LA CONSOLANTE
ANNA GAVALDA
LE DILETTANTE
« Charles Balanda, 47 ans, architecte à Paris, apprend incidemment la
mort d'une femme qu'il a connue quand il était enfant, et adolescent.
«
Il déchire la lettre et la jette dans la poubelle de la cuisine. Quand
il relève son pied de la pédale et que le couvercle retombe, clac, il a
l’impression d’avoir refermé, à temps, une espèce de boîte de Pandore,
et, puisqu’il est devant l’évier, s’asperge le visage en gémissant.
Retourne ensuite vers les autres. Vers la vie. Se sent mieux déjà. Allez... C’est fini.
C'est fini, tu comprends ?»
Le problème, c'est que non, il ne comprend pas. Et il n'y retourne pas,
vers la vie. Il perd l’appétit, le sommeil, abandonne plans et projets
et va essayer de comprendre pourquoi tour se fissure en lui; Et autour
de lui. Commence alors un long travail de deuil au bout duquel il est
obligé de se rendre à l’évidence : l’échelle de cette vie-ci est
illisible et il faut tout rebâtir.» A.G.
Disponible à la bibliothèque de la Roseraie
Quand on a lu " ensemble c'est tout", on doit se dire qu'on passe à autre chose. je me suis précipitée dès sa sortie, et j'avoue qu' il m'a fallu de la persévérance pour passer la moitié du livre.Je garderai néanmoins un bon souvenir de toutes ces pages, mais que de longueurs dont je n'ai pas compris l'intérêt.
Rédigé par : Sylvie | 07 juin 2008 à 14:38