Continuons l'histoire de Villevaudé en répondant aux questions...
1) A quel emplacement actuel se trouvait le restaurant Malreux
2) En quelle année fut créée la compagnie de 18 hommes des sapeurs-pompiers de Villevaudé?
En quelle année fut-elle dissoute (l'effectif tant tombé à 1 pompier...) pour être rattachée à Claye Souilly, centre de secours 21, qui lui-même dépendait du centre d'intervention principal de Lagny ? (photo)
3) En quelle année la SNCF transforma le sanatorium du château du Poitou en maison de retraite pour ses employés?
Les réponses:
1) cette photo a été prise à l'angle de la rue de la Tour et de l'impasse du château Den Hollander.
2) La compagnie des sapeurs pompiers de 25 hommes de Villevaudé a été créée en 1876.. et a été dissoute en 1935.
3) Le sanatorium du château du Poitou a été transformé en maison de retraite SNCF en 1966/67
Pour en savoir plus à propos de la famille Marleux qui tenait le restaurant rue de la Tour:
Source: livret "ON LES AURA" Bibliothèque de la Roseraie
Avril 1940. Louise, trente ans, court, nue, sur le boulevard du Montparnasse. Pour comprendre la scène tragique qu'elle vient de vivre, elle devra plonger dans la folie d'une période sans équivalent dans l'histoire où la France toute entière, saisie par la panique, sombre dans le chaos, faisant émerger les héros et les salauds, les menteurs et les lâches... Et quelques hommes de bonne volonté. Il fallait toute la verve et la générosité d'un chroniqueur hors pair des passions françaises pour saisir la grandeur et la décadence d'un peuple broyé par les circonstances. Secret de famille, grands personnages, puissance du récit, rebondissements, burlesque et tragique...
Le talent de Pierre Lemaitre, prix Goncourt pour Au revoir là-haut, est ici à son sommet.
Avec sa trilogie, Pierre Lemaitre aura fait de l'entre-deux-guerres une fresque puissamment émouvante et saisissante de vérité.(Le Monde des Livres)
Homologué ou non, chirurgical ou non, jetable, réutilisable, en tissu lavable... avec ou sans filtre, fabriqué par des anonymes ou des grandes marques, en Chine, en Europe, en France ou à Villevaudé... on peut cependant espérer que "le masque" ne deviendra pas le nouvel accessoire de mode !!
Sans vouloir rivaliser avec Louis Vuitton, et après avoir parcouru de nombreux tutoriels, j'ai opté pour un modèle facile à réaliser, à la main ou avec une machine à coudre. De plus pour l'avoir essayé, il a un port très confortable, surtout avec la chaleur et les lunettes..
1) Découper deux carrés de tissu de coton, (celui qui sera côté visage sera de préférence blanc) de dimension 21 X 21 cm
Sur le côté que l'on déterminera le bas du masque, on fait un ourlet: donc on a maintenant environ 20 cm X 21
2) Placer les deux pièces endroit contre endroit
3) Épingler, et procéder à la couture des trois côtés
4) Retourner l'ouvrage et on repasse
5) Le bas du masque est donc ouvert pour vous permettre de placer un kleenex ou filtre afin de renforcer la "barrière"
6) Plier et repasser à environ 4 cm du haut
7) Faire 3 plis selon ce modèle ( on peut en faire deux seulement). Il doit rester un bande de 3 cm environ en bas
8) Piquer
9) L'élastique ... 18 à 20 cm selon la taille de la tête.... et prendre soin de ne pas le gaspiller car c'est une denrée pas très trouvable en ce moment.. On peut le remplacer en attendant par des biais ou liens divers en tissu..
Respectez les mesures d'hygiène: lavez-vous les mains avant de le porter et après toute manipulation... ne le touchez plus le temps que vous le porterez, même si c'est quelque peu fastidieux!!!
Respectez les mesures d'hygiène : lavez le masque avant de le porter, lavez-vous les mains avant et après toute manipulation..... ne le touchez plus le temps que vous le portez, même si c'est fastidieux ...
Afin d'éviter toute dépense d'énergie inutile en machine, vous pouvez le faire bouillir (stériliser) dans une casserole que vous destinerez à cet usage...
Film d’animation de René Laloux (1973) D’après le roman de Stefan Wul, « Oms en série » Adaptation, scénario et dialogues : René Laloux et Roland Topor Dessins originaux : Roland Topor Graphisme des personnages : Josef Kabrt Graphisme des décors : Josef Vanä Production : Les films Armorial - Paris / Service de la recherche ORTF – Paris / Ceskoslovensky Filmexport - Prague Musique : Alain Goraguer Studio d’enregistrement : Davout Marignan
Synopsis
Sur la planète Ygam vivent les Draags, géants de 12 mètres de haut, à la civilisation très avancée. D'une exploration spatiale, ils ont ramené les Oms qu'ils ont découverts sur une planète dévastée, et qu'ils ont adoptés comme minuscules animaux domestiques…
Tiwa, une enfant Draag, adopte un petit Om dont la mère a été tuée par des jeunes Draags qui jouaient avec elle. Baptisé Terr, il grandit en profitant des leçons que sa jeune maîtresse reçoit à l’aide d’écouteurs. Devenu adolescent, Terr réussit à s'enfuir en emportant un précieux casque d'enseignement. Il rejoint le groupe d'Oms sauvages contre lesquels les Draags lancent régulièrement des opérations de "désomisation".
S'instruisant peu à peu, les Oms sauvages réussissent à tuer un Draag ; ce qui déclencle la guerre. Terr retrouve le cimetière de fusées des Draags et réussit à gagner la planète sauvage, où il découvre le secret de la méditation de ces derniers – nécessaire à leur survie – parvenant ainsi à jeter le désarroi au sein de leurs rites sacrés.
Les Draags frappés au plus profond d’eux-même et convaincus de l'intelligence des Oms, leur accordent enfin leur estime tout en souhaitant leur collaboration. Dès lors, Terr et son peuple vivront en paix sur la Planète Sauvage, respectés des androïdes géants qui deviendront leurs amis.
Commentaire
Film d’aventure fantastique, mêlant science-fiction et philosophie optimiste de la condition humaine, La planète sauvage de René Laloux met fin au cinéma d’animation réservé à des initiés privilégiés en trouvant une bonne programmation commerciale.
Le film résulte de la collaboration de René Laloux (Les dents du singe, Les temps morts, Les escargots) et de Roland Topor (dessinateur, écrivain, Grand prix de l'humour noir).
En 1966, René Laloux conçut avec Topor un scénario adapté du roman de Stefan Wul (Oms en série). Ainsi voit le jour La planète sauvage, long-métrage d’animation réalisé en coproduction franco-tchèque, signée en 1967. Le film comporte 1073 plans et réunit toutes les exigences d’un spectacle attrayant. Sa qualité artistique démontre que la production et la distribution de films d’animation, en France, peuvent rivaliser avec le cinéma en prise de vues réelles. La réalisation mobilisa une équipe de vingt-cinq personnes durant trois ans et demie aux célèbres studios Jiri Trnka, à Prague.
L’animation emploie la technique du papier découpé et tous les décors du film ont été réalisés à l’encre. René Laloux, dans un entretien accordé à la revue Cinéma Pratique (n° 128 - Janvier 1974), déclarait que « le dessin animé sur cellulo possède de merveilleuses possibilités quant au mouvement, mais il est limité sur le plan graphique. Avec ma technique du papier découpé phase par phase, j’obtiens la même souplesse d’animation tout en bénéficiant d’une qualité graphique bien supérieure puisqu’elle restitue la beauté et le raffinement du trait et des couleurs du dessin original ! ».
Récompenses
Les dessins sont réellement superbes et l’atmosphère de ce chef-d’œuvre d’animation est tout simplement fascinante. Il fut présenté au Festival de Cannes 1973, où il obtint le Prix Spécial du Jury. Il fut ensuite couronné au Festival de Science-Fiction de Trieste puis ensuite au Festival d'Atlanta.
En ces moments de confinement, notre cerveau vagabonde d'un sujet à l'autre... Les péchés capitaux trouvent leur source au début du IVe siècle... Au XIIIe siècle, saint Thomas d’Aquin limite les péchés capitaux à sept :
L'orgueil est l'estime déréglée de soi-même, qui fait qu'on se préfère aux autres et qu'on veut s'élever au dessus d'eux.
L'avarice est un attachement désordonné aux biens de la terre, et principalement à l'argent.
L'impureté est une affection déréglée pour les plaisirs de la chair.
L'envie est une tristesse que l'on ressent à la vue du bien du prochain, ou une joie coupable du mal qui lui arrive.
La gourmandise est un amour déréglé du boire et du manger.
La colère est un mouvement déréglé de notre âme, qui nous porte à nous venger, ou à repousser avec violence ce qui nous déplaît, à nous inciter à la calomnie...
La paresse est un amour déréglé du repos, qui fait qu'on néglige ses devoirs d'état et de religion, plutôt que de se faire violence
En ce dimanche des Rameaux, pour le moral, pour développer les endorphines, pour se protéger moralement et physiquement, appliquons ce conseil de Socrate...
A l'école, il y a les bons élèves ... et il y a Gustave. Depuis son radiateur au fond de la salle, cet éternel rêveur scrute les oiseaux dans la cour ou les aiguilles de la pendule qui prennent un malin plaisir à ralentir. Il aimerait rapporter des bonnes notes à sa mère, mais ce sont surtout les convocations du directeur qu'il collectionne. Pourtant, Gustave est travailleur. II passe plus de temps sur ses devoirs que la plupart de ses camarades, mais contrairement à Joséphine, sa grande sœur pimbêche et première de classe, cela ne rentre pas. Pire, certains professeurs commencent à le prendre en grippe et à le croire fainéant. Parfois, il suffit d'un rien pour qu'une vie bascule du bon côté... Un roman universel, vibrant d'humour et d'émotion.
Aurélie Valognes croque la famille contemporaine avec humour et émotion. Ses comédies, Mémé dans les orties, En voiture, Simone !, Minute, papillon !, Au petit bonheur la chance ! et La Cerise sur le gâteau, véritables phénomènes populaires, ont conquis le cœur de millions de lecteurs et lectrices à travers le monde : des best-sellers qui se partagent de génération en génération. Dans son nouveau livre, Né sous une bonne étoile, la romancière, qui fait partie des cinq auteurs français les plus lus en France, confirme sa sensibilité et son talent.
À Stockholm, un SDF est retrouvé mort dans un parc du centre-ville certains de ses doigts et orteils amputés. Dans les semaines précédant sa mort, on l' avait entendu divaguer au sujet de Johannes Forsell, le ministre de la Défense suédois. S' agissait-il des délires d' un déséquilibré ou y avait-il un véritable lien entre ces deux hommes ? Michael Blomqvist a besoin de l' aide de Lisbeth Salander. Mais cette dernière se trouve à Moscou, où elle a l' intention de régler ses comptes avec sa soeur Camilla.
La fille qui devait mourir de David Lagercrantz dans la série Millénium est un cocktail redoutable de scandales politiques, jeux de pouvoir à l' échelle internationale, technologies génétiques, expéditions en Himalaya et incitations à la haine sur Internet qui trouvent leurs origines dans des usines à trolls en Russie.
David Lagercrantz, né en 1962, est journaliste et auteur de plusieurs livres.
C'est avec Indécence manifeste (2009) qu'il affirme véritablement sa notoriété sur la scène littéraire suédoise.
Sont déjà parus en France : Moi, Zlatan Ibrahimovi (JC Lattès, 2011) et Millénium 4, Ce qui ne me tue pas (Actes Sud, 2015).
La situation est grave et chacun de nous se doit de concentrer ses efforts au respect des consignes. Limiter et enrayer la propagation du coronavirus, çà dépend de nous.
Quelques conseils en images des gestes, des comportements à adopter.. (Cliquez sur les images pour avoir une meilleure vision)
N'hésitez pas à écrire des commentaires... qui seront publiés après lecture.
