campagne de réduction des déchets avec la CCPMF (Communauté de communes Plaines et Monts de France), ateliers de jardinage sur le terrain du Grimpet, rallyes pédestres… S. Moroy
Elle est encore là!!! à Villevaudé, à Montjay-la-Tour et au hameau de Bordeaux... en fait, elle sommeillait dans les cocons malgré un hiver que nous pensions (à tort) destructeur !! Merci à ceux et celles qui nous ont contactés.
LA PYRALE DU BUIS
Importée accidentellement d’Asie depuis 2007, la pyrale du buis gagne du terrain sur tout le territoire français. Depuis 2015, elle a fait son apparition dans les buis de Villevaudé. Il est important de savoir que cet insecte n’a pas de prédateur naturel et qu'il n'existe pas de traitement préventif.
Il y a 3 voire 4 générations par an (adultes, œufs, larves et chrysalides)
Cocon
cocon
jeune chenille
nymphose: transformation de la chenille en chrysalide
C'est sous la forme chenille non urticante que la pyrale du buis pose problème car elle dévore les feuilles et l’écorce verte du buis, se nourrissant des feuilles de l’intérieur du buis, rendant la détection tardive et donc difficile à contrôler. En raison de leur appétit dévastateur les ravages sont importants et risquent de détruire tous les buis en seulement quelques années.
DÈS LE MOIS DE MARS/AVRIL IL FAUT PIÉGER LES PAPILLONS PAR CAPSULE DE PHÉROMONE
Un papillon peut pondre entre 100 et 600 œufs par an.
Après les fortes attaques de ces dernières années, il est conseillé dans un premier temps de mettre en place du piégeage pour détecter les premiers vols du papillon.
Piège à papillon de nuit de la pyrale du buis: cette méthode permet de positionner idéalement les traitements 8 à 10 jours après les premières captures.
En imitant les phéromones émises par les papillons femelles, la phéromone permet d’attirer les mâles dans les pièges remplis d’eau placés au-dessus des buis.ne pas oublier d'ajouter le produit à vaisselle: il sert à dissoudre la légère couche savonneuse qui recouvre les ailes du papillon. Il faut changer la capsule de phéromone tous les mois et ne pas la manipuler à mains nues.
UNE FOIS LES PAPILLONS DÉTECTÉS, UN TRAITEMENT BIOLOGIQUE S'IMPOSE
Des études ont démontré l’efficacité du traitement biologique : Le Bacillus thuringiensis ssp. kurstaki, couramment désigné par son acronyme Btk, est une bactérie qui vit naturellement dans le sol. Depuis une trentaine d'années, on l'utilise partout dans le monde comme agent de lutte biologique pour réprimer les populations de divers insectes ravageurs forestiers et agricoles. La chenille est infectée lorsqu'elle dévore les parties de la plante arrosée par la bactérie, elle ne peut plus s'alimenter et meurt dans les jours suivants. On doit renouveler l'opération dix jours après.
BON A SAVOIR :le btk fonctionne uniquement sur les jeunes chenilles car arrivées au stade adulte les chenilles ne se nourrissent plus.
La présence de mésanges à proximité de buis peut aider à renforcer la lutte :Un couple de mésanges, en période de nidification, peut manger jusqu'à 500 insectes par jour. Hélas la chenille de la pyrale n’est pas leur préférée.
Éviter de tailler des buis pendant l'infestation et en plein été, car cela constitue un choc pour la plante. Favoriser une taille d'hiver.
Sur les petits buis, on peut aussi lutter mécaniquement et dans l'attente d'effectuer un traitement avec le bacille de thuringe: il faut couper les parties de la plante infestées, enlever manuellement les œufs, les chenilles vertes et noires et les chrysalides de la pyrale du buis. Il faudra ensuite détruire les chenilles en les brûlant.
Les solutions chimiques sont à rejeter: Les pyréthrinoïdes ne sont pas sélectifs et détruiront également les insectes auxiliaires utiles. Le diflubenzuron (Dimilin Flo) est difficile à contrôler car il doit être appliqué juste après l'éclosion des œufs.
Depuis 2015, d'autres départements tel le Puy de Dome ont été touchés
LES TRICHOGRAMMES PEUVENT NOUS AIDER
Pour tuer la pyrale à l’état d’œuf, utilisez les trichogrammes « trichotop buxus ». Ce sont de minuscules insectes qui se reproduisent en parasitant les œufs des pyrales, dès la ponte. Ils éliminent donc la génération à venir de pyrale. Pensez bien à les utiliser à l’automne pour éviter la naissance de nouvelles chenilles au printemps prochain !
