Serge Santin, venu de Noisy-le-Grand, écrit depuis qu’il est en retraite. Lors du Marché de Noël organisé par l'Atelier Créatif les 26 et 27 décembre, Il dédicaçait son 3e roman qui vient de paraître, « Les barreaux du rossignol », inspiré d’une histoire vraie ayant pour cadre une prison pour femmes.
Le roman, sous-titré « histoires de femmes », relate la vie d’une jeune femme incarcérée et les confessions de ses compagnes de cellule.
« Mes deux premiers romans couvraient la période 1942 à la Libération. Ils narraient une saga familiale et une histoire d’amour via les pérégrinations d’un immigré italien qui fondera une famille dans notre région.
J’ai choisi cette fois un thème contemporain, toujours dans un contexte local pour que le lecteur ait des repères : celui d’une femme amoureuse qui se trouve compromise involontairement dans un trafic de drogue » a-t-il précisé, avant d’ajouter : « Cette passion de l’écriture m’est venue tard, mais depuis je suis mordu.
Il y a un écrivain qui sommeille en chacun de nous, car nous avons tous une histoire de vie, souvent intéressante et originale, à raconter. Mais encore faut-il avoir envie d’écrire et ceci est une autre histoire ».
Propos recueillis par Serge Moroy
Un coeur pur en enfer et Le passage du premier pont de Georges Santin sont disponibles à la bibliothèque
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