BOULEVERSANT TÉMOIGNAGE D’UN RESCAPÉ DU CAMP DE MAUTHAUSEN
José Tomas Espejo est né en 1914, dans la province de Cordoue, en Espagne. Il a été déporté au camp de concentration de Mauthausen et portait le matricule 4452. Avant de décéder en 1996, il a livré son témoignage à Manu, son fils, et Martine, sa belle-fille.
En 1936, José a 22 ans lorsque la République espagnole est portée au pouvoir par des élections démocratiques. Il est simple ouvrier agricole et analphabète. En effet, pour accéder à l’école – qui n’était pas publique – il y avait à cette époque deux conditions obligatoires et indissociables : fréquenter l’église et avoir de l’argent. Or, sa famille n’était pas fortunée.
La victoire du Front populaire a provoqué le mécontentement de la droite, essentiellement composée de monarchistes, fascistes et conservateurs de l’ancien régime. Ces opposants tentent de renverser le pouvoir par un putsch les 17 et 18 juillet 1936. Bien que raté, ce coup d’état déclenchera une guerre fratricide et sanglante, qui durera trois ans. Les opposants sont soutenus par Hitler et Mussolini.
GUERNICA
Le sol espagnol servira de terrain expérimental pour les armées de l’Allemagne nazie. Le terrible bombardement de Guernica, au Pays basque en avril 1937, en témoigne : 44 avions de la légion Condor et 13 avions de la légion italienne fasciste frappent.
La tragédie sera immortalisée par le célèbre tableau de Picasso.
Dans sa ville d’Andalousie, José se porte volontaire pour lutter contre l’injustice qui règne alors sur le peuple. Il est rejoint par son frère et bien d’autres encore. Ainsi, avec quelques autres compagnons, il tuera des taureaux de combat afin de distribuer de la viande aux gens affamés. De même, lui et ses compagnons sont chargés de surveiller l’arrivée des soldats franquistes, qui remontaient du Maroc espagnol pour se diriger vers Madrid. On le voit alors en faction avec une mitraillette tout en haut du clocher de l’église de Palma del Rio.
Avec son frère, il s’engage ensuite dans l’armée républicaine. Au front, sur Madrid, José est blessé à plusieurs reprises : au fessier, à la cuisse et au front ; ce qui lui vaudra une cécité provisoire. Il poursuivra néanmoins le combat et se retrouvera en Catalogne. Mais la victoire des franquistes à Barcelone, de nouveau aidée par la Luftwaffe, mettra fin à l’espoir des Républicains. S’en suit alors l’épisode de la « retirada » (retraite), qui jettera sur les routes de l’exil près d’un demi-million d’hommes, femmes et enfants de tous âges.
ARRÊTÉ EN FRANCE
José arrive en France en février 1939. Il est emprisonné dans un camp installé sur la plage de Saint-Cyprien (Pyrénées orientales). Quand éclate la Seconde Guerre mondiale, convaincu du bien-fondé de ses convictions républicaines et antifascistes, il s’engage dans l’armée française et se trouve mobilisé sur le front, dans le Nord-est de la France, avec la 27e compagnie de travailleurs étrangers. C’est dans la région d’Epinal (Vosges) qu’il est arrêté le 19 juin 1940 par la Gestapo, sur dénonciation d’un Espagnol franquiste. Il sera incarcéré à Chaumont (Haute-Marne) avant d’être transféré au stalag 6-F, à Bocholt, près de la frontière hollandaise, puis en Allemagne : au stalag 6-C, à Bathorn, et au stalag 12-D, à Trèves.
MAUTHAUSEN : MATRICULE 4452
Le 31 mars 1941, il est transféré au camp de Mauthausen, en Autriche, où il arrive le 3 avril. C’est ici qu’il va découvrir et vivre l’horreur absolue.
Dans ce camp, classé niveau III, c’est-à-dire très dur au niveau des conditions de détention concentrationnaire national-socialiste puisque consacré à l’extermination par le travail, José devient alors le matricule 4452.
Il y a vécu des moments à la limite du soutenable, assistant même à des scènes dépassant l’entendement humain qu’il répugne à relater.
Ainsi, avec ses compagnons d’infortune, il dut participer à des séances de présence obligatoire, alignés par block, sur la place d’appel du camp. Ils restaient nus, des heures durant et sous des températures en dessous de zéro. Ceux qui ne résistaient pas et qui s’écroulaient étaient envoyés à la chambre à gaz puis transportés au four crématoire du camp. Ceux qui mouraient sur place allaient directement au four crématoire. Lui et ses camarades connurent la peur… qui les faisait s’uriner sur eux-mêmes.
L'ESCALIER DE LA MORT
Le camp avait été construit par les nazis en mars 1938, à proximité d’une carrière de granit. Dans celle-ci, le matricule 4452 a accompli des travaux surhumains. Avec ses camarades, il devait ramener des blocs de granit à même le dos. Par centaine, ils empruntaient un escalier de 186 marches, surnommé « l’escalier de la mort ».
Selon l’un des accusés au procès de Mauthausen (Dachau, 1946), « cette construction monumentale avait pour principale fonction d’épuiser les détenus ». Les SS lâchaient parfois leurs chiens sur les déportés qui arrivaient, chargés, en haut des marches. Sans aucune possibilité d’échapper à ces jeux effroyables, les détenus s’écroulaient alors dans un bain de sang ou dévalaient la pente en sens inverse sur la colonne qui les suivait, entraînant ainsi une grande majorité d’entre eux dans une mort inéluctable. Ceux qui avaient le malheur de tenter de résister étaient frappés à coups de bâtons sur le dos ; ce fut notamment le cas du matricule 4452.
RÉSISTER, GARDER ESPOIR
La nourriture était bien sûr insuffisante. Les maladies proliféraient, les vêtements et les chaussures n’étaient pas à la hauteur des températures à supporter. La médecine était quasi inexistante. Ceux qui étaient considérés comme médicalement irrécupérables, allaient tout droit à la chambre à gaz et leurs corps étaient transportés au four crématoire.
Les camps annexes, qui dépendaient du camp central de Mauthausen, se sont développés afin de répondre aux besoins de l’industrie de guerre allemande. Le matricule 4452 s’est ainsi retrouvé dans un commando, au camp annexe de Steyr, à fabriquer des roulements à bille. Tout comme d’autres détenus, il réussit à ramener, au nez et à la barde des gardiens, des petites pièces qu’il avait fabriquées et cachées dans ses vêtements. Sur la photo José est gauche avec au centre Eduardo, cité dans l'hommage.
Dans le block où il dormait, ces pièces étaient ensuite huilées, placées dans des morceaux de chiffon, eux-mêmes huilés. Après avoir démonté des lattes du parquet, ils cachaient ce petit pactole qui leur servirait plus tard à la libération du camp.
Mais en attendant cette heure, que tous espéraient ardemment, il fallait résister, ce qui nécessitait aussi de la solidarité. Cette valeur humaine joua un grand rôle à Mauthausen. Celui qui était malade pouvait compter sur ses compagnons : chacun lui donnant une infime partie de sa maigre pitance. Mais ce simple geste alimentait le malade tout en lui permettant de continuer à espérer. Quelques uns chantaient ou déclamaient des poèmes…
UN EXEMPLE D'ENTRAIDE
Un jour qu’il travaillait en forêt, le matricule 4452 a été amené à protéger l’un de ses camarades. Eduardo, le plus jeune capitaine de l’armée républicaine durant la guerre d’Espagne, était épuisé. Il n’avait plus la force d’abattre les arbres, tâche à laquelle on les avait assignés. Assis contre un arbre, caché par les vestes de ses compagnons, Eduardo se reposait à l’insu des gardiens SS pendant que ses camarades prenaient son quota de travail à leur charge.
Les gardiens utilisaient bien sûr les compétences et savoir-faire des détenus. Un tailleur fut affecté à l’atelier de couture du camp pour les tenues des déportés et celles des SS. Il réussit à sortir des pièces de tissus et le matricule 4452 put ainsi se confectionner un fanion symbolique aux couleurs du drapeau républicain espagnol (mauve, rouge et jaune).
LIBÉRATION DU CAMP : DES COMPTES A RÉGLER
Le camp est libéré le 5 mai 1945 par les Américains. José y a passé 4 ans, 1 mois et 2 jours.
Les libérateurs demandèrent aux prisonniers de ne pas régler leurs comptes, des procès devant avoir lieu. Mais José et d’autres réunirent les pièces qu’ils avaient cachées, montèrent des armes afin d’exécuter tous les SS encore sur place ou qui tentaient de se dissimuler.
Le 30 mai 1945, comme bon nombre de déportés, José fut rapatrié à l’hôtel Lutetia, boulevard Raspail à Paris, hôtel réquisitionné comme centre administratif et de désinfection pour les survivants des camps de concentration. Il ne pesait plus que… 38 kg.
Mais, après avoir traversé toutes ces épreuves, José était un apatride et ne pouvait pas rentrer en Espagne. C’est à Rosny-sous-Bois (93) qu’il a pu, avec une vingtaine de ses congénères, reprendre progressivement une vie normale. En effet, cette commune, comme tant d’autres en France, avait décidé d’accueillir quelques dizaines de déportés et de les aider à se reconstruire.
PARDONNER LUI EST IMPOSSIBLE
C’est en juillet 1962, soit 26 ans après avoir quitté le sol natal, qu’il a pu enfin y retourner, revoir sa famille, sa mère. Mais pour cela, il a dû opter pour la nationalité française.
José et sa femme Marguerite
José a fait partie d’une association pour la mémoire de la déportation et le pardon. La mémoire, il l’a entretenue toute sa vie durant, mais il a toujours refusé de pardonner : il avait vécu trop de choses impardonnables.
EN SON HOMMAGE
Ce témoignage a heureusement été consigné par son fils et sa belle-fille avant qu’il ne rende son dernier soupir en 1996.
LA CONCLUSION DE MARTINE
« Je tiens à dire que ce simple ouvrier agricole, matricule 4452 au camp de Mauthausen, apatride pour son pays natal à la sortie de ce camp, se prénommait José. C’était le père de Manu, mon époux, le grand-père de nos fils, Sébastien et Vincent, de Michel, notre neveu, l’arrière-grand-père de nos petits-enfants Darrel et Ethan, de Paco notre petit-neveu. Merci à vous tous d’avoir pris connaissance de son tragique parcours ». Martine, membre de l'association Loisirs et culture, qui a accueilli au Pin l'expo photos consacrée à ce camp de concentration autrichien, avait apporté le vêtement de déporté que son beau-père avait conservé.
Elle nous invite à écouter la chanson « Nuit et brouillard » que Jean Ferrat a écrite en hommage à ses parents, morts en déportation, ainsi qu’à tous les autres déportés, victimes ou rescapés des camps de concentration nazis. S. Moroy
Trois nouvelles questions auxquelles il vous faut trouver la réponse:
1) Quelle est la particularité de cette photo prise en 1924?
En 1924, la commune adhère au syndicat cantonal pour la distribution de l'énergie électrique. Des "lanternes électrique" furent placées dans les trois hameaux.
2) Quelle est la particularité de cette photo prise en 1925
En 1925, le téléphone est installé dans la commune. le circuit téléphonique Villevaudé-Claye est construit pendant le premier trimestre.. les numéros de téléphone sont 0 pour Montjay, 1 pour Bordeaux et 2 pour Villevaudé
3) A quel endroit se trouve ce panneau de bois représentant les armoiries de Villevaudé (1823)?
Le 14 mai 1823, le fils et la fille de Charles Bajot de Conantre épousent la fille et le fils de Philippe Laurent Symonet, écuyer, maire de Villers sous Chatillon (Marne). Villevaudé a adopté comme emblême les armoiries de ces deux familles encore sculptées sur le plafond en bois à l'entrée de l'église saint Marcel
Pas de réponses directes... seulement en messages privés !ou commentaires sur ce blog
Il n'y a pas de pièges!! Toutes les réponses sont en bibliothèque... ouverte au public les lundis et samedis de 10h30 à 12h30 et les mercredis de 16h à 19h...
L’Amicale de Mauthausen, déportés, familles et amis (Paris) a été invitée par l’association Loisirs et cultures (Le Pin) pour exposer des photos du camp autrichien de Mauthausen, l’un des camps de travail les plus grands et plus durs d’Europe.