BON A SAVOIR: Les trichogrammes fonctionnent uniquement sur les œufs des papillons, donc à mettre uniquement pendant les vols, sinon c'est inutile.
Puisque nous ne devons négliger aucune piste, Planete Homeo School propose une méthode homéopathique ....
Une granule par litre d'eau de Psorinum 30 CH... essayons!!
Leur message: Pyrale du buis: PSORINUM. "Bonjour à tous, nous sommes heureux de vous faire savoir que dans la région Suisse Romane et Ardèche, tous nos tests sont favorables: PSORINUM fonctionne remarquablement. Dès après le traitement, les larves tombent, parfois c'est grouillant même, sur le sol. Certains cas plus graves, on croit que le buis est mort mais en 15 j à 3 semaines, il reprend vaillamment. Mode d'emploi: diluer 3 ou 4 globules de PSORINUM 30 C dans un verre. Verser le verre dans un arrosoir de 3 ou 5 l rempli d'eau. Arrosez les plants à traiter."
DANS TOUS LES CAS IL EST IMPORTANT DE DONNER L’ALERTE
Des actions collectives de surveillance et de traitement sont indispensables pour limiter la propagation de la pyrale du buis. Rappelons qu’il n’existe pas à l'heure actuelle, de traitement préventif.
Y. Godefroy
A l'occasion de la semaine des alternatives aux pesticides, l'association Villevaudé...demain vous a informés en 2016 et en 2017 de ce fléau par distribution de ce document dans toutes les boîtes aux lettres de Villevaudé, Montjay-la-Tour et Hameau de Bordeaux. Cette plaquette est disponible à la bibliothèque de la Roseraie.
Pierre-François Percy est né le 28 octobre 1754 à Montagney en Franche-Comté. Fils de chirurgien, le jeune Pierre-François étudie à Besançon puis à Paris et fut reçu docteur en médecine à 20 ans. Le 20 juin 1776, il entre dans la gendarmerie de Lunéville comme aide-chirurgien, il y reste cinq ans et y apprend l'art vétérinaire. Puis en 1782, il entre avec le grade de chirurgien-major dans le régiment de Berry-cavalerie. En 1784, il obtient le premier prix de l'Académie de chirurgie grâce à une étude sur les bistouris.
Lorsque les guerres de la Révolution commencèrent, en 1792, il se trouve par sa position à la tête du service de santé : d'abord chirurgien à l'armée du Nord, le 1er juin 1792, puis successivement , chirurgien en chef à l'armée de la Moselle, le 15 Germinal An 3, à l'hôpital du Val de Grâce, le 7 brumaire An 4, à l'armée du Rhin et Moselle, le 10 Floréal an 4, à l'armée d'Allemagne, le 24 Vendémiaire an 6, à l'armée d'Angleterre, le 28 Pluviôse An 6, à l'armée de Mayenne, le 12 Brumaire An 7 et à l'armée du Rhin le 27 Nivôse An 8. En 1802, le 29 Germinal An 10, il écrit une lettre au général Bonaparte, Premier Consul de la République française, il se désigne "Percy ex-chirurgien en chef d'armée" :
" Mon Général
Vous avez plusieurs fois daigné me marquer votre satisfaction des services que je me suis efforcé de rendre aux armées, pendant toute la durée d'une guerre que vous avez si glorieusement terminée, c'est m'en avoir accordé le prix le plus honorable et le plus flatteur..... Veuillez, mon Général me faire jouir, pendant la paix, des appointements affectés au grade, non de premier chirurgien des armées de la République ( ce titre a été donné sous le ministère Carnot, à un autre individu qui n'a pas quitté Paris ) mais en ma qualité de simple chirurgien en chef d'armée. Ou bien nommez-moi Inspecteur des hôpitaux militaires et ordonnez qu'on me fasse voyager pour vérifier et faire cesser, s'il est possible, les plaintes, les abus et les désordres de toutes espèces auxquels le nouveau mode de service de santé militaire donne lieu chaque jour, tant dans les Corps armés, que dans les hospices et les hôpitaux..." La lettre a porté ses fruits car le 1er Prairial An 10 ( 21 mai 1802 ), on trouve Percy, chirurgien inspecteur des hôpitaux de l'Intérieur.
