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17 décembre 2009

Commentaires

bernard borghésio-ruff

Moment bien agréable, cela faisait une éternité que je n'avais pas vu Didier et un peu moins longtemps, Colette.
D'après ce que j'ai pu en lire et d'après les exposés de l'auteur et de l'éditeur, je crois pouvoir dire que Didier a fait une "somme" sur le sujet.

didier mansuy

Le 18 décembre 2009,
Chère Yvette
J'ai été ravi de ta venue et de la présence de Bernard.
Maman a été très heureuse de vous voir et de pouvoir parler avec vous deux : elle garde un très bon souvenir qui la réjouit, elle m'en a beaucoup parlé.

j'espère que vous me ferez part de vos impressions sur le livre

Le mardi 16 février 2010 à partir de 20h30, au café de la mairie, place Saint sulpice 75006, je ferai un café littéraire pour parler du livre(2heures) comme les autres fois d'ailleurs. Je crois bien que tu y es
déjà venue.
Amitié et à bientôt, joyeux noel et tous mes voeux pour la nouvelle année
didier

Bib Roseraie Villevaudé

Nous avons le plaisir de vous informer de la signature du livre de Didier Mansuy
"Le linceul de pourpre de Marcel Jouhandeau"
aux Editions Orizons diffusées par l'Harmattan
aura lieu le mardi 29 juin 2010
de 18 heures à 21 heures dans la Galerie
de Nicole CANET "Au Bonheur du Jour"
11, rue Chabanais
75002 Paris
tél : 01 42 96 58 64

Durant l'exposition Rétrospective de 1870 - 2010
Photographies - Dessins - Peintures

bibliothèque de Villevaudé

Un compte rendu est paru dans la revue Histoires Littéraires n° 44 d'octobre-décembre 2010, concernant « Le linceul de pourpre de Marcel Jouhandeau » livre écrit par Didier Mansuy

Didier Mansuy, Le Linceul de pourpre de Marcel Jouhandeau : la trinité Jouhandeau-Rode-Coquet (Orizons, 2010, 642 p., 48 €). Rarement vit-on livre plus bourré de lettres inédites, de documents et de citations — bien davantage, même, qu’une thèse de doctorat. Cette énorme étude de plus de 600 pages concerne les amours de Jouhandeau et leurs effets sur sa création littéraire, ou, plus exactement, comme l’indique le sous-titre, elle est essentiellement centrée sur le trio amoureux formé par Jouhandeau, l’écrivain Henri Rode (de 1947 à 1966) et le pianiste Robert Coquet (de 1948 à 1960). L’auteur y vise un double but : d’une part, écrire toute l’histoire de ce trio, et d’autre part, démontrer, pièces à l’appui, que L’École des garçons et Du pur amour, deux livres signés Jouhandeau, ont en réalité été écrits avec la collaboration d’Henri Rode. Selon Didier Mansuy, il s’agit en fait d’une « sorte de compilation des lettres de Marcel à Henri, d’Henri à Marcel ou Robert, et de Robert à Marcel ». Rode est mort en 2004, mais l’auteur paraît l’avoir assez bien connu et interrogé ; surtout, il a recueilli ses papiers, ce qui lui permet d’écrire : « Ce livre est réalisé, exclusivement, sur la base des documents qu’Henri Rode me donna » : aussi transcrit-il de nombreuses lettres de Jouhandeau et de divers adressées à Rode. Il parvient ainsi à reconstituer avec minutie tout le détail des relations entre les trois hommes. Celles-ci furent fort changeantes, et passablement compliquées : Rode avait, auparavant, rencontré et aimé le jeune Robert Coquet, que, en « manipulateur de génie », il présenta à Jouhandeau, lequel s’enflamma durablement. Dans cette chronique presque quotidienne, scandée par les fréquentes lettres qu’échangeaient les trois protagonistes, on s’y perd parfois un peu, avouons-le. Parallèlement, Didier Mansuy retrace la genèse de L’École des garçons et Du pur amour (et le rôle tenu à cette occasion par Rode), et les petits drames que provoqua leur publication. Cette longue démonstration était-elle absolument nécessaire ? On se doutait un peu que Jouhandeau n’avait fait que puiser dans la réalité vécue par lui auprès de ses deux amis, et le reste de son œuvre est là pour attester qu’il n’avait nul besoin de collaborateur, même s’il ne s’interdisait pas, comme tout écrivain, d’emprunter ses matériaux où bon lui semblait. Si la documentation, en majeure partie inédite, accumulée par l’auteur, est impressionnante, on sent parfois quelque décousu dans son propos, ainsi dans certains chapitres ne traitant pas directement de son sujet. Par exemple, que viennent faire des chapitres comme Marcel et les pigeons et Jouhandeau [franc-]maçon, quel rapport avec le trio amoureux, et même quel intérêt ? Cela tourne un peu au fourre-tout, et on a l’impression que l’auteur s’éloigne çà et là considérablement de son sujet. Mais, comme chronique amoureuse et sentimentale, son étude est étonnante, et son mérite principal tient évidemment aux centaines de lettres inédites qu’il transcrit ou cite. À la fin, se trouvent reproduits des textes inédits (par divers), des photographies, et le fac-similé de nombreuses lettres. Pour la période considérée, il s’agit là d’un ouvrage capital pour la biographie de Jouhandeau. Sans doute faudra-t-il, en un second temps, qu’un autre biographe vienne interpréter, éclairer ou nuancer cette masse de lettres, où l’on risquerait peut-être de perdre pied. La perspective demandera alors à être sans doute plus ou moins rectifiée, car les trois amis en question sont trop vus et décrits à la lumière du quotidien, tellement fragmentée, et aussi parce que toute lettre, pour aussi explicite qu’elle soit, ne reflète guère que des moments et des humeurs fatalement passagers. Mais Didier Mansuy a voulu avant tout publier cette si copieuse documentation : c’est là l’essentiel, et tous ceux qui s’intéressent à Jouhandeau doivent lui savoir gré.

bibliothèque de la Roseraie

Didier Mansuy présentera "Cas de figure", son nouveau recueil de nouvelles, le 11 mai de 18 à 21 heures, chez L'harmattan, 13 rue de l'Ecole Polytechnique à Paris:

Didier Mansuy

Je vais réaliser une conférence à la Mairie du Troisième arrondissement de Paris, 2 rue Eugéne Spuller (métro République ou Art et métiers) le MARDI 17 mai à 19h30
Je souhaite vraiment vous voir et avoir le plaisir d'échanger avec vous
Amicalement

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