Vous avez jusqu’au mercredi 11 mars pour les découvrir sur 30 panneaux dressés salle polyvalente Nicole-Paris, au Pin.
Camp de Mauthausen : 122 767 morts enregistrés et des dizaines de milliers d’autres non immatriculés.
DES PHOTOS VOLÉES AUX SS
Jusqu’à sa libération par les Américains, le 5 août 1945, les photos étaient exclusivement prises par les SS, qui cherchèrent ensuite à les détruire.
Mais un prisonnier espagnol, Francisco Boix, matricule 5185, réussit avec l’aide de ses camarades à dérober plusieurs clichés réalisés entre 1940 et 1945. Ces derniers permettront de témoigner de l’enfer et des crimes perpétrés à Mauthausen, considéré par les nazis comme l’un des camps les « plus rentables ».
Il a été construit en 1938 et son emplacement choisi à cause de la carrière de granit de Wienergraben, qui fut exploitée jusqu’en 1942. Cinquante camps annexes situés en Autriche et dans le sud de l’Allemagne dépendaient du camp de Mauthausen-Gusen et utilisaient des prisonniers comme main-d’œuvre, soit 85 000 au total.
C’était un camp de niveau III, c’est-à-dire parmi les plus durs destinés aux ennemis politiques du Reich, plus particulièrement conçu pour l’élimination par le travail. Les premiers prisonniers furent des Espagnols de l’armée républicaine (donc contre Franco). Des prisonniers russes y afflueront après l’invasion de la Russie par les Allemands, en juin 1941.
DES FEMMES DANS LE CAMP, UNE RÉALITÉ MÉCONNUE
A l’origine, le camp de Mauthausen était destiné uniquement aux hommes. Mais les photos prises par les Américains à sa libération ont révélé la présence de femmes, un camp à leur intention y ayant été ouvert en septembre 1944 avec des détenues d’Auschwitz. Jusqu’à la fin de la guerre, on y dénombrait ainsi 4000 femmes de différentes nationalités. Une minorité d’entre elles étaient des prostituées, issues du camp de Ravensbrück et exploitées à partir de 1942 dans les bordels de Mauthausen et de Gusen.
Les femmes atteintes de maladies vénériennes ou enceintes étaient renvoyées à Ravensbrück ou assassinées car « inaptes au travail ». Un cas de décès avéré concernait une femme sur laquelle on pratiqua un avortement forcé au 5e mois de sa grossesse. Plusieurs d’entre elles étaient soumises au travail forcé dans divers camps annexes, comme la fabrique de munitions de Hirtenberg ou de laine cellulosique de Lenzig. Un grand nombre de détenues, évacuées des camps de toute l’Europe, arrivèrent à Mauthausen en février 1945. Beaucoup de Hongroises ayant survécu aux marches de la mort se comptaient parmi elles.
S. Moroy
Exposition salle Nicole-Paris, Le Pin – Du dimanche 8 mars au mercredi 11 mars : 9 h 30 à 12 h et 13 h 30 à 17 h 30 – Entrée gratuite.
A l'occasion de la Journée Internationale des Droits des Femmes, la série CULOTTÉES a débarqué sur FRANCE 5 samedi 7 mars. Rendez vous aujourd'hui dimanche 8 à 18h30, 20h45 et 22h20 puis du lundi au vendredi à 11h40, avec rediffusion vers 22h30.. (Toujours sur FRANCE 5.. séquences de moins de 5 min)
30 portraits de femmes qui ont fait voler en éclat les préjugés et changé le monde à leur manière.
La série ne fera pas partie des programmes pour enfants de France 5, car elle s’adresse à un public plus large. Il est à noter que la présence d’un adulte aux côtés des plus jeunes est recommandée, certains sujets tels que le sexisme, les violences faites aux femmes, le harcèlement sexuel pouvant les choquer.
Adaptation des BD de Pénélope Bagieu (Gallimard 2016) , réalisée par Mai Nguyen et Charlotte Cambon, produit par Silex films avec la participation de France Télévisions.
Les culottées sont disponibles à la bibliothèque, empruntez-les ou à défaut réservez-les..
Tome 1: Guerrière apache ou sirène hollywoodienne, gardienne de phare ou créatrice de trolls, gynécologue ou impératrice, les Culottées ont fait voler en éclats les préjugés. Quinze portraits de femmes qui ont inventé leur destin.
Tome 2: Sonita, rappeuse afghane et exilée militante ; Thérèse, bienfaitrice des mamies parisiennes ; Nellie, journaliste d'investigation au XIXe siècle ; Cheryl, athlète marathonienne ; Phulan, reine des bandits et figure des opprimés en Inde... Les Culottées ont fait voler en éclat les préjugés. Quinze nouveaux portraits drôles et sensibles de femmes contemporaines qui ont inventé leur destin.
Pénélope Bagieu naît en 1982 à Paris, quelques mois avant la parution originale de Sacrées Sorcières. Après avoir créé en 2007 Ma vie est tout à fait fascinante, un blog dessiné dont la publication prolonge le succès en librairie, elle dessine les aventures de Joséphine et multiplie les illustrations pour l'édition et la presse. En 2015, elle signe California dreamin' (Harvey Award 2018), puis rencontre un succès retentissant avec les deux tomes de Culottées, Eisner Award du meilleur livre étranger en 2019, traduits en 17 langues.
Hommage à Claire Brétecher, première vedette féminine de la BD, décédée le 10 février 2020.
Tintin... Spirou.. Pilote.. l’Echo des Savanes.. Le Nouvel Obs.. Les frustrés.. Agrippine .. vous la connaissiez forcément..
Agrippine et l'ancêtre,
Agrippine et les inclus
Agrippine prend vapeur
Les combats d'Agrippine
Claire Bretécher, première femme dessinatrice du 9e art. Une femme de talent, libre et fière de l'être, une artiste sans tabous ni normes, vraie et authentique.... comme on les aime. (Commentaire de Serge Moroy)
Les culottées, Tomes 1 et 2, Des femmes qui ne font que ce qu'elles veulent, Pénélope Bagieu
Des romans
Les étincelles, Julien Sandrel
Est-ce que tu danses la nuit... Christine Orban
Vanda, Marion Brunet
En ce moment à la bibliothèque, vous pouvez visiter l'exposition "La femme dans le XXe siècle": un premier volet qui vous renseignera sur le choix des prénoms, l' alimentation, les films et séries, chansons et chanteurs préférés, lecture, sport et loisirs... famille, nombre d'enfants ... En cette année de la femme, de nombreux ouvrages sont à emprunter.. N'hésitez pas à nous soumettre vos suggestions
"LA PART VISIBLE DES CAMPS" Mauthausen, l'un des camps de travail les plus grands et les plus durs en Europe occupée, classé de niveau III, destiné à l'élimination par le travail. Ne manquez pas cette exposition, samedi 7 mars après midi, dimanche 8, lundi 9, mardi 10 et mercredi 11 mars matin et après midi. Organisée pour le 75ème anniversaire de la fin de la seconde guerre mondiale, par l’Amicale des déportés de MAUTHAUSEN et l’association « Loisirs et Culture » du Pin. Salle Nicole Paris, Le Pin
On peut lire dans un Bulletin Communal de Villevaudé, quelques pages d'émouvants souvenirs racontés par monsieur Sabathier, que les anciens ont bien connu. Il habitait rue de la mare au hameau de Bordeaux..
NOUS SOMMES EN 1900
Le vignoble, florissant sur nos coteaux dans la plus grande partie du siècle précédent, est quasi-abandonné. Mis à mal par le phyloxéra, il est également concurrencé par l'apport vers la capitale des vins du midi, plus riches en alcool, plus transportables et de conservation plus longue.
ll reste bien quelques parcelles de vigne çà et là, que l'on vendange encore jusqu'en 1905-1906.
les arbres fruitiers de plein vent, pommiers, pruniers (reines claudes, questch) ont pris la relève de la vigne.
Dans la plaine, pas de changement sur la fin du siècle précédent: mêmes méthodes de culture, peu d'engrais, pas d'herbicide. On échardonne toujours à la main.
On note deux grosses fermes, l'une à Villevaudé de 220 ha, l'autre à Bordeaux de 110 ha, ainsi qu'un bon nombre de petites et moyennes exploitations dans chacun des trois hameaux.
En grosse culture:
A Bordeaux,
Une exploitation de 110 ha avec 10 chevaux et 20 bêtes à cornes
Une exploitation de 20 ha avec 3 chevaux et 6 bêtes à cornes
Une exploitation de 5/6 ha avec un cheval.
A Montjay:
Une exploitation de 30 ha avec 6 chevaux et 6 bêtes à cornes
Une exploitation de 15 ha avec 2 chevaux et 6 bêtes à cornes
Une exploitation de 10 ha avec 3 chevaux et 3 bêtes à cornes
A Villevaudé:
Une ferme de 220 ha comptant 25 chevaux, 20 laitières et 4 bœufs de travail LA PRODUCTION:
Céréalière: Blé, avoine, seigle, betterave fourragère, luzerne (en grosses cultures) et pomme de terre à fécule, sur une superficie importante, par la ferme de Villevaudé qui approvisionne une féculerie à LE PIN
Laitière: Le lait est consommé par les habitants qui vont le chercher matin et soir à la ferme. Il n'existe pas de ramassage de lait. Le surplus de la production est transformé en beurre ou fromage, qualité Brie, à Bordeaux notamment, et vendu aux habitants.
Légumière et fruitière: Elle est réservée aux petits exploitants. Il s'agit plus spécialement de fraises, choux de Bruxelles, cornichons. Elle est écoulée sur les marchés de la région et aussi sur Paris.
L'EMPLOI - SON ÉVOLUTION
L'artisanat est présent dans les trois hameaux:
A Villevaudé, un artisan maçon
A Montjay également un artisan maçon
A Bordeaux, un artisan menuisier
les trois utilisant un personnel réduit.
Deux distillateurs ambulants, l'un à Montjay, l'autre à Villevaudé: pendant un mois ou plus, ils distillent rfruits et marc de raisin des producteurs bénéficiaires du privilège des bouilleurs de cru. L'industrie automobile, née du siècle dernier, se développe, mais notre commune ne connaitra guère que quelques usagers en 1913
Sources : Bulletin Municipal 1986
La présentation n'est pas des plus soignées... le but étant de rendre ce récit le plus lisible possible..sans pour cela recopier le texte...Y. Godefroy
Dans les actes d'État Civil à l'année 1829, on peut lire : " L'Horloge a commencé à sonner l'heure, le premier octobre 1829 à 7 heures du soir. Elle a été donnée à la commune de Villevaudé par Madame La Baronne Depercy, de Bordeaux." Il s'agit très certainement de l'horloge de l'église, évènement très important pour l'époque puisque personne n'avait l'heure précise…
Avançons jusqu’en 1977: Le bureau de bienfaisance est maintenant nommé BAS (Bureau d’Aide Sociale)
Le premier repas réunissant 30 seniors se tient au café du Petit Bordeaux car il n’y avait pas encore de salle communale. C’est l’époque des premiers colis de Noël..
En décembre 1980, ce sont messieurs Dirk Den Hollander et Harvengt qui nous ont quittés depuis peu qui se chargent de la décoration de la salle du Mille Club pour le repas de Noël et les noces d’or de Madame et monsieur Bonjour !!
En 1983, en plus du repas de Noël se mettent en place divers projets : permanences, aides ménagères, aides pour le branchement du « tout à l’égoût », une journée de vente et échanges de vêtements.
En 1984, les 23 et 24 juin on assiste à la première « Foire à la ferraille et aux occasions » (qu’on appelle aujourd’hui Brocante, Vide grenier… puces…) sur le stade de Montjay-la-Tour.
Ce sont aussi les premières sorties : avec les recettes de la vente de l’année précédente, les seniors sont conviés à deux spectacles: A Villeparisis « Le prix Martin » de Labiche au théâtre et à Paris l’opérette « L’amour à Tahiti » avec Georges Guetary et Maria Candido !! A noter que les transports sont financés par la maison de retraite SNCF de Villevaudé dirigée alors par monsieur Lafond.