Percy approchait cependant de la cinquantaine sans que la vie absorbante qu'il menait lui eût jusqu'alors permis de songer à se créer un intérieur. Le 12 Prairial an 10 (1er juin 1802), il épousa Mlle Rosalie- Claudine Wolff. Les lettres de Percy abondent en témoignages de l'amour qu'il portait à la compagne de sa vie.
"La petite campagne"
C'est aussi à cette époque qu'il achète sa maison de campagne à Bordeaux, hameau de la commune de Villevaudé en Seine-et-Marne. Il était heureux à chaque retour de campagne de retrouver son "Petit-Bordeaux", comme il aimait l'appeler et mentionne dans sa correspondance :
" De ma Petite Campagne dite de Bordeaux, route de Lagny, département de Seine et Marne." "Rien n'égalait la joie avec laquelle il contemplait ses champs, ses vignes, ses arbres, ses chevaux , ses vaches, sa basse-cour. Suivi de son chien Brillant, il se promenait dans les allées de son jardin ou travaillait de ses propres mains à l'embellissement d'une demeure que lui rendait particulièrement chère la pensée qu'elle était le fruit de ses labeurs. Sa bonté le fit promptement aimer des habitants du petit village de Montjay : sa femme et lui présidaient à leurs divertissements et le jour de sa fête des salves d'artillerie étaient tirées en son honneur."
On lit dans le Moniteur Universel du 28 nivôse an 12 (19 janvier 1804), un arrêté signé Bonaparte : " Les citoyens Heurteloup, membre du conseil de santé ; Percy, chirurgien en chef d'armée ; Larrey, chirurgien en chef de la garde des consuls ; Coste, médecin en chef de l'armée des côtes ; Desgenettes, médecin du Val-de-Grâce et Parmentier, pharmacien en chef de l'armée des côtes, sont nommés inspecteurs généraux du service de santé..."
Percy entre dans la Grande Armée comme chirurgien en chef inspecteur Général, le 1er Pluviôse An 12 . "La Grande Armée" qui gardera ce nom jusqu'à Waterloo, a été le nom générique donné par Napoléon pour désigner l'armée d'invasion de l'Angleterre basée à Boulogne (ce projet est abandonné suite à l'anéantissement de la flotte française et espagnole à Trafalgar). Larrey lui, devient chirurgien en chef de la garde Impériale. Napoléon a transformé sa Garde consulaire, simple unité assurant la protection du gouvernement à l'intérieur, en Garde impériale, corps d'armée d'élite entièrement dévoué à sa personne et exposé seulement à la dernière extrémité.
Elles sont belles, ils sont beaux..... bientôt ils seront grands... alors profitons encore quelques temps de leur bonne humeur, de leur insouciance et de l'amitié qui les unit .... cette soirée jeunes (une reprise depuis la dernière en 2013) était pour eux, et un peu pour nous aussi...
Les cafés de l’ancien canton de Claye vont s’exposer, samedi 25 et dimanche 26 février. L’événement a été organisé par la SHCE avec le concours de la Ville, et aura lieu salle Planète-Oxygène de Claye-Souilly.
« Les cafés étaient un lieu important de rencontre dans nos communes, de brassage de population. Beaucoup faisaient aussi épicerie, charcuterie, boulangerie, marchand de charbon. On venait s’y inscrire pour la visite du médecin, y danser, voir des films » explique Daniel Clément, président de la SHCE (Société d’histoire de Claye et de ses environs).
Une centaine de personnes a assisté, jeudi 23 février, au vernissage de l’exposition.
Des lieux de vie intense
« Vecteur indéniable de lien social, les cafés sont essentiels pour notre pays en ce qu’ils ont donné naissance à l’espace public. Ne débattons-nous pas et ne traitons-nous pas des sujets d’actualité dans les cafés ? C’est bien dans ces lieux où se construit la pensée, que les fondements même de la démocratie apparaissent, rendant aux cafés toutes leurs lettres de noblesse » s’est enthousiasmé le maire et député, Yves Albarello. Né en 1952, celui-ci a redécouvert avec joie le café de son enfance, à Souilly, « dans lequel [il] garde encore de chaleureux souvenirs ». Trois bistrots existaient alors dans le village de Souilly (qui sera rattaché en 1839 à Claye) : la maison Pinardel, chez Margot, chez Raymonde.