Par ailleurs, les dossiers sont de plus en plus nombreux. A l’aide aux personnes âgées, s’ajoutent les allocations aux handicapés adultes,les allocations de compensation aux personnes infirmes, de la reconnaissance de soutien de famille… etc
Quatre enfants de Villevaudé sont inscrits à la crèche familiale de Villeparisis créée cette année-là.
La brocante prend de l’importance, elle se tient en 84 dans les rues de Montjay, dans les rues de Villevaudé en 85 et dans les rues de Bordeaux en 86 pour se dérouler par la suite dans le parc du château du Poitou.
En 1985, les sorties sont de plus en plus nombreuses et variées : Bateaux mouche, théâtre .. les seniors découvrent Bruges.
A partir de 1987, le rattachement au club du 3e âge André Burel de Claye Souilly permet des moments de convivialité partagés avec d’autres seniors : c’est ainsi que 5 personnes de Villevaudé bénéficient d’un séjour d’une semaine en Corse
En 1987, le Bureau de bienfaisance de madame la baronne Percy, le BAS devient le Centre Communal d’Action Sociale CCAS
De nouveaux services sont créés : le service bricolage mis à disposition des personnes âgées, la Télé alarme (qui équipe déjà 3 personnes) , les aides-ménagères et les aides à domicile
En 92, les seniors assistent le 4 octobre au goûter dansant et au repas de Noël au Mille Club, la salle des Merisiers n'étant pas encore construite ..
En 2001, les aînés du canton participent au 11e banquet à Charny dans le cadre du « club des 19 »créé en 1993 par le maire de Messy, Michel Cheverry.
En 2005, Les projets et réalisations se généralisent : Portage des repas à domicile, télé alarme.
En 2008, les goûters musicaux continuent, le repas de Noël réunit 140 convives, les bons d’achat du colis de Noël passent de 30 à 50 € par personne de plus de 65 ans, (on a le choix entre sucré et salé), les bons de chauffage de 150 à 175€ pour les seniors de plus de 75 ans.
En 2009, le prix de la télé alarme baisse de 24 à 21€, la carte imagi'R est subventionnée à 60€..
En 2010, Le CCAS instaure avec Apolo 7 le ramassage gratuit des administrés non véhiculés : un car est à leur disposition le mardi matin pour se rendre au centre commercial Carrefour de Claye Souilly et le vendredi matin pour aller au marché de Lagny.
Ce service existait déjà, pris en charge par la commune: il est à noter qu'en 1975, (suite à des difficultés rencontrées avec la société des cars), dans le but de rester en relation avec les communes voisines, le conseil municipal avait fait appel à un taxi collectif subventionné par la commune pour desservir:
Le mardi le magasin Carrefour
Le jeudi le marché de Chelles
Le vendredi le marché de Lagny
De plus, le CCAS participe à hauteur de 100€ (au lieu de 60) sur la carte imagin’R des lycéens et étudiants.
En février 2010, une grande innovation : deux défibrillateurs sont installés en mairie et dans la salle des Merisiers à Montjay.
Goûter de printemps avec le DJ Jean Jacques, croisière sur la Seine, colis, repas, brocante, etc etc et toujours l'aide sociale bien sûr qui est le fondement du CCAS
En 2012, un partenariat avec le cinéma Le Cinq de Lagny est mis en place: il permet aux seniors villevaudéens d'aller voir un film une fois par mois à tarif réduit.
Cette année, 150 colis sont distribués avec des bons d'achat de 50€ par personne, 66 foyers de plus de 75 ans bénéficient de bons de chauffage, 20 cartes imagi'R sont subventionnées.. sans compter le traitement des dossiers APA, adultes handicapés etc...
La liste n'est pas exhaustive, il serait prétentieux d'écrire en deux pages tout ce que le CCAS a mis en œuvre depuis qu'il existe...
Depuis 2013, l'équipe en place dont j'ai fait partie a essayé d'apporter sa pierre à l'édifice, c'est avec plaisir que j'y ai participé, animée par la volonté de faire avancer les choses.
Certes, si nous avons restreint le nombre des bénéficiaires des bons de chauffage et réduit le montant des bons d'achat de Noël, nous avons néanmoins réinstitué dès 2013 la gratuité du repas de Noël du conjoint de moins de 60 ans, organisé les rencontres du dernier jeudi du mois en début d'année 2017.
La mutuelle solidaire (suggérée par Cosimo Romano en 2013) permet depuis 2017 à bon nombre d'administrés de bénéficier de prestations intéressantes sur leur protection santé.
Depuis 6 ans j'ai été présente à tous les conseils de vie de la maison de retraite SNCF du château du Poitou; quelques résidentes ont pu adhérer à la bibliothèque . Depuis le 1e janvier 2019, c'est avec le goupe SOS (qui a racheté l'établissement) et grâce à l'animatrice Anne Marie K que nous avons établi des liens nouveaux... invitation aux rencontres du jeudi, invitation au château le 31 janvier 2019 et pourla fête de la musique des projets intéressants nous ont été présentés: Outre l'accueil en Ehpad, consultation médicale à distance, salon de coiffure, culture de légumes bio ouvert au public, crèche, réhabilitation de la petite maison de fonction en vue d'un accueil temporaire de personnes dans le besoin, partenariat avec les associations locales etc : autant de projets innovants et installation de structures dont pourraient bénéficier les villevaudéens: Evidemment nous avons proposé l'installation d'un kiné....
Le bureau travaille à un projet d'une sortie sur plusieurs jours au Puy du Fou, après les vacances d'été.
L'avenir ?
Sous quelles formes ? Tout est possible !! il suffit d'y croire et de le vouloir, d'utiliser son potentiel, ses idées, ses disponibilités. .. Continuer ce qui a été fait au fil des années …
Des idées? le prochain bureau du CCAS pourrait proposer l'installation de défibrillateurs à l'extérieur des bâtiments publics, et pas seulement à Montjay...Puisque j'y suis… une deuxième idée: Instituer la gratuité des "accompagnants" des personnes dépendantes au repas des seniors.. Une troisième: mettre à disposition des villevaudéens un tarif adhérent au centre culturel voisin (Villeparisis par exemple... comme le font déjà des communes voisines)… Plusieurs d'entre vous m'ont fait part de projets intéressants… Pour ma part çà n'engage que moi) et comme on ne travaille pas seul, je suis convaincue que la création d'une association pourrait permettre de pérenniser et dynamiser les actions et de mieux informer. Alors, allez-y !!
Boulogne sur mer
ON NE S'ARRÊTE PAS QUAND ON VIEILLIT ... ON VIEILLIT QUAND ON S'ARRÊTE
Le destin exceptionnel de Marguerite Steinheil, intrigante maîtresse de Félix Faure, ni coupable ni victime. Cataloguée "putain de la République", accusée de meurtre, traînée dans la boue, le traitement de Madame S. par la justice puis par l'histoire en dit long sur notre rapport à la sexualité, au pouvoir et à la liberté des femmes.
L'anecdote est célèbre : alors que le président Félix Faure agonise, sa " connaissance " s'est sauvée par l'escalier de service. Cette mort en épectase va changer le cours de l'affaire Dreyfus et bouleverser le destin de celle que l'on surnomme depuis la " pompe funèbre "... Intriguée par cette " putain de la République ", une journaliste recluse décide d'enquêter sur cette si mystérieuse Madame S. et sur les secrets d'un État français toujours aux prises avec les mêmes démons : antisémitisme, antiféminisme, petits arrangements entre amis et journaux avides de scandales. Sylvie Lausberg livre un passionnant thriller historique sur les traces volontairement effacées de Marguerite Japy-Steinheil, personnalité troublante qui sauvera sa tête grâce à un art virtuose du mensonge, un charme dévastateur et une profonde intelligence politique, restés ensevelis sous des torrents d'injures misogynes qui en disent long sur notre rapport au sexe, au pouvoir et aux femmes qui en jouent...
Sylvie Lausberg est historienne et psychanalyste, diplômée de l'Université Libre de Bruxelles, où elle enseigne actuellement la psychologie. En parallèle, elle poursuit depuis plusieurs années une carrière de journaliste indépendante. Également très impliquée dans la lutte pour l'égalité des sexes, elle est présidente du Conseil des Femmes Francophones de Belgique et membre du Conseil fédéral de l'Égalité des chances entre les Femmes et les Hommes.
Johnson, tombé du nid, est le seul survivant de sa fratrie. À bout de forces, le jeune corbeau est recueilli par Ritsuko, femme de ménage et mère célibataire, qui décide de le ramener chez elle au mépris de l'interdiction d'héberger des animaux dans son immeuble.
Bien lui en prend, car son fils adolescent, Yôichi, se passionne pour l'oiseau qu'il entoure de mille soins. Un jour, le gardien fait irruption chez eux et Johnson, que Yôichi avait caché sur le balcon, s'envole.
C'est le début pour lui d'une longue errance. Il sait qu'il ne peut retourner auprès de son ami et cherche à survivre dans une ville hostile.
Une rencontre va lui sauver la vie...
Durian Sukegawa, nom de plume de Tetsuya Sukekawa, est un romancier et poète japonais. Homme atypique, diplômé de philosophie, musicien et artiste de rue, il a de nombreuses fois défrayé la chronique, notamment avec son groupe l'Association des poètes qui hurlent - groupe de punk rock déclamant de la poésie contemporaine - ou une émission de radio prisée des jeunes qui trouvent en lui un interlocuteur à qui se confier. Après Les Délices de Tokyo (Prix roman du Livre de Poche en 2017) et Le Rêve de Ryôsuke, L'enfant et l'oiseau est son troisième roman traduit en français.
Un très grand du cinéma hollywoodien nous a quittés mercredi 5 février. Il avait eu 103 ans le 9 décembre.
L’acteur américain rayonnait incontestablement dans l’univers du western aux côtés de John Wayne, Gary Cooper et James Stewart, mais j’avoue que je l’ai toujours – et de loin - préféré aux trois autres, si bons fussent-ils.
Kirk Douglas a tourné avec les plus grands réalisateurs : Howard Hawks (La captive aux yeux clairs), Anthony Mann (Les héros de Télémark), René Clément (Paris brûle-t-il ?), John Sturges (Le dernier train de Gun-Hill), Stanley Kubrick (Spartacus), Brian de Palma (Furie), Richard Fleischer (Les vikings), etc. Tous ont su mettre en valeur son immense talent, livrant à des générations entières de cinéphiles de véritables pépites cinématographiques qui restent inoubliables. En France, la voix de Kirk était doublée par Roger Rudelle, une belle voix grave et pénétrante.
Outre sa célèbre fossette et ses yeux bleus, Kirk, c’était surtout une présence, une prestance, un regard ; bref une personnalité qui crevait littéralement l’écran, sublimée par une jovialité (quand le rôle s'y prêtait) et une énergie inébranlable. Vous avez bel et bien enchanté toute ma jeunesse de cinéphile et c'est grâce à vous que j'ai fini par aimer le genre western. Très grand respect Monsieur Kirk.
Quelle est la particularité de la photo 1 prise en 1900 ?
Réponse: On y voit la première boîte aux lettres qui a été posée sur la place des marronniers
2. Quel est le lien entre Montjay la Tour et la photo 2 ?
Réponse: La place des Vosges a été construite à l'emplacement de l'hôtel des Tournelles, propriété du Chancelier Pierre d'Orgemont, seigneur de Montjay, qui y mourut en 1389, et de son fils Pierre II, évêque de Paris...
Hôtel des Tournelles
3. Que peut-on dire de cette voiture qui stationne dans la grande rue en 1912 (photo 3)
Réponse: C'est la voiture publique de Villevaudé à Lagny, service de Monsieur Derozier. qui s'engage à faire un service régulier soit un départ le matin et retour le soir moyennant 0,50 de Bordeaux à Lagny, 0,55 de Montjay et 0,60 de Villevaudé pour un voyage.
Remarque: Il n'y a pas de pièges!! Toutes les réponses sont en bibliothèque...
Par un froid matin d'octobre, alors que la Grande Famine ravage le pays, la jeune Grace est envoyée sur les routes par sa mère pour tenter de trouver du travail et survivre. En quittant son village de Blackmountain camouflée dans des vêtements d'homme, et accompagnée de son petit frère qui la rejoint en secret, l'adolescente entreprend un véritable périple, du Donegal à Limerick, au coeur d'un paysage apocalyptique. Celui d'une terre où chaque être humain est prêt à tuer pour une miette de pain.
Après Un ciel rouge, le matin et La Neige noire, le nouveau roman de Paul Lynch, porté par un magnifique personnage féminin, possède une incroyable beauté lyrique. Son écriture incandescente donne à ce voyage hallucinatoire la dimension d'une odyssée vers la lumière.
Villevaudé ► Nouveau record d’affluence au loto d’hiver
Le traditionnel loto d’hiver de l’ALJ (Association loisirs jeunes de Villevaudé) a réuni 220 joueurs, petits et grands, samedi 25 janvier, dans la salle des Merisiers.
C’était la 26e édition et pour Yvette Godefroy, présidente de l’ALJ, un nouveau record. « Cette année encore, on a dû installer des tables in extremis et, cette fois, tous les cartons ont été vendus ; un signe qui ne trompe pas. Le loto étant un jeu très populaire, l’ambiance est toujours familiale et bon enfant ».
Pour la 3e année consécutive, les membres de l’espace jeunesse, ont animé les parties. Si les plus jeunes étaient sur scène pour tirer et annoncer les numéros, les plus grands étaient derrière un ordinateur, dont l’écran projetait les numéros de chaque partie, soit quinze en tout (une ligne, deux lignes et un carton plein).
Quentin a gagné un des deux beaux bouquets offerts par la Serre de Montjay
Décidément.... serait-ce de la chance? Quentin a encore gagné... cette fois c'est l'IPhone 8
Les participants ont tenté leur chance pour remporter les nombreux lots. Parmi les plus gros, un casque Bose, un blender soupe chauffant, une machine Sodastream, un Compagnon (robot Compagnon Moulinex aide-culinaire connecté) et le iPhone 8 de chez Apple, ont ainsi fait briller bien des yeux.
Il a aussi fallu départager par tirage au sort quelques gagnants d’une même partie. Délicate attention, le perdant repartait avec un lot de consolation. Les lots ont été achetés par l’association et le bénéfice de la soirée servira à financer ses futures activités en faveur des jeunes dont, bien sûr, le loto de l’an prochain.
ON NE S'ARRÊTE PAS QUAND ON VIEILLIT.... ON VIEILLIT QUAND ON S'ARRÊTE.... Mardi 21 janvier, une trentaine de seniors -36 exactement- ont fêté les rois et la nouvelle année.. dans le cadre des après-midis mensuels qui réunissent les seniors depuis deux ans ... Un moment de détente et de convivialité. Nous avons accueilli des nouveaux arrivants ... Et nous avons une pensée émue pour ceux qui nous ont quittés.
La ligne du temps exposée depuis 6 ans à la bibliothèque, ainsi que d'autres nombreux documents nous font découvrir l'histoire de Villevaudé, depuis l'an 1000... nous espérons que ce petit jeu vous incitera à venir à la bibliothèque chercher (et trouver) les réponses !!
Trois questions seront proposées sur facebook...les réponses seront publiées lorsque les lecteurs, blogueurs et autres nous les auront fait parvenir (en messages privés, ou directement à la bibliothèque)
1) Où se trouve cette guérite allemande, vestige bien conservé de la dernière guerre ?
Elle se trouve près de la "mare Banane", au bord du chemin des épinières,derrière le caravaning du Parc, au bord du chemin de randonnée dont l'accès est en ce moment condamné en raison de travaux de canalisations d'eau.. .
Il pourrait s'agir de la guérite allemande M1 Mle 1943, très courante, un peu partout en France et surtout sur l'atlantikwall et le Südwall, fabriquée par une entreprise française pour les allemands : Société Sanca, 3 bd Lafayette à Paris.
Des lecteurs ont apporté des précisions très intéressantes: Cette guérite a été découverte à Villevaudé dans les années 55/60 par des habitants de Villevaudé (que nous connaissons bien d'ailleurs), lors de l’extension du Poste EDF. Elle était placée près du transformateur pendant la seconde guerre mondiale.. afin que les allemands puissent exercer une surveillance constante de ce site stratégique. Celui que je nommerai Edmond l'a déplacée dans son GMC américain sur le chemin des épinières où elle se trouve encore.
2) Quelle famille, dont une rue porte le nom (inscrit sur l'Arc de Triomphe - enterré au père Lachaise) est à l’origine du bureau de bienfaisance (actuel CCAS) de Villevaudé ?
La rue de Percy joint la rue de Lagny à la rue de la Mare, au hameau de Bordeaux
C'est madame Percy, veuve du Baron PERCY, chirurgien de la Grande Armée de Napoléon ... mort en 1825 et enterré au Père Lachaise. Fidèle à sa mémoire, on pouvait souvent la voir rester en contemplation devant la toile du "champ de bataille d'Eylau" où la figure du chirurgien de la Grande Armée se détache au premier plan. Née à Belleville (Seine), Mme Percy mourut le 25 décembre 1840 à Bordeaux (Seine et Marne).
La commune de Villevaudé qui possède son acte de décès se souvient de ses bienfaits. Par testament olographe du 12 octobre 1833, elle lègue la somme de 10.000 francs pour les pauvres.
C'est Mme Percy qui est à l'origine du bureau de bienfaisance de Villevaudé, le CCAS actuel. Dans les actes d'État Civil à l'année 1829, on peut lire : " L'Horloge a commencé à sonner l'heure, le premier octobre 1829 à 7 heures du soir. Elle a été donnée à la commune de Villevaudé par Madame La Baronne Depercy, de Bordeaux." Il s'agit très certainement de l'horloge de l'église, évènement très important pour l'époque puisque personne n'avait l'heure précise!
3) La rue des écoles n’existe plus ... sous quel nom a t elle été rebaptisée ?
C'est l'actuelle rue Charles de Gaulle, rebaptisée ainsi en 1971 à la mort du général de Gaulle.
«Un esprit de la forêt. Voilà ce qu'elle avait vu. Elle le répéterait, encore et encore, à tous ceux qui l'interrogeaient, au père de Lucy, avec son pantalon froissé et sa chemise sale, à la police, aux habitants de la réserve, elle dirait toujours les mêmes mots, lèvres serrées, menton buté.
Quand on lui demandait, avec douceur, puis d'une voix de plus en plus tendue, pressante, s'il ne s'agissait pas plutôt de Lucy - Lucy, quinze ans, blonde, un mètre soixante-cinq, short en jean, disparue depuis deux jours -, quand on lui demandait si elle n'avait pas vu Lucy, elle répondait en secouant la tête : "Non, non, c'était un esprit, l'esprit de la forêt."» Dans une région reculée du monde, à la lisière d'une forêt menacée de destruction, grandit Nita, qui rêve d'ailleurs.
Jusqu'au jour où elle croise Lucy, une jeune fille venue de la ville. Solitaire, aimantant malgré elle les garçons du lycée, celle-ci s'aventure dans les bois et y découvre des choses, des choses dangereuses... La faute, le châtiment et le lien aux origines sont au cœur de ce roman envoûtant sur l'adolescence et ses métamorphoses. Éden, ou le miroir du paradis perdu.
Guermantes, jeudi 9 janvier 2003, il gelait à pierre fendre et Estelle, 9 ans, disparaissait en revenant de l’école. Comme chaque année depuis 2004, Éric Mouzin, son père 64 ans, a organisé en sa mémoire une marche qui a rassemblé 80 participants, samedi 11 janvier. La mise en examen, en novembre dernier, de Michel Fourniret, relance une affaire… qui piétinait depuis 16 ans.
Les participants se sont rassemblés à 15 h 30 devant la boulangerie de la place du Temps-perdu, où la fillette a été aperçue pour la dernière fois par un témoin. Le cortège s’est ensuite rendu devant le cerisier du Japon, planté en 2004 au cœur du lotissement où résidait Estelle. « Nous ne sommes pas encore au bout de la recherche, même si la mise en examen de Michel Fourniret est une bonne nouvelle » a reconnu Eric Mouzin, avant de lancer la chanson que Charlélie Couture avait écrite pour Estelle en 2003. Francine et Antoine sont venus de Coubert pour déposer un bouquet de roses : « cette histoire nous a bouleversés. Nous sommes là tous les ans, depuis le début » confie Antoine.
Coup d’accélérateur pour le dossier
Le transfert du dossier au TGI de Paris et surtout l’intervention de la juge d’instruction Sabine Kheiris suscite un nouvel espoir pour le père d’Estelle. Celui-ci a déclaré : « Le dossier a pris un nouveau départ, avec une structure d’enquête, une organisation et des moyens renforcés puisque les services d’enquête de la police nationale sont complétés par une section de recherches de la gendarmerie nationale. L’émulation entre services ne peut qu’être profitable à l’avancée du dossier ».
Il poursuit : « Il n’y a pas que la mise en examen d’un suspect, qui est un élément important, mais il y a aussi la reprise en main de tout le dossier : des analyses qui n’avaient pas été faites, que ce soient en téléphonie ou en prélèvements d’ADN. Tout cela constitue une reprise en main du dossier et il ne peut qu’en sortir quelque chose ».
En janvier 2019, Eric Mouzin avait assigné l’Etat en justice pour son « inorganisation et son inefficacité » dans l’enquête pour retrouver sa fille. « Depuis 17 ans, on a l’impression que l’Etat fait tout pour bloquer, s’opposer, retarder l’instruction de ce dossier » a t-il rappelé samedi après-midi.
Juste avant la marche silencieuse, l’association Estelle-Mouzin a tenu son assemblée générale à l’espace Marcel-Proust, toujours à Guermantes. Ouverte à tous, son but est de faire un point sur l’avancement du dossier et la bataille juridique qu’elle mène depuis le début avec ses avocats, Didier Seban et Corinne Hermann, afin que le dossier ne tombe pas dans l’oubli.
Créée en mars 2003, l’association comptait 119 adhérents en 2019. Elle se mobilise également pour les mineurs qui disparaissent chaque année en France (10 000 selon les derniers chiffres établis contre 40 000 précédemment). « Nous ne sommes plus à l’état de l’espoir, mais dans l’attente d’une seule et unique réponse : où est Estelle ? Pour l’association, le combat pour elle et les enfants disparus ne fait que commencer » a conclu Sophie Renon, sa présidente.
Comment progresser vers la liberté intérieure, celle qui nous permet d'aborder sereinement les hauts et les bas de l'existence et de nous affranchir des causes de la souffrance ?
Dès l'enfance, nous sommes entravés par les peurs, les préjugés et mille et un conditionnements qui nous empêchent d'être heureux. Se lancer dans l'aventure de la liberté intérieure, c'est défaire un à un tous ces barreaux, ceux que nous avons forgés nous-mêmes et ceux que la société de la performance, de la consommation et de la compétition nous impose.
Ce livre, écrit à trois voix par un psychiatre, un philosophe et un moine, nous invite à un itinéraire joyeux pour nous extraire de nos prisons et nous rapprocher des autres.
Médecin psychiatre à l'hôpital Sainte Anne (Paris)au sein d'une Unité de Psychothérapie Comportementale et Cognitive, spécialisée dans le traitement des troubles émotionnels, anxieux et dépressifs, Christophe André est l'auteur de nombreux best-sellers : L'estime de soi, Vivre heureux, Imparfaits, libres et heureux, (prix Psychologies Magazine 2006).
Philosophe de formation, Alexandre Jollien a passé dix-sept ans dans une institution pour personnes handicapées. Il est l'auteur de Éloge de la faiblesse (Éd. du Cerf, 1999), ouvrage couronné par l'Académie française, et de : Le Métier d'homme (2002) et La Construction de soi (2006), publiés au Seuil et qui ont tous deux connu un très grand succès.