Un travail de mémoire
Le petit village d’Annet-sur-Marne comptait vingt cafés à lui seul. Il y en avait quinze répartis sur Mitry-Mory et unetrentaine à Claye-Souilly. « Début 2016, les médias se sont émus de la disparition des cafés en France. Cela nous a confortés dans notre démarche mémorielle » indique Daniel Clément. Le travail a démarré en 2014, piloté par Danièle Prieur, Françoise Leroy et Monique Mazoyer. Après la consultation des archives départementales de Seine-et-Marne et des almanachs commerciaux, publiés de 1879 jusqu’en 1939, sont venus le repérage des estaminets puis la collecte des cartes postales (apparues fin du XIXe siècle), des photos et des témoignages.
Vingt-trois communes, deux cents ans d’histoire
Des Villevaudéens entourent Pierre Dubreuil, annétois et membre de la SHCE, devant les panneaux de leur commune. Villevaudé comptait quatre cafés dans son bourg, quatre dans le hameau de Montjay-la-Tour et un dans celui de Bordeaux. Ce dernier (Le Petit Bordeaux) est le seul encore en activité
Daniel Clément et Yves Albarello tenant le livre sur les cafés anciens du canton édité par la SHCE.
L’exposition est à la disposition des maires qui la souhaitent. Les communes concernées sont Annet-sur-Marne, Carnetin, Charmentray, Charny, Claye-Souilly, Compans, Courtry, Fresnes-sur-Marne, Gressy-en-France, Isles-Les-Villenoy, Iverny, Le Pin, Le Plessis-aux-Bois, Messy, Mitry-Mory, Nantouillet, Précy-sur-Marne, Saint-Mesmes, Trilbardou, Villeparisis, Vignely, Villeparisis et Villevaudé.
La SHCE a édité un livre de 358 pages avec de nombreux documents d’époque, dont des photos et d’anciennes cartes postales. L’ouvrage est en vente au prix de 30 euros.
Du samedi 25 au dimanche 26 février, de 10 à 18 heures. Salle Planète-Oxygène, allée André-Benoist. Entrée gratuite. S. Moroy
Créée en 1988, l’association des croqueurs de pommes de Brie et Gâtinais, bien connue des Villevaudéens, compte 160 adhérents... et 8000 membres répartis dans 65 sections locales.
"La production intensive, imposée par la grande distribution, limite le choix à quelques variétés de fruits. Or, dans nos campagnes seine-et-marnaises, il y a des centaines de pommiers... Akane, Colapuy, Rambour d’automne, Farot, Belle-Joséphine de Brie, Judeline, Hochet (ainsi nommée à cause des pépins qui remuent quand le fruit est mûr), des poiriers et des pruniers. C’est une richesse, dont on n’a pas conscience" nous expliquait Pascal Papelard, son président, lors de la 3e bourse aux plantes d'automne de l'association Villevaudé... demain.
Les 25 et 26 mars à Savigny-le-Temple, auPrintemps des jardiniers. Nous pourrons rencontrer les élèves du lycée agricole Bougainville et une présentation du jardin suivant les principes de la permaculture...
Les 1e et 2 avril à Crécy-la-Chapelle, aux Journées des plantes & Art du jardin: Cette première édition mettra à l'honneur la rose ancienne "Rose de Crécy" créée en 1828 par Pierre de Roëser et dont la famille vit encore dans la ville.
La SNCF envisage de céder la maison de retraite dans le courant de l’année. Le projet est-il vraiment sur les rails et que deviendraient alors ses 48 pensionnaires et 32 salariés ? Un comité de défense s’est créé pour le maintien de l’établissement.
Une nouvelle voie pour la SNCF
La SNCF est propriétaire d’un terrain arboré de 16 hectares sur Villevaudé. Le château du Poitou, érigé à la fin du XIXe siècle, lui aurait été donné à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Suite à la loi d’adaptation de la société au vieillissement (ASV) de décembre 2015, qui impose de nouvelles obligations aux EHPAD (Établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes), la SNCF a décidé d’orienter sa politique d’action sociale vers le maintien à domicile. Elle se désengagerait ainsi progressivement de la gestion de ses quatre EHAPD sur le territoire national, dont deux en Île-de-France : Neuilly-sur-Marne et Villevaudé.