Fils du philosophe Jean-François Revel et de l'artiste peintre Yahne Le Toumelin, Matthieu Ricard décide, en 1967, de s'établir dans l'Himalaya où il réside depuis presque cinquante ans et devient moine bouddhiste. Il est l'interprète français du Dalaï-lama depuis 1989 et l'auteur de nombreux ouvrages dont Plaidoyer pour l'altruisme, Plaidoyer pour les animaux, L'Art de la méditation...
Ensemble, ils ont déjà publié l'immense best-seller Trois amis en quête de sagesse, aux Editions L'Iconoclaste/Allary.
Dimanche 5 janvier ... c'est la fête de l'Épiphanie, une fête chrétienne qui remonte au temps des Romains. Depuis cette époque, la galette des rois comprend toujours une fève. Nombreux sont ceux qui aujourd’hui les collectionnent et ils ont bien raison car elles prennent de la valeur au fil du temps.
La fabophilie
En France, on les appelle les fabophiles. Ils seraient ainsi près de 2000 qui auraient rejoint une association et environ une vingtaine d’entre eux posséderaient plus de 30 000 modèles.
Pour les puristes, une fève ne mérite d’être collectionnée que si elle a séjourné dans une galette. Et si la fête des rois est ancienne, il faudra toutefois attendre la fin du XIXe siècle avant de voir un petit sujet en porcelaine de Saxe se substituer au traditionnel mais banal haricot jusqu’alors glissé dans la galette, juste avant sa cuisson.
Les débuts de la collection
Les premières collections débutent véritablement vers 1910-1914. Leur valeur ne cessera d’augmenter avec la hausse des prix des objets d’art, surtout dans les années 1980. Il y aura bien sûr des santons destinés à reconstituer la crèche de Noël en miniature, mais pas uniquement. Car si la tradition populaire avait jusqu’alors inspiré des fèves plates en porcelaine illustrant principalement des Guignol, Pierrot, poupon, militaire, lune, soleil, animaux ; les matériaux vont progressivement changer. Ainsi, avec l’utilisation de plus en plus généralisé du plastique, les années 1960 voient apparaître des sujets plus modernes : la locomotive, l’automobile, l’avion, le bateau, la moto…
Mais on assiste également au retour des matériaux nobles (porcelaine, terre cuite, métal) en lieu et place du plastique habituel. La fabrication échoit aux porcelainiers de l’Asie du Sud-Est, qui assurent environ 90 % de la production des fèves circulant en France.
Quelques sociétés se partagent le marché mondial de la fève. Parmi celles-ci, la société Prime, implantée à Faverney (Haute-Saône), produit entre 40 et 50 nouvelles fèves par an. Elles seront fabriquées par milliers pour être vendues aux boulangers et magasins de grande surface. Créée en 1989, la société Prime a su innover en proposant des fèves originales en trois dimensions à l’occasion des fêtes de Pâques, Halloween et Noël. Les sujets sont peints à la main et les collections sont élaborées près d’un an et demi avant la date de leur mise sur le marché.
Aujourd’hui, on peut donc dire que les collectionneurs sont gâtés tant le choix des modèles est devenu extrêmement diversifié dans les thèmes proposés. Signe tangible d’un engouement populaire jamais démenti à ce jour, il existe sur internet de nombreux sites conçus par des particuliers. Certains collectionnent toutes les fèves sans exception, tandis que d'autres ont préféré choisir une thématique bien précise et qui leur est chère.
La thématique cinéma
Le thème du cinéma constitue pour sa part entre 3 et 10 % des créations mensuelles de la société Prime, pour en revenir à l’exemple de notre société franc-comtoise. Tout dépend en fait des héros du moment et, surtout, des licences qui auront pu être négociées avec les ayants-droit (Disney, Fox, pour sa part entre 3 et 10 % des créations mensuelles de la société Prime, pour en revenir à l’exemple de notre société franc-comtoise. Tout dépend en fait des héros du moment et, surtout, des licences qui auront pu être négociées avec les ayants-droit (Disney, Fox, Dreamworks, Warner…) en ce qui concerne la fabrication des petites figurines décoratives.
Certaines fèves de chez Prime sont d’ailleurs particulièrement recherchées, comme celles créées pour la coupe du monde 1994 de football et dont la cotation avoisine actuellement le prix de revient de fabrication de l’époque, soit 1906 euros ! Et si une ancienne série de Betty Boop, l’espiègle et sémillante héroïne de cartoons créée par les frères Fleischer en 1930, affiche une cote exceptionnelle d’une centaine d’euros, les autres restent dans des prix plus abordables, c’est-à-dire entre 25 et 40 euros.
Notoriété du grand écran oblige, on trouve bien sûr des fèves consacrées à des artistes du cinéma français et des personnages du burlesque (Chaplin, Laurel et Hardy), des héros de dessins animés (Bécassine, Félix le chat, Bambi, Babar, Dingo, Bernard et Bianca, Popeye, Winnie l’ourson, Balto...) ou encore d’animation (Kiri le clown, Shrek, Wallace et Gromit).
Quant aux super-héros et autres courageux justiciers, ils ne sont pas en reste avec Zorro, Tarzan, Spiderman, James Bond ; sans oublier des blockbusters du grand écran : Toy Story, Star Wars, Batman…
Certaines séries poussent la particularité d’avoir été éditées avec des variantes (attitude, taille, couleur, modèle), ce qui accroît d’autant leur valeur. Il existe aussi des séries limitées, ainsi que quelques prototypes. Ces derniers ont été fabriqués pendant que la licence était en cours de négociation (gain de temps industriel), alors que celle-ci ne sera finalement pas accordée au fabricant.
Nous avons voulu mettre l'accent sur les échanges intergénérationnels avec les enfants du centre de Loisirs pendant les vacances scolaires, goûters, crêpe, jeux, loto : les seniors ont pu ainsi découvrir le centre de Loisirs Quatre Saisons... et avec les seniors du château du Poitou: Concerts avec le conservatoire, conférence sur les abeilles avec le père d'une des résidentes, fête de la musique, défilé de mode, compositions florales etc ... Des échanges appréciés si l'on compte le nombre de participants.
Des ateliers de travaux créatifs toujours ponctués, pour resserrer les liens, de goûters savoureux préparés par plusieurs d'entre nous!!
UN JEUDI PARMI D'AUTRES!!
Les crêpes nous attendent!!
Olivier "animateur" bénévole
DU COTE DU CHATEAU DU POITOU
Concert SONAT par les élèves du conservatoire
Intervention sur le frelon asiatique le tueur des abeilles au château du Poitou
« À force de vouloir m’abriter en toi, j’ai perdu de vue que c’était toi, l’orage. Que c’est de toi que j’aurais dû vouloir m’abriter. Mais qui a envie de vivre abrité des orages? Et tout ça n’est pas triste, mi amor, parce que rien n’est noir, absolument rien. Frida parle haut et fort, avec son corps fracassé par un accident de bus et ses manières excessives d’inviter la muerte et la vida dans chacun de ses gestes. Elle jure comme un charretier, boit des trempées de tequila, et elle ne voit pas où est le problème. Elle aime les manifestations politiques, mettre des fleurs dans les cheveux, parler de sexe crûment, et les fêtes à réveiller les squelettes.
Et elle peint. Frida aime par-dessus tout Diego, le peintre le plus célèbre du Mexique, son crapaud insatiable, fatal séducteur, qui couvre les murs de fresques gigantesques.»
Epopée du peuple mexicain Diego Rivera 1930
Claire Berest publie son premier roman Mikado à 27 ans. Suivront deux autres romans : L’Orchestre vide et Bellevue (Stock, 2016) et deux essais : La Lutte des classes, pourquoi j’ai démissionné de l’Éducation nationale et Enfants perdus, enquête à la brigade des mineurs. En 2017, elle publie "Gabriële", le roman qu'elle écrit avec Anne Berest.
RESUME DU PROCÈS VERBAL DE L’AG DU 09 juillet 2019 17h30 A L’ESPACE JEUNESSE
Rapport moral de l’année 2018
Loto : Les recettes ont couvert les dépenses ; beaucoup de monde le 29 janvier 2018
Zumba : Après 10 ans de partenariat , Latin Event a mis fin à son contrat avec notre association au 30 juin 2018. Les adhérentes ont rejoint Sissi à Grizy-Suisnes
Pour rappel: AG de l'an dernier concernant la soirée dansante prévue le samedi 22 avril aux Merisiers en partenariat avec ZNS (voir courrier mairie). Selon les conditions de la municipalité, et ne pouvant utiliser la salle plus de deux fois, c'est l'ALJ qui devait organiser cette soirée afin d'éviter les frais de location extérieure à la commune qu’auraient dû payer les professeurs de danse ZNS extérieurs à la commune: l'association devait de ce fait prendre en charge les recettes (entrée à 5€) mais aussi et surtout les dépenses (boissons, Sacem, Spre et payer de surcroît les intervenants.)
Ces contraintes ne nous avaient jamais été imposées depuis que l'association fonctionne. Cette organisation entrainant trop de frais, nous avons décidé d’annuler la soirée, une ville voisine ayant pu accueillir les participants.
Méditation en pleine conscience: Proposé par Stany Skorupski tous les mardis de 19h30 à 20h30, à la bibliothèque soit ou au Mille club
Jeunes : Soirée jeunes samedi 28 avril 2018 pour fêter l'anniversaire de Camilien à la salle des Merisiers sous surveillance d’adultes des Loisirs jeunes.
Soirée très réussie pour les jeunes de 14/17 ans. A noter que nous n'avons pas eu les contraintes de la soirée jeunes de 2017, pour laquelle la municipalité avait émis des réserves pour l'occupation de la salle . (voit PV de l'an dernier)
Participation de l’ALJ au repas de midi du retour du séjour et à la tombola de la brocante.
Exposition 1918 : L’exposition a été menée par Yvette Godefroy et Monique Mazoyer
Au 11 novembre 2018, les panneaux ont été transférés à la salle de la mairie lors de la cérémonie du 11 organisée par la municipalité.
De nombreuses visites à la bibliothèque de personnes des environs informés par voie de presse.
L’exposition a été présentée dans sa totalité (les 4 années de guerre) lors de la commémoration de l’armistice de 1918 à la salle des fêtes. La commune de Courtry a souhaité disposer des panneaux de Bécassine pour son exposition organisée de fin octobre au 11 novembre. Toutes les écoles et le collège de Courtry ont visité cette exposition .
Des livrets « On les aura » sont en vente à la bibliothèque à charge de la bibliothèque au prix de 17€
L’école de Villevaudé pourtant invitée ne s’est pas manifestée, comme les autres années .. Notre proposition d’élaborer un questionnaire par niveau pour la visite des élèves est restée sans réponse.
Partenariat avec les Pompiers de Villeparisis : Suite à leur inscription au forum, 10 personnes de Villevaudé ont passé avec succès le PSC1 en Octobre 2018, dans la salle du Conseil de la mairie.
Communication, Blog : Le blog, relié à facebook, a été créé en 2007, 12 ans d’existence, 1 566 notes et plus de 227 800 visites.
L’ALJ a participé à l’organisation de différentes manifestations associatives, bibliothèque notamment. Outre le blog, toutes nos manifestations ont été annoncées et relatées par le panneau lumineux, l’affichage aux points stratégiques de la commune, le Villevaudé Magazine, facebook, par mail personnel aux adhérents … etc …
Le rapport moral est approuvé à l’unanimité
B Rapport financierLecture des comptes 2018
Le rapport financier est approuvé à l’unanimité
Election des membres du conseil d’administration du 9 juillet 2019 GODEFROY Yvette, DA SILVA Jocelyne,CHEBOUROU Christine, MOROY Sylvie,TETARD Olivier, MARTINA Sophie, DUPAS Geneviève, MOUSSET Muriel, GOULAS Florian, FELICE Maximilien, CHEBOUROU Maïssa, DUPAS Camilien.
Projets 2019
Loto : Il a eu lieu le samedi 27 janvier 2019 à la salle des Merisiers : (retenir la date 2020 pour le dernier samedi de janvier soit le 25.
Forum associations du samedi 7 septembre 2019 : Le sergent-chef Frédéric CAPRI des pompiers de Villeparisis assurera une initiation aux premiers secours.
Méditation en pleine conscience : Prendre directement contact avec Stany Skorupski
Espace jeunesse et soirées jeunes : Les jeunes ont participé activement à l’organisation du loto 2019 (choix de lots, mise en place de la salle, rangement après la soirée, animation sur la scène etc) Ils sont à féliciter pour leurs initiatives et leur efficacité
Afin de répondre aux objectifs de l'association créée en 1974, nous souhaitons les sensibiliser au milieu associatif. Ils ont eu des idées pour rajeunir cette manifestation : remplacement du tableau par un ordinateur..
Proposition de soirée destinée aux jeunes de 14 à 18 ans pour le samedi 26 octobre en soirée pendant les vacances de la Toussaint. .
Une demande sera envoyée en mairie.
Plus rien n’étant à l’ordre du jour, la séance est levée à 19h
Communiqué de l'ALJ ce jour 16 décembre 2019
La soirée jeunes n'a pas eu lieu en 2019: la salle demandée pour les vacances de la Toussaint n'était pas disponible car déjà réservée pour un administré : (A noter que ce changement de règlementation pour la réservation de la salle des Merisiers pendant les vacances ne nous a pas été communiqué et que la date du 12 octobre disponible ne convenait pas aux organisateurs )
Avoir de la chance, cela veut dire qu’il est probable qu’un événement heureux vous arrive bientôt. Quant à la malchance, on se garde bien de l’évoquer. Mais, plus concrètement, qu’est-ce que cela veut dire exactement ?
Vendredi 13 : un jour particulier selon la bonne vieille croyance populaire. Mais est-ce un jour de chance ou de malchance ? Les superstitions ont la vie dure. A la loterie nationale, chacun va donc tenter sa chance, mais à sa façon bien sûr et… en se gardant bien de révéler son secret à quiconque !
Au jeu de pile ou face, on a une chance sur deux de sortir la face pile. On dit alors que la probabilité est de… un sur deux de tomber sur le côté que l'on a choisi avant de jeter la pièce de monnaie en l'air.
Au jeu du 421, on a 6 chances sur 216 de tomber sur la bonne combinaison en un seul jet. En effet, les dés ont six faces équilibrées avec un chiffre différent sur chacune d'elles et il en faut trois pour jouer. En fraction, 6 sur 216 peut s’écrire 1 sur 36. On a donc une chance sur 36 de tirer 4-2-1... en un seul jet.
La probabilité existe
La probabilité existe bel et bien et peut même se calculer mathématiquement, mais, est-ce que cela veut dire que si l’on joue 35 fois au jeu du 421, la 36e sera la bonne ?
Eh bien non, car il n’y a pas plus de chance que le 35e coup soit meilleur que le premier, le deuxième ou le huitième car le dé, bien sûr, n’a pas de mémoire. Une chance sur 36, cela veut dire que si l’on jette les dés, 1000 fois, 100 000 fois, un million de fois, nous aurons un nombre de 4-2-1 qui s’approchera de 1000 divisé par 36, 100 000 divisé par 36, un million divisé par 36, etc.
Ainsi, plus l’on joue et plus on aura de chances de tirer la bonne combinaison 4-2-1, mais, en fait, sur la totalité des jets de dés.
Une estimation à la portée de tous
Si le hasard n’existe pas, peut-on alors connaître le chiffre mathématique exact de nos chances ? En d’autres termes, existe-t-il une méthode pour accroître sa chance ?
Non, une fois encore. Mais ce chiffre nous pouvons l’estimer raisonnablement à défaut de pouvoir le calculer avec précision. L'estimation est suffisante pour nous permettre d’apprécier ou non nos chances. C’est d’ailleurs un exercice que nous pratiquons tous au quotidien. Ne vous êtes-vous jamais posé la question de savoir quelles étaient vos chances de gagner au loto ou encore de ramasser un porte-monnaie ou des billets de banque sur le trottoir ?
Chance et malchance vont de pair
Lorsque nous traversons une route ou que conduisons une voiture, nous envisageons immédiatement la situation avant de prendre une quelconque décision. Il s'agit de savoir ici si nous allons en sortir indemne et c'est pourquoi nous évaluons instinctivement s’il y aura danger ou non… sans pour autant sortir la calculette scientifique. A contrario, plus nous répétons l'exercice - traverser la route ou bien conduire - et plus nous augmentons notre risque d'avoir un accident. Chance et malchance iraient ainsi de pair et certains pensent que la guigne ne serait en fait que la résultante de la somme des éléments ou de situations… qu’ils n’ont pas pu ou su prévoir.
Les prochains rendez-vous du vendredi 13
Le 13 décembre 2019, le 13 mars puis le 13 novembre 2020. Alors, pourquoi ne pas en profiter pour tenter, vous aussi, votre chance ?
Serge MOROY
PHOTO: Fortune double (bonne fortune et mauvaise fortune, symbolisées par son côté blanc et son côté noir) tournant sa roue, aveugle aux conditions sociales de ceux à qui elle porte chance ou malchance (symbolisé par le bandage sur ses yeux). Enluminure d'Étienne Colaud dans une édition française datant de 1530 du Cas des nobles hommes et femmes de Boccace. BnF
Geneviève Bossu a eu cent ans le 24 novembre 2019... L'occasion de fêter cet heureux événement au repas des seniors organisé par le CCAS de Villevaudé, le 7 décembre 2019.
Le diaporama présenté le 7 décembre a été réalisé par Olivier et Florian de l’espace jeunesse de Villevaudé et membres de L'Association Loisirs Jeunes de Villevaudé, grâce aux témoignages de Monique Mazoyer, Serge Moroy, Suzette Farignon et Yvette Godefroy.
C’est en ces termes que Suzette s’adressa à Geneviève Bossu, née Albinet:
"Vous voilà centenaire, vous êtes comme un merveilleux livre dont la préface pourrait débuter ainsi :
« Un siècle ! … J’ai vu huit fois la fumée blanche sur la chapelle Sixtine, de Pie XI jusqu’au pape François…
« Nous pouvons voir en vous une sœur, une mère, une tante, mais aussi une grand-mère et même une arrière-arrière grand-mère ! Vous avez encore tellement de choses à nous apprendre.. ; votre histoire de vie est une grande science pour nous… »
Ordre de mission
Quand la seconde guerre mondiale éclate, Geneviève a 20 ans. Son frère, Roger Albinet (qui sera maire de Villevaudé de 1947 à 1971) est prisonnier en Allemagne. Avec un simple diplôme d’infirmière, elle intègre les IPSA, section aviation de la Croix-Rouge française créée en 1934, pour aller le chercher. Sa première mission sanitaire intervient en avril 1945. Il s’agit de ramener les prisonniers du camp de concentration de Buchenwald, rassemblés au Luxembourg. « On les a installés dans le train, sur des brancards. Ils avaient tous une étiquette autour du cou car certains ne parlaient pas. Il y avait beaucoup de Français et j’ai même retrouvé un cousin ! ».
Convoi vers Strasbourg
Le 8 mai 1945, jour où Berlin capitule, avec cinq collègues, elle accompagne en ambulance la première armée française (Rhin et Danube) à Mengen.
« Les ponts sur le Rhin étaient détruits, le ravitaillement en essence pour l’armée se faisait par avion, de Strasbourg à Mengen en Dakota.
Mengen
Cherchant dans ses souvenirs Mme Bossu déclare : « En mai 45, nous partons 6 IPSA en ambulance pour nous mettre à la disposition de la 1ère armée (Rhin et Danube) qui nous envoie sur la base de Mengen ( Wurtemberg) à 13km à l’Est de Sigmaringen. On installe la Base de départ des services de l’ambulance médico-chirurgicale de l’Air n° 401. Le personnel est logé dans les baraquements sur le terrain et nous, chez l’habitant.
En août 1945, la voici à Malmoë en Suède chercher une centaine de femmes que le comte Bernadotte, diplomate suédois, a réussi à sortir du camp de Ravensbrück, deux mois avant la capitulation allemande. Un terrible spectacle. « Elles n’étaient plus que squelettes. Notre crainte était que les parents les fassent manger trop. On les a soignées sur place pendant deux mois avant de les ramener en avion ».
La photo est prise devant un Dakota, Geneviève est à droite
Les avions repartant à vide, il s’agissait de les remplir à raison de trois rotations par jour ». 1935 soldats, dont 560 couchés, seront convoyés dans une centaine d’avions de type Junker ou Dakota. Elle dit : « On voyait tellement de souffrances autour de nous que l’on ne se plaignait pas quand on était fatigué »
Devant un JU 52 le 13 mars 1946, entourée du pilote Petot et du mécanicien Roy
Geneviève Albinet sera convoyeuse de l’Air jusqu’à la fin 1946, année où elle tombe malade. Sa convalescence se passe à Villevaudé, dans la demeure familiale. Elle réussit son diplôme d’infirmière d’État en 1950 et sera monitrice IPSA, puis hôtesse à Air Maroc. En 1956, elle épouse Henry Bossu, directeur des essais chez Panhard, et devient, jusqu’en 1967, infirmière pour l’OTAN (Organisation du Traité de l’Atlantique Nord). En 1968, elle travaille dans un laboratoire puis, jusqu’à sa retraite en 1981, comme infirmière à la Compagnie générale d’électricité. Après la mort de son époux en 1995, elle reste à Villevaudé, au château de Bisy.
Photo: 13 mars 1946 au cours d’une mission en Afrique.
Le château de Bisy à Villevaudé
En 1968 elle fait connaissance à Paris du père Georges Verger, ancien aumônier de l’Armée de l’Air
En 2002, à la mort du père Edouard, elle intervient auprès du Diocèse de Meaux pour que Georges Verger soit accueilli dans les paroisses de Villevaudé, le Pin et Bois Fleuri.
Son ami le père Guy Gilbert, proche de Georges Verger célèbre le 10 octobre 2010 la grand- messe de bénédiction des animaux à Villevaudé, sur la plaine des Merisiers, devant des centaines de villevaudéens.
Chevalier de l'Ordre National du Mérite
Le 11 mars 2004, Geneviève Bossu est nommée chevalier de l’Ordre National du Mérite, décorée par «sa marraine» Geneviève de Galard
Lors de la remise des insignes, Geneviève de Galard commence son discours par ces mots :
« Malgré mon âge respectable, vous êtes pour moi une ancienne. Une de ces anciennes que nous admirons, des pionnières qui ont tant fait pour improviser, construire et forger ce que sont devenues les Convoyeuses de l’Air… »
Geneviève de Galard est la célèbre héroïne de Dien Bien Phu, que tout le monde connaît pour l’avoir vue en 2004, dans différentes manifestations commémorant le cinquantième anniversaire de cette bataille.
Comme chaque année, au monument aux morts de Villevaudé
A l’exposition 14-18
Au repas seniors 2015
Dimanche 24 novembre 2019, Lazlo David et Geneviève Bossu prennent le chemin de l’église de Villevaudé
Ses deux amis, père Isaac et père Ignace ont célébré la messe de ses cent ans, en présence de la communauté chrétienne de Villevaudé, le Pin et Bois Fleuri.
Avec Mauricette
Geneviève a connu Père Ignace il y a 27 ans, alors qu’il avait remplacé père Edouard qui était en pèlerinage à Saint Jacques de Compostelle. Il est venu de Cotonou au Benin, afin d’être aux côtés de Geneviève en ce grand jour de fête et d’émotion.
Au monument aux morts en tenue militaire
C’est à son amie Suzette Farignon que nous devons ces belles paroles:
« Avoir cent ans est un cadeau de la vie. Ailée comme un ange, vous touchiez au soleil de votre vie, sans vous brûler les ailes car, contrairement à Icare, « Les ailes brisées » résistèrent aux assauts et vous forgèrent à ce grand voyage…
La Villevaudéenne Geneviève Bossu, cent ans le 24 novembre, a été honorée au banquet des Seniors organisé par le CCAS, samedi 7 décembre, salle des Merisiers.