Bâtiment non conforme
Lors d’une réunion organisée le 15 novembre à la maison de retraite, Damien Bouillard, responsable national des pensionnés à l’action sociale de la SNCF, a annoncé que « le bâtiment ne répondait plus aux normes ». Un rapport de septembre 2016 soulignait « l’absence de douche dans les chambres et une accessibilité insuffisante pour les personnes à mobilité réduite ; le deuxième étage du château fermé pour des raisons de sécurité et la structure du bâtiment annexe (construit en 1981) difficile à transformer à cause des murs porteurs et coûteuse à démolir ».
Le même rapport conclut que « l’EHPAD de Villevaudé nécessite d’importants travaux à réaliser à court terme et estimés au minimum à 1,6 million d’euros pour les seuls besoins de mise aux normes. L’entretien du parc est coûteux. Le site est contraint en matière du droit de l’urbanisme et dans un secteur soumis au risque de mouvement de terrain (ancienne carrière souterraine) ».
La résidence du château du Poitou n’effectue plus d’admission et compte actuellement 32 salariés pour 48 résidents. Fin mai 2016, leur nombre était de 57.
Idem à Neuilly-sur-Marne
Une cessation d’activité de la maison de retraite l’Oasis, à Neuilly-sur-Marne (93), serait également programmée. Elle emploie vingt salariés pour neuf résidents, alors que la structure peut en héberger vingt-trois. Fin mai 2016, leur nombre était de quinze, les admissions ayant été stoppées en 2015.
Un comité de défense créé
A l’annonce de la nouvelle, les familles des résidents et les personnels ne sont pas restés inactifs. Le 7 janvier, ils ont constitué un comité de défense des maisons de retraite de Villevaudé et de Neuilly-sur-Marne. « La nouvelle a provoqué un véritable malaise chez un grand nombre des résidents et les personnels sont inquiets. La SNCF ne communique pas, mais elle est prête à payer la différence dans une maison de retraite privée » confie Evelyne Baghli.
Sa mère, Yvonne, 88 ans, souffre de cécité et réside à Villevaudé depuis février 2016. Elle ferait partie des dernières personnes admises dans l’établissement. « Elle vit mal la situation, d’autant qu’elle s’est parfaitement intégrée et connaît tout le personnel qui est au top niveau. Jamais les résidents ne retrouveront l’équivalent en termes de qualité dans une maison privée ». Les membres du comité sont d’autant plus remontés qu’ils ont appris que le fonds de l’action sociale de la SNCF était doté de 30 millions d’euros.
« On ira jusqu’au bout »
« La direction de la SNCF met en danger la santé psychologique des résidents, c’est de la maltraitance. Nous voulons assurer le confort et la continuité des résidents à la maison de retraite de Villevaudé » martèle Evelyne. Elle rappelle la qualité des services pour un prix forfaitaire de 85 % de la retraite (ou pension de réversion), quelle qu’elle soit. Le comité a saisi le ministère de la Santé et des élus, dont le député Yves Albarello et les maires de Neuilly-sur-Marne et Villevaudé. Une pétition circule sur internet et une réunion sur les actions à venir se tiendra après les vacances de février.
Contactée hier, lundi 6 février, Brigitte Patinote, directrice simultanée de la résidence du château du Poitou et de l’Oasis, est restée vague, confirmant cependant « qu’il y avait effectivement un projet, mais que rien n’était encore décidé ». Elle a reçu plusieurs familles inquiètes à qui elle a délivré la même information. En revanche, elle n’a rien révélé sur le sort réservé aux pensionnaires et salariés pour le cas où « le projet » aboutirait.
A l'occasion de la commémoration du centenaire de la guerre 14-18, des documents inédits concernant le château du Poitou sont à découvrir à la bibliothèque de la Roseraie.
Le livret est consultable sur place ou disponible à la vente au prix de 10€
Avant d'être une maison de retraite, le château était un sanatorium, centre de soins SNCF
La cérémonie des Awards s'est déroulée le samedi 4 février à l'Espace Jeunesse de Villevaudé..
Meilleur danseur, meilleure copine, plus grosse casserole, plus fainéant, mieux coiffée, plus vulgaire, plus discret, plus stylée, plus grand blessé, plus gros, plus grand râleur ou râleuse, plus maladroite, l'habitant, mauvais joueur, l'Award d'or... un garçon et une fille élus dans différentes catégories se sont vu remettre le diplôme... Tenue correcte de rigueur pour une après-midi sous le signe de l'amitié.
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