Un diaporama, réalisé par les membres de l’ALJV (Association Loisirs Jeunes de Villevaudé) et l’espace jeunesse, a retracé le parcours hors norme de cette femme volontaire et courageuse.
Infirmière de la Croix rouge, affectée aux IPSA (Infirmières, pilotes, secouristes de l’air), Geneviève Bossu a participé en 1945 aux rapatriements des prisonniers et déportés en Allemagne avec la 1ère armée, Armée Rhin et Danube. Nommée Chevalier de l’Ordre national du mérite par décret du 14 novembre 2003, Geneviève Bossu a été décorée le 11 mars 2004 par Geneviève de Galard, l’héroïque convoyeuse de l’air de Diên Biên Phu, elle-même Grand-croix de la Légion d’honneur. Plusieurs articles lui ont été consacrés, dans la presse locale, mais aussi dans le journal des retraités du quotidien Ouest-France.
Samedi, sous des applaudissements nourris, Geneviève Bossu a reçu la médaille d’honneur de la Ville, des mains de Pascal Pian, maire de Villevaudé, et a été félicitée par Xavier Vanderbise, conseiller départemental et vice-président de la communauté d’agglomération Paris-Vallée de la Marne.
Émue et toujours aussi modeste, la centenaire a simplement déclaré que « ce qu’elle avait fait, tout le monde l’aurait fait ».
Seize femmes d’exception
Cette année, ambiance cabaret-concert grâce à la compagnie Sans Lézard, qui proposait son spectacle Au chœur des femmes.
Les 5 artistes (3 femmes et 2 hommes) ont ainsi livré aux 128 convives un joli florilège de chansons françaises célébrant la femme : Brel, Brassens, Ferrat, Gréco, Lama, Gainsbourg, Juliette, Lynda Lemay…
Les Farel forment un couple de pouvoir. Jean est un célèbre journaliste politique français ; son épouse Claire est connue pour ses engagements féministes. Ensemble, ils ont un fils, étudiant dans une prestigieuse université américaine. Tout semble leur réussir. Mais une accusation de viol va faire vaciller cette parfaite construction sociale. Le sexe et la tentation du saccage, le sexe et son impulsion sauvage sont au cœur de ce roman puissant dans lequel Karine Tuil interroge le monde contemporain, démonte la mécanique impitoyable de la machine judiciaire et nous confronte à nos propres peurs. Car qui est à l'abri de se retrouver un jour pris dans cet engrenage ?
A l’appel de la municipalité et des anciens combattants, les Villevaudéens sont venus nombreux, lundi 11 novembre, assister au 101e anniversaire de l’armistice de 1918 ratifiant la fin de la Première Guerre mondiale.
Le temps de la commémoration, qui a débuté à 14 h 30, un rayon de soleil a fait une apparition bienvenue dans l’enceinte du cimetière au milieu duquel se dresse le monument aux morts. Xavier Vanderbise, conseiller départemental et maire de Courtry, participait à la cérémonie. Michel Courivaud, président de la FNACA (Fédération nationale des anciens combattants en Algérie, Maroc et Tunisie) a donné lecture du message de l’UFAC (Union française des associations de combattants et victimes de guerre), chiffrant le bilan de l’hécatombe à « 1,4 million de morts, 740 000 invalides, 3 millions de blessés et des centaines de milliers de veuves et d’orphelins ».
Après la guerre, la mémoire et l’hommage
Nombreuses sont les communes de France qui ont payé un lourd tribut en vies humaines à cette guerre. « Les noms gravés sur nos monuments aux morts nous rappellent constamment les valeurs d’honneur, de courage, de dévouement et de bravoure » a rappelé Pascal Pian, maire de Villevaudé, en lisant le message de Geneviève Darrieussecq, secrétaire d’Etat auprès de la ministre des armées. « La préservation de notre indépendance, de notre liberté et de nos valeurs, repose sur ceux qui ont donné leur vie pour les défendre » concluait la secrétaire d’Etat aux anciens combattants. Un juste et nécessaire rappel à ceux qui estiment que, en temps de paix, « cette commémoration d’un autre siècle n’a plus lieu d’avoir cours aujourd’hui ».
Après le dépôt des gerbes colorées au pied du monument sur lequel sont gravés les noms des vingt-sept Villevaudéens tombés pour la France, la sonnerie aux morts et la minute de silence, les participants on entonné l’hymne national, accompagnés par les enfants de l’école Ivan-Peychès.
La cérémonie terminée, le maire a convié les participants à un vin d’honneur dans la salle du conseil de la mairie. A cette occasion et comme il est de tradition, la municipalité a décerné des diplômes d’honneur de la médaille du travail à quelques habitants et souhaité la bienvenue aux nouveaux arrivants dans la commune.
Fin de l’exposition « Face à la guerre »
Réalisée à l’initiative de l’ALJ (Association Loisirs Jeunes), l’exposition sur la Première Guerre mondiale s’achevait sur les années 1919 et 1920, révélées sur des panneaux dressés dans la salle du conseil. Fruit du travail de Monique Mazoyer, membre de la SHCE (Société d’histoire de Claye et de ses environs) et des recherches de la présidente de l’ALJ, Yvette Godefroy. L’exposition a retracé année après année, sous forme de fresque chronologique et à partir de 1914, les grands événements survenus dans le domaine de la société et des arts, ainsi que quelques faits divers ayant émaillé les années concernées.
On pouvait aussi y découvrir la vie de quelques Villevaudéens partis sur le front. Ainsi, en janvier 1919, c’était le retour, d’Edmond Blétry, adjoint au maire, qui avait été fait prisonnier en 1914. La même année 1919 voyait le décès de Léon-Ernest Claret, des suites de la tuberculose qu’il avait contractée en 1917. Enfin, l’année 1921 voyait l’inauguration du monument aux morts de Villevaudé. Serge Moroy
Le 10 novembre 1920, à 15h, en présence d’André Maginot ministre des pensions, le soldat Auguste Thin, du 132e régiment d’infanterie, fils d’un combattant disparu pendant la guerre, désigna par le dépôt d’un bouquet de fleurs cueillies sur les champs de bataille de Verdun, le cercueil qui devait être transporté à Paris.
Le lendemain 11 novembre 1920, ce mort fut inhumé à Paris sous l’Arc de Triomphe.
Deux ans plus tard, le 11 novembre 1922, pour la première fois une lumière jaillissait sur la dalle recouvrant le soldat inconnu.
Depuis cette flamme du souvenir, ranimée chaque jour à 18h30, ne s’est jamais éteinte.
Dessiné et gravé en taille-douce par Albert Decaris
Vente générale le 4 nov 1985
"Ceux qui pieusement sont morts pour la patrie
Ont droit qu'à leur cercueil la foule vienne et prie"
Victor Hugo (Les chants du Crépuscule)
Cette déesse en bonnet phrygien tenant dans sa main gauche une branche de laurier, emblème de la gloire et de l’immortalité et qui, tête baissée se recueille et médite devant une pierre tombale, symbolise la France se souvenant de ses enfants tombés au champ d’honneur.
Pour rendre hommage à la mémoire des morts de toutes les guerres – des militaires de toutes les armes, des combattants en uniforme, des soldats de l’ombre, des otages, des déportés torturés, brisés, assassinés dans de sinistres camps – ce monument glorifie tous ceux qui ont droit à la reconnaissance de la France.
Pourquoi Moïra, une jeune Française, se retrouve-t-elle à Hong Kong chez Ming, le géant chinois du numérique ? Pourquoi, dès le premier soir, est-elle abordée par la police ? Pourquoi le Centre, siège ultramoderne de Ming , cache-t-il tant de secrets ? Pourquoi Moïra se sent-elle en permanence suivie et espionnée ? Pourquoi les morts violentes se multiplient parmi les employés du Centre – assassinats, accidents, suicides ? Alors qu'elle démarre à peine sa mission, Moïra acquiert la conviction que la vérité qui l'attend au bout de la nuit sera plus effroyable que le plus terrifiant des cauchemars.
Le roman d'un monde en construction, le nôtre, où la puissance de la technologie et de l'intelligence artificielle autorise les scénarios les plus noirs. Bienvenue à Hong Kong. Dans la fabrique la plus secrète du monde. Chez M... Au bord de l'abîme...
Bernard Minier est né en 1960 à Béziers et a grandi dans le Sud-Ouest, au pied des Pyrénées. Il vit aujourd'hui en région parisienne où il se consacre à l'écriture.
En 2011, il publie chez XO son premier roman, Glacé, qui signe le début des enquêtes de Martin Servaz. Porté par l'atmosphère menaçante des Pyrénées enneigées et son héros attachant, un peu cabossé par la vie et un brin misanthrope, le roman séduit les lecteurs et est lauréat du Prix du meilleur roman francophone au Festival Polar de Cognac 2011 et figure dans la liste des 100 meilleurs polars du The Sunday Times depuis 1945. Son adaptation en série télévisée par Gaumont Télévision a été diffusée en France en 2017 sur M6, et est à présent disponible dans le monde entier sur la plateforme Netflix.
Le succès de ses romans suivants, Le Cercle (2012) et N'éteins pas la lumière (2014), qui mettent à nouveau en scène Martin Servaz, fait de lui un auteur incontournable du polar français. En 2015, il accorde un peu de répit à son héros et publie un thriller indépendant, Une putain d'histoire, qui reçoit le Prix du meilleur roman francophone du Festival Polar de Cognac 2015. En 2017, Martin Servaz reprend du service avec l'angoissant Nuit, suivi en 2018 par Sœurs, " un cauchemar écrit à l'encre noire ". En 2019, il publie un nouvel unitaire : M, le bord de l'abîme, un thriller extraordinairement contemporain qui donne le vertige et permet enfin de comprendre ce qui se cache derrière l'intelligence artificielle.
Une vertigineuse conspiration scientifique et politique où les incroyables découvertes, les meurtres et les énigmes se succèdent à un rythme effréné !
Après la mort mystérieuse de son collègue universitaire, la très médiatique Shana Stenford se voit confier la direction d'un site de fouilles enfoui dans le Piémont italien. Très rapidement, la jeune préhistorienne et son généreux mécène sont précipités, malgré eux, dans une spirale infernale qui dépasse de loin le cadre de la paléontologie. Quel mystère se cache sous les Alpes italiennes et ensanglante les travaux de Shana et son équipe? C'est ce qu'essaiera de découvrir un vieux commissaire, héros de la police italienne, aux méthodes parfois atypiques.
Depuis 4 ans, Frank Leduc est installé près du Pays basque où il exerce, à son compte, la profession de coach en management. Auparavant il occupait différents postes de management dans un grand groupe de téléphonie. Son temps libre est l'occasion de se consacrer à l'une de ses passions, l'écriture.
Cet après midi, la bibliothèque de la Roseraie offrait un moment de plaisir partagé entre les jeunes de l'espace Jeunesse, les petits du centre de Loisirs et des jeunes villevaudéens accompagnés de leurs parents… Les contes de Françoise, Karine et Dominique, conteuses du Racontoir de Villeparisis ont séduit notre jeune public.
Les plus belles histoires d'amour ne meurent jamais. Elles continuent de vivre dans nos souvenirs et les coïncidences cruelles que notre esprit invente. Mais quand, pour Nathy, ces coïncidences deviennent trop nombreuses, doit-elle croire qu'il n'y a pas de hasard, seulement des rendez-vous ? Qui s'évertue à lui faire revivre cette parenthèse passionnelle qui a failli balayer sa vie ? Quand passé et présent se répètent au point de défier toute explication rationnelle, Nathy doit-elle admettre qu'on peut remonter le temps ?
En quatre escales, Montréal, San Diego, Barcelone et Jakarta, dans un jeu de miroirs entre 1999 et 2019, J'ai dû rêver trop fort déploie une partition virtuose, mêlant passion et suspense, au plus près des cœurs qui battent trop fort.
Du même auteur, Nymphéas noirs, polar français le plus primé en 2011, Un avion sans elle, Ne lâche pas ma main, N'oublier jamais, Gravé dans le sable, Maman a tort, Le temps est assassin, On la trouvait plutôt jolie, Sang famille